Dans une réponse à une question parlementaire écrite, Bourita a rappelé que le discours royal prononcé à l’occasion du 69ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple a constitué un tournant majeur, permettant de réorienter la politique publique en direction des Marocains du monde, en mettant l’accent sur plusieurs axes : simplifier les procédures administratives, renforcer l’attachement à l’identité nationale, mobiliser les compétences marocaines établies à l’étranger et encourager leurs investissements au Maroc.
Poursuivant sur cette lancée, le ministre a précisé que le Comité ministériel chargé des affaires des MRE, présidé par le Chef du gouvernement, continue de coordonner ses actions avec les commissions techniques et thématiques qui en dépendent. Ces instances ont déjà formulé des propositions et recommandations concrètes, qui sont progressivement mises en œuvre en partenariat avec les différents acteurs concernés.
Dans le prolongement de cette dynamique, Bourita a fait savoir que plusieurs administrations et établissements publics ont mis en place des dispositifs facilitant l’accès aux services dédiés aux Marocains du monde. Parmi ces mesures figurent l’élaboration de guides administratifs, la création d’un guide consulaire unifié et multilingue pour harmoniser et simplifier les démarches, ainsi que la mise en place de centres d’appel, de cellules d’accueil et d’orientation, spécialement dédiés aux membres de la diaspora.
Le ministre a également indiqué que la digitalisation occupe une place centrale dans ce processus de modernisation. Des services liés à la gestion foncière et à l’état civil, tels que la plateforme « Mohafadati », sont déjà accessibles en ligne. De plus, un portail numérique a été lancé pour la réception des plaintes. Dans ce cadre, l’Agence de développement du digital supervise la mise en œuvre de la loi 55.19 relative à la simplification des procédures et formalités administratives. À titre d’illustration, plus de 2.700 démarches avaient été publiées sur le portail numérique à fin août 2024.
En matière de coopération institutionnelle, Bourita a mis en avant la signature de mémorandums d’entente par l’Institution du Médiateur avec ses homologues de l’espace francophone et des pays du bassin méditerranéen, afin de renforcer la protection des droits des citoyens marocains à l’étranger.
Le ministre a par ailleurs rappelé que les Marocains du monde bénéficient, depuis l’adhésion du Maroc à la Convention de La Haye en 2016, d’une exemption de légalisation des documents publics étrangers. Une avancée significative qui vise à simplifier encore davantage les procédures administratives et à alléger les contraintes pesant sur la diaspora.
Par ailleurs, Bourita a insisté sur le fait que toutes ces initiatives s’inscrivent dans une vision globale qui vise à répondre aux attentes des Marocains du monde, à faciliter leur intégration dans le système administratif et de services du Royaume et, plus largement, à traduire l’engagement constant de l’État marocain à renforcer les liens avec ses citoyens établis à l’étranger, tout en valorisant leur contribution au développement national.
Poursuivant sur cette lancée, le ministre a précisé que le Comité ministériel chargé des affaires des MRE, présidé par le Chef du gouvernement, continue de coordonner ses actions avec les commissions techniques et thématiques qui en dépendent. Ces instances ont déjà formulé des propositions et recommandations concrètes, qui sont progressivement mises en œuvre en partenariat avec les différents acteurs concernés.
Dans le prolongement de cette dynamique, Bourita a fait savoir que plusieurs administrations et établissements publics ont mis en place des dispositifs facilitant l’accès aux services dédiés aux Marocains du monde. Parmi ces mesures figurent l’élaboration de guides administratifs, la création d’un guide consulaire unifié et multilingue pour harmoniser et simplifier les démarches, ainsi que la mise en place de centres d’appel, de cellules d’accueil et d’orientation, spécialement dédiés aux membres de la diaspora.
Le ministre a également indiqué que la digitalisation occupe une place centrale dans ce processus de modernisation. Des services liés à la gestion foncière et à l’état civil, tels que la plateforme « Mohafadati », sont déjà accessibles en ligne. De plus, un portail numérique a été lancé pour la réception des plaintes. Dans ce cadre, l’Agence de développement du digital supervise la mise en œuvre de la loi 55.19 relative à la simplification des procédures et formalités administratives. À titre d’illustration, plus de 2.700 démarches avaient été publiées sur le portail numérique à fin août 2024.
En matière de coopération institutionnelle, Bourita a mis en avant la signature de mémorandums d’entente par l’Institution du Médiateur avec ses homologues de l’espace francophone et des pays du bassin méditerranéen, afin de renforcer la protection des droits des citoyens marocains à l’étranger.
Le ministre a par ailleurs rappelé que les Marocains du monde bénéficient, depuis l’adhésion du Maroc à la Convention de La Haye en 2016, d’une exemption de légalisation des documents publics étrangers. Une avancée significative qui vise à simplifier encore davantage les procédures administratives et à alléger les contraintes pesant sur la diaspora.
Par ailleurs, Bourita a insisté sur le fait que toutes ces initiatives s’inscrivent dans une vision globale qui vise à répondre aux attentes des Marocains du monde, à faciliter leur intégration dans le système administratif et de services du Royaume et, plus largement, à traduire l’engagement constant de l’État marocain à renforcer les liens avec ses citoyens établis à l’étranger, tout en valorisant leur contribution au développement national.
