Cristina Reyes Hidalgo, présidente du Parlement andin
Fini le temps quand l’ancienne présidente du Parlement andin, Gloria Flores, a tenté d'entraîner ses membres dans la thèse du Polisario contre l’intégrité territoriale du Royaume et place donc à la diversification des voies de coopération entre le Maroc et les pays andins (Bolivie, Colombie, Équateur, Pérou, Chili), avec une position positive de ceux-ci par rapport au dossier du Sahara marocain. La nouvelle présidente du l’hémicycle andin, Cristina Reyes Hidalgo, tient à nouer des relations avec le Royaume du Maroc à des niveaux élevés.
Ceci vient à l’heure où les relations entre le Maroc et la communauté des pays andins sont passées à un niveau supérieur après le rejet par le Parlement andin de l’entité fantoche du « Polisario » en tant que membre observateur du parlement andin. A cela s’ajoute le soutien apporté par l’Hémicycle andin à l’initiative marocaine d’autonomie, sous la souveraineté du Royaume, comme une solution réaliste et crédible pour mettre fin à ce conflit artificiel créé et entretenu par l’Algérie. Un fait qui a secoué le mouvement séparatiste ou encore ses supporteurs d’Alger qui plongent davantage dans le désarroi.
La responsable Cristina Reyes Hidalgo s’exprimait lors d’une rencontre avec les membres de la section parlementaire nationale auprès du Parlement andin, en marge de leur participation aux travaux de la session d’août de ce groupement régional, tenue du 24 au 26 courant.
Tout en saluant la place du Maroc et son rôle dans le raffermissement de la coopération Sud-Sud, Reyes Hidalgo a fait part de sa grande appréciation pour le Royaume du Maroc et ses initiatives de solidarité, ce qui en fait un trait d’union entre l’Afrique, le monde arabe et les pays des Andes.
Reyes Hidalgo a également exprimé sa fierté de la présence de membres du Parlement marocain aux activités de cette session du Parlement andin, dans la mesure où cela représente une opportunité pour « échanger et partager les expériences et bénéficier des expériences pionnières du Royaume, notamment dans le domaine des énergies alternatives et de la politique de l’eau, ainsi que de la stratégie nationale d’intégration des immigrés et de la gestion de la question migratoire, en général ».
A cet égard, la nouvelle présidente du Parlement andin a souligné le rôle d’avant-garde joué par le Parlement marocain dans le renforcement des relations avec les pays de la communauté andine, appelant à tirer profit de la visite des représentants des deux Chambres du parlement marocain pour découvrir les expériences pionnières du Maroc dans de nombreux secteurs, ainsi que les acquis engrangés en matière de promotion de la femme, de la gestion des flux migratoires, de politique agricole et des énergies renouvelables.
Les membres de la délégation parlementaire marocaine, quant à eux, ont témoigné de la volonté de l’institution législative de traduire le parcours remarquable des relations bilatérales en des projets et une feuille de route claire avec des objectifs et des mécanismes bien définis.
Ceci vient à l’heure où les relations entre le Maroc et la communauté des pays andins sont passées à un niveau supérieur après le rejet par le Parlement andin de l’entité fantoche du « Polisario » en tant que membre observateur du parlement andin. A cela s’ajoute le soutien apporté par l’Hémicycle andin à l’initiative marocaine d’autonomie, sous la souveraineté du Royaume, comme une solution réaliste et crédible pour mettre fin à ce conflit artificiel créé et entretenu par l’Algérie. Un fait qui a secoué le mouvement séparatiste ou encore ses supporteurs d’Alger qui plongent davantage dans le désarroi.
La responsable Cristina Reyes Hidalgo s’exprimait lors d’une rencontre avec les membres de la section parlementaire nationale auprès du Parlement andin, en marge de leur participation aux travaux de la session d’août de ce groupement régional, tenue du 24 au 26 courant.
Tout en saluant la place du Maroc et son rôle dans le raffermissement de la coopération Sud-Sud, Reyes Hidalgo a fait part de sa grande appréciation pour le Royaume du Maroc et ses initiatives de solidarité, ce qui en fait un trait d’union entre l’Afrique, le monde arabe et les pays des Andes.
Reyes Hidalgo a également exprimé sa fierté de la présence de membres du Parlement marocain aux activités de cette session du Parlement andin, dans la mesure où cela représente une opportunité pour « échanger et partager les expériences et bénéficier des expériences pionnières du Royaume, notamment dans le domaine des énergies alternatives et de la politique de l’eau, ainsi que de la stratégie nationale d’intégration des immigrés et de la gestion de la question migratoire, en général ».
A cet égard, la nouvelle présidente du Parlement andin a souligné le rôle d’avant-garde joué par le Parlement marocain dans le renforcement des relations avec les pays de la communauté andine, appelant à tirer profit de la visite des représentants des deux Chambres du parlement marocain pour découvrir les expériences pionnières du Maroc dans de nombreux secteurs, ainsi que les acquis engrangés en matière de promotion de la femme, de la gestion des flux migratoires, de politique agricole et des énergies renouvelables.
Les membres de la délégation parlementaire marocaine, quant à eux, ont témoigné de la volonté de l’institution législative de traduire le parcours remarquable des relations bilatérales en des projets et une feuille de route claire avec des objectifs et des mécanismes bien définis.
