À la veille du match homologue en Afrique, il ne restait plus que la finale de la Ligue des champions C1, qui se jouait devant 75.000 personnes au stade Atatürk Olympic Stadium d’Istanbul, pour que tous les gagnants des compétitions européennes soient enfin déterminés (championnats, coupes nationales et continentales compris).
Au terme d’une rencontre haletante de par le suspense qu’elle provoquait, et ponctuée d’un unique but de l’Espagnol Rodri, Manchester City se situe désormais sur le toit de l’Europe en remportant la plus prestigieuse des compétitions de clubs pour la première fois de son Histoire. Cela n’aura pas été une tâche aisée malgré une possession de balle à l’avantage des Skyblues, habitude si ce n’est coutume des équipes entraînées par Pep Guardiola.
Il faut dire que les Cityzens partaient grandissimes favoris, avec une cote à 1.47 pour une victoire de ces derniers, et de 4.70 pour une victoire de l’Inter Milan (cotes estimées par les principaux bookmakers).
Le club anglais commençait le match en 3-2-4-1, formation qui avait déjà fait ses preuves notamment contre le Real Madrid, avec un double pivot John Stones Rodri, alors que l’Inter Milan débutait en 3-5-2, avec Lautaro Martinez et Edin Dzeko en pointe de l’attaque.
En début de match, Bernaldo Silva partait de la droite avec une série de dribbles et frôlait l’équerre opposée (5ème).
Les Interistes mettaient alors le pied sur le ballon sans parvenir toutefois à se montrer dangereux.
Les Cityzens reprenaient l’ascendant jusqu’à la mi-temps, en trouvant un Onana vigilant (27ème, 29ème), et perdaient Kevin De Bruyne sur blessure (36ème), remplacé poste pour poste par Phil Foden. Le premier acte se concluait par un score vierge, avec des Cityzens globalement dominateurs.
Au retour des vestiaires, le match reprenait sur un faux rythme qui bénéficiait aux Nerazzurri, puisque Lautaro Martinez profitait d’une perte de balle de Manuel Akanji pour se présenter en un contre face à Ederson, mais son tir était stoppé dans un angle difficile (58ème).
Ce fut le moment choisi par les hommes de Josep Guardiola pour leur réveil, avec la concrétisation de leur bon moment à la 68ème minute, lorsque Rodri reprenait un ballon à l’entrée de la surface sur un joli mouvement collectif, crucifiant Onana avec un tir précis.
Ce but avait le mérite de piquer l’orgueil des poulains de Simone Inzaghi, et Federico Dimarco signait une double occasion (71ème) en trouvant la barre de la tête.
Très remuant, Phil Foden s’offrait ensuite une opportunité en or de doubler la marque devant le gardien camerounais (77ème).
La fin de match était palpitante puisque les Interistes se sont montrés offensifs et pressants, notamment sur une tête à bout portant de Romelu Lukaku (88ème) qui était entré en cours de jeu, mais qui ne trouvait pas le chemin des filets.
Cette victoire sur la plus petite des marges vient conclure un triplé historique (Premier League, Coupe d’Angleterre et Ligue des champions) pour l’équipe anglaise. Consécration que le coach Pep Guardiola a déjà connue étant donné qu’il avait réussi cet exploit avec le FC Barcelone lors de la saison 2008-2009.
Il devient ainsi le premier entraîneur à réaliser deux triplés dans sa carrière, et devient aussi par la même occasion le deuxième entraîneur le plus titré de l’Histoire, à égalité avec le Roumain Mircea Lucescu.
*(Journaliste stagiaire)
Au terme d’une rencontre haletante de par le suspense qu’elle provoquait, et ponctuée d’un unique but de l’Espagnol Rodri, Manchester City se situe désormais sur le toit de l’Europe en remportant la plus prestigieuse des compétitions de clubs pour la première fois de son Histoire. Cela n’aura pas été une tâche aisée malgré une possession de balle à l’avantage des Skyblues, habitude si ce n’est coutume des équipes entraînées par Pep Guardiola.
Il faut dire que les Cityzens partaient grandissimes favoris, avec une cote à 1.47 pour une victoire de ces derniers, et de 4.70 pour une victoire de l’Inter Milan (cotes estimées par les principaux bookmakers).
Le club anglais commençait le match en 3-2-4-1, formation qui avait déjà fait ses preuves notamment contre le Real Madrid, avec un double pivot John Stones Rodri, alors que l’Inter Milan débutait en 3-5-2, avec Lautaro Martinez et Edin Dzeko en pointe de l’attaque.
En début de match, Bernaldo Silva partait de la droite avec une série de dribbles et frôlait l’équerre opposée (5ème).
Les Interistes mettaient alors le pied sur le ballon sans parvenir toutefois à se montrer dangereux.
Les Cityzens reprenaient l’ascendant jusqu’à la mi-temps, en trouvant un Onana vigilant (27ème, 29ème), et perdaient Kevin De Bruyne sur blessure (36ème), remplacé poste pour poste par Phil Foden. Le premier acte se concluait par un score vierge, avec des Cityzens globalement dominateurs.
Au retour des vestiaires, le match reprenait sur un faux rythme qui bénéficiait aux Nerazzurri, puisque Lautaro Martinez profitait d’une perte de balle de Manuel Akanji pour se présenter en un contre face à Ederson, mais son tir était stoppé dans un angle difficile (58ème).
Ce fut le moment choisi par les hommes de Josep Guardiola pour leur réveil, avec la concrétisation de leur bon moment à la 68ème minute, lorsque Rodri reprenait un ballon à l’entrée de la surface sur un joli mouvement collectif, crucifiant Onana avec un tir précis.
Ce but avait le mérite de piquer l’orgueil des poulains de Simone Inzaghi, et Federico Dimarco signait une double occasion (71ème) en trouvant la barre de la tête.
Très remuant, Phil Foden s’offrait ensuite une opportunité en or de doubler la marque devant le gardien camerounais (77ème).
La fin de match était palpitante puisque les Interistes se sont montrés offensifs et pressants, notamment sur une tête à bout portant de Romelu Lukaku (88ème) qui était entré en cours de jeu, mais qui ne trouvait pas le chemin des filets.
Cette victoire sur la plus petite des marges vient conclure un triplé historique (Premier League, Coupe d’Angleterre et Ligue des champions) pour l’équipe anglaise. Consécration que le coach Pep Guardiola a déjà connue étant donné qu’il avait réussi cet exploit avec le FC Barcelone lors de la saison 2008-2009.
Il devient ainsi le premier entraîneur à réaliser deux triplés dans sa carrière, et devient aussi par la même occasion le deuxième entraîneur le plus titré de l’Histoire, à égalité avec le Roumain Mircea Lucescu.
*(Journaliste stagiaire)
