La FREF se frotte les mains. Brahim Diaz, le Maroco-espagnol, avec sa double nationalité, avait le cœur partagé entre deux pays qu’il aimait et adorait.
Après de longues réflexions, il vient de prendre une difficile décision : jouer pour la sélection d’Espagne.
« Brahim, un remplaçant qui sent le titulaire » écrit la presse de Madrid.
A vrai dire, les journalistes ne cessent d’expliquer qu’il a été le joueur différentiel du Real.
Depuis son arrivée qui pourtant était très critiquée au staff technique, Brahim a fait beaucoup de progrès en imposant son style de jeu.
En très peu de temps, il a gagné la confiance de ses dirigeants et entraineurs et son niveau technique s’est amélioré dans un des clubs où la concurrence est la plus rude au monde. Un choix payant.
En plus d’avoir marqué le seul but de son équipe dans le derby, l’ancien de Manchester City et de l’AC Milan a été brillant.
Sur chaque prise de balle, il a créé du danger dans les derniers mètres et a réalisé de jolis gestes techniques, faisant étalage de tout son talent et de sa qualité extraordinaire balle au pied.
Il est sorti à vingt minutes de la fin, ovationné par le Santiago Bernabéu…
Et ce changement a même valu certaines critiques à Carlo Ancelotti, puisque de nombreux fans Madrilènes auraient voulu le voir terminer la rencontre.
Le directeur de l'équipe nationale, Albert Luque, l'a déclaré à peine un mois : « Nous aimerions que Brahim joue avec nous et nous comprenons que c'est ce qu'il veut ».
Il est, peut-être l'attaquant de l'aile avec le plus de fluidité cette saison parmi les éligibles. Sept buts et trois passes décisives en seulement 1 065 minutes.
Au championnat, seul Ferran Torres, dans son rôle parfois de neuf, bat Brahim, avec 11 buts mais aussi avec beaucoup plus de présence en termes de minutes jouées (1 679').
La deuxième lecture de ces chiffres est qu'il peut facilement s'adapter à un rôle de remplaçant théorique en Coupe d’Europe.
Dans le derby, il a dû se préparer physiquement et mentalement pour être titulaire... en seulement cinq minutes.
Après l’élimination de Vinicius blessé, Ancelotti a renoncé à son idée initiale de Joselu comme remplaçant. Carletto repensa le plan et regarda le 21 blanc.
Le sixième sens de l'Italien l'a amené à faire entrer Brahim alors qu'on avait même annoncé le neuf galicien via le système de sonorisation.
L'ex-Milanista a fait preuve de caractère. Au lieu de laisser passer quelques minutes pour s'acclimater, pour prendre les signes vitaux du jeu, il a rapidement réclamé le ballon.
Avant son but, il avait déjà profité du flux offensif madrilène sur l'aile droite.
Un doublé au creux de la main, un tourment pour Atleti dans lequel il a montré une autre face de lui-même.
Ce jeu à la 70è minute, avec d'abord des dribbles secs sur Hermoso puis de la hanche sur Witsel et un tir du pied gauche raté de peu, aurait pu donner le 2-0 et presque la touche finale de ce quatrième derby. Mais le ballon n’est pas entré.
Le Bernabéu s'en fichait. Une minute plus tard, le Bernabéu lui a fait une grande ovation. Les téléspectateurs lui ont attribué le titre de MVP.
Après de longues réflexions, il vient de prendre une difficile décision : jouer pour la sélection d’Espagne.
« Brahim, un remplaçant qui sent le titulaire » écrit la presse de Madrid.
A vrai dire, les journalistes ne cessent d’expliquer qu’il a été le joueur différentiel du Real.
Depuis son arrivée qui pourtant était très critiquée au staff technique, Brahim a fait beaucoup de progrès en imposant son style de jeu.
En très peu de temps, il a gagné la confiance de ses dirigeants et entraineurs et son niveau technique s’est amélioré dans un des clubs où la concurrence est la plus rude au monde. Un choix payant.
En plus d’avoir marqué le seul but de son équipe dans le derby, l’ancien de Manchester City et de l’AC Milan a été brillant.
Sur chaque prise de balle, il a créé du danger dans les derniers mètres et a réalisé de jolis gestes techniques, faisant étalage de tout son talent et de sa qualité extraordinaire balle au pied.
Il est sorti à vingt minutes de la fin, ovationné par le Santiago Bernabéu…
Et ce changement a même valu certaines critiques à Carlo Ancelotti, puisque de nombreux fans Madrilènes auraient voulu le voir terminer la rencontre.
Le directeur de l'équipe nationale, Albert Luque, l'a déclaré à peine un mois : « Nous aimerions que Brahim joue avec nous et nous comprenons que c'est ce qu'il veut ».
Il est, peut-être l'attaquant de l'aile avec le plus de fluidité cette saison parmi les éligibles. Sept buts et trois passes décisives en seulement 1 065 minutes.
Au championnat, seul Ferran Torres, dans son rôle parfois de neuf, bat Brahim, avec 11 buts mais aussi avec beaucoup plus de présence en termes de minutes jouées (1 679').
La deuxième lecture de ces chiffres est qu'il peut facilement s'adapter à un rôle de remplaçant théorique en Coupe d’Europe.
Dans le derby, il a dû se préparer physiquement et mentalement pour être titulaire... en seulement cinq minutes.
Après l’élimination de Vinicius blessé, Ancelotti a renoncé à son idée initiale de Joselu comme remplaçant. Carletto repensa le plan et regarda le 21 blanc.
Le sixième sens de l'Italien l'a amené à faire entrer Brahim alors qu'on avait même annoncé le neuf galicien via le système de sonorisation.
L'ex-Milanista a fait preuve de caractère. Au lieu de laisser passer quelques minutes pour s'acclimater, pour prendre les signes vitaux du jeu, il a rapidement réclamé le ballon.
Avant son but, il avait déjà profité du flux offensif madrilène sur l'aile droite.
Un doublé au creux de la main, un tourment pour Atleti dans lequel il a montré une autre face de lui-même.
Ce jeu à la 70è minute, avec d'abord des dribbles secs sur Hermoso puis de la hanche sur Witsel et un tir du pied gauche raté de peu, aurait pu donner le 2-0 et presque la touche finale de ce quatrième derby. Mais le ballon n’est pas entré.
Le Bernabéu s'en fichait. Une minute plus tard, le Bernabéu lui a fait une grande ovation. Les téléspectateurs lui ont attribué le titre de MVP.
