Le procès, initié en décembre 2021 par une plainte déposée par Inwi (groupe Wana), accuse Maroc Telecom de pratiques anticoncurrentielles et d'exploitation abusive de sa position dominante sur le marché intérieur des télécommunications. Une bataille juridique complexe qui a vu Inwi réclamer initialement 6,8 milliards de dirhams, somme que le tribunal a largement validée.
Ce n'est pas la première fois que les deux opérateurs se retrouvent au cœur d'un contentieux. Une plainte antérieure déposée par Inwi avait été retirée en février 2020. Ce retrait faisait suite à la condamnation de Maroc Telecom par l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) pour des pratiques anticoncurrentielles sur le marché du fixe.
Dans un communiqué, Inwi expliquait que le retrait de la plainte visait à permettre la mise en place de mesures et d'injonctions favorables à une concurrence saine, conformément à la décision de l'ANRT. Les administrateurs du groupe se montraient confiants dans les perspectives de consolidation et de développement du secteur des télécommunications.
L'amende initiale imposée par l'ANRT à Maroc Telecom s'élevait à 3,3 milliards de dirhams, sanctionnant des comportements constitutifs d'abus de position dominante. Cette décision avait incité Inwi à retirer temporairement sa plainte dans l'espoir de voir rétablie une concurrence équitable sur le marché.
Cependant, la saga juridique n'a pas pris fin avec le retrait de la plainte. La décision du tribunal de commerce de Rabat, ordonnant à Maroc Telecom de verser 6,8 milliards de dirhams à Inwi, constitue une nouvelle étape marquante dans le paysage concurrentiel des télécommunications au Maroc.
Ce n'est pas la première fois que les deux opérateurs se retrouvent au cœur d'un contentieux. Une plainte antérieure déposée par Inwi avait été retirée en février 2020. Ce retrait faisait suite à la condamnation de Maroc Telecom par l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) pour des pratiques anticoncurrentielles sur le marché du fixe.
Dans un communiqué, Inwi expliquait que le retrait de la plainte visait à permettre la mise en place de mesures et d'injonctions favorables à une concurrence saine, conformément à la décision de l'ANRT. Les administrateurs du groupe se montraient confiants dans les perspectives de consolidation et de développement du secteur des télécommunications.
L'amende initiale imposée par l'ANRT à Maroc Telecom s'élevait à 3,3 milliards de dirhams, sanctionnant des comportements constitutifs d'abus de position dominante. Cette décision avait incité Inwi à retirer temporairement sa plainte dans l'espoir de voir rétablie une concurrence équitable sur le marché.
Cependant, la saga juridique n'a pas pris fin avec le retrait de la plainte. La décision du tribunal de commerce de Rabat, ordonnant à Maroc Telecom de verser 6,8 milliards de dirhams à Inwi, constitue une nouvelle étape marquante dans le paysage concurrentiel des télécommunications au Maroc.