Une présentation officielle qui a mis en lumière un plateau exceptionnel, où se côtoient les meilleurs marathoniens du Maroc, du Kenya et d’Éthiopie.
Un plateau masculin de très haut niveau
Cette année, le marathon casablancais affiche des ambitions mondiales. Parmi les têtes d’affiche, le Marocain El Mahjoub Dazza, détenteur d’un record personnel de 2h05’26’’ réalisé à Valence, tentera de briller sur ses terres face à une impressionnante armada kényane : Paul Lonyangata (2h06’10’’), Leonard Langat (2h06’59’’), Mathew Samperu (2h07’25’’) et Emmanuel Naibei (2h07’41’’).
Le Maroc sera également représenté par Omar Aït Chitachen, fort d’un chrono de 2h07’57’’ signé à Osaka.
Un duel à suspense s’annonce entre ces coureurs de classe mondiale.
Un plateau masculin de très haut niveau
Cette année, le marathon casablancais affiche des ambitions mondiales. Parmi les têtes d’affiche, le Marocain El Mahjoub Dazza, détenteur d’un record personnel de 2h05’26’’ réalisé à Valence, tentera de briller sur ses terres face à une impressionnante armada kényane : Paul Lonyangata (2h06’10’’), Leonard Langat (2h06’59’’), Mathew Samperu (2h07’25’’) et Emmanuel Naibei (2h07’41’’).
Le Maroc sera également représenté par Omar Aït Chitachen, fort d’un chrono de 2h07’57’’ signé à Osaka.
Un duel à suspense s’annonce entre ces coureurs de classe mondiale.
Les reines de l’endurance à l’honneur
La compétition féminine ne sera pas en reste, avec un peloton qui promet d’offrir un spectacle de haut niveau.
L’Éthiopienne Zenebu Fikadu (2h24’43’’) mènera la danse face à Gladys Kiptoo (Kenya, 2h26’08’’), Caroline Jepchirchir (Kenya, 2h26’11’’) et la Marocaine Keltoum Bouasriya (2h26’54’’), championne nationale en titre.
Des performances qui pourraient bien menacer les records du circuit marocain.
Des récompenses à la hauteur de l’exploit
Pour cette édition du renouveau, les organisateurs ont annoncé une grille de primes exceptionnelle, témoignant de leur volonté de valoriser la performance et l’équité.
Un bonus de 100 000 dirhams récompensera tout athlète capable de battre le record du marathon (2h08’32’’ chez les hommes).
Les vainqueurs du marathon, hommes et femmes, recevront chacun 150 000 dirhams, tandis que les primes s’étendront jusqu’à la 8ᵉ place.
Une parité totale est garantie entre les deux catégories, aussi bien pour le marathon que pour le semi-marathon.
Événement majeur du calendrier sportif marocain, le Marathon International de Casablanca s’est imposé comme un symbole de dynamisme, de dépassement de soi et de rayonnement international.
Cette 16ème édition est placée sous le signe de la performance, du fair-play et du partage, confirmant une fois de plus que Casablanca n’est pas seulement une capitale économique, mais aussi une terre de champions.
La compétition féminine ne sera pas en reste, avec un peloton qui promet d’offrir un spectacle de haut niveau.
L’Éthiopienne Zenebu Fikadu (2h24’43’’) mènera la danse face à Gladys Kiptoo (Kenya, 2h26’08’’), Caroline Jepchirchir (Kenya, 2h26’11’’) et la Marocaine Keltoum Bouasriya (2h26’54’’), championne nationale en titre.
Des performances qui pourraient bien menacer les records du circuit marocain.
Des récompenses à la hauteur de l’exploit
Pour cette édition du renouveau, les organisateurs ont annoncé une grille de primes exceptionnelle, témoignant de leur volonté de valoriser la performance et l’équité.
Un bonus de 100 000 dirhams récompensera tout athlète capable de battre le record du marathon (2h08’32’’ chez les hommes).
Les vainqueurs du marathon, hommes et femmes, recevront chacun 150 000 dirhams, tandis que les primes s’étendront jusqu’à la 8ᵉ place.
Une parité totale est garantie entre les deux catégories, aussi bien pour le marathon que pour le semi-marathon.
Événement majeur du calendrier sportif marocain, le Marathon International de Casablanca s’est imposé comme un symbole de dynamisme, de dépassement de soi et de rayonnement international.
Cette 16ème édition est placée sous le signe de la performance, du fair-play et du partage, confirmant une fois de plus que Casablanca n’est pas seulement une capitale économique, mais aussi une terre de champions.





















