Ces lettres captivantes, interceptées et saisies entre les années 1930 et 1950, exposent des affaires intimes interdites pendant l'ère coloniale. Des déclarations passionnées telles que « Je suis folle de toi... Confesse-moi que tes yeux ne se posent sur nulle autre femme » révèlent l'intensité de ces liaisons clandestines, dissimulées au fond des archives espagnoles pendant des décennies.
L'universitaire Josep Lluís Mateo Dieste et Nieves Muriel García ont redécouvert ces missives, faisant actuellement partie des archives centrales de l’administration de la ville universitaire d’Alcala de Henares, ces documents ont été étudiés par Arthur Asseraf, historien de la France moderne, de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée à la Faculté d’Histoire de Cambridge.
Ces lettres saisies ont fait partie des archives du gouvernement colonial à Tétouan. Elles ont ensuite été envoyées en Espagne et oubliées pendant des décennies, avant d’être enfin exhumées, chacune racontant une histoire complète et témoignant de la répression sévère à laquelle ces relations étaient confrontées.
Dans une époque où les autorités espagnoles du protectorat au Maroc considéraient ces relations comme des menaces potentielles, ces correspondances décrivent les obstacles surmontés par ces amants transfrontaliers. Des ordres officiels de prévenir les mariages entre les soldats marocains et les femmes espagnoles ont créé un climat où l'amour était subversif.
L'universitaire Josep Lluís Mateo Dieste et Nieves Muriel García ont redécouvert ces missives, faisant actuellement partie des archives centrales de l’administration de la ville universitaire d’Alcala de Henares, ces documents ont été étudiés par Arthur Asseraf, historien de la France moderne, de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée à la Faculté d’Histoire de Cambridge.
Ces lettres saisies ont fait partie des archives du gouvernement colonial à Tétouan. Elles ont ensuite été envoyées en Espagne et oubliées pendant des décennies, avant d’être enfin exhumées, chacune racontant une histoire complète et témoignant de la répression sévère à laquelle ces relations étaient confrontées.
Dans une époque où les autorités espagnoles du protectorat au Maroc considéraient ces relations comme des menaces potentielles, ces correspondances décrivent les obstacles surmontés par ces amants transfrontaliers. Des ordres officiels de prévenir les mariages entre les soldats marocains et les femmes espagnoles ont créé un climat où l'amour était subversif.
Les femmes espagnoles, courageuses, écrivaient des lettres d'amour enflammées, exprimant des désirs interdits et des promesses d'amour éternel. Cependant, ces déclarations d'affection n'ont souvent jamais atteint leurs destinataires marocains, les autorités coloniales faisant tout en leur pouvoir pour rendre ces liaisons impossibles.
Les implications politiques et sociales de ces relations transgressives étaient sévèrement punies par les autorités espagnoles, lesquelles craignaient que de tels mariages ne sapent la base même de la domination coloniale. Les lettres révèlent la lutte silencieuse et les sacrifices de ces amants, confrontés à des interdictions de mariage et aux séparations imposées par les autorités.
Ces découvertes éclairent une période méconnue de l'histoire coloniale espagnole au Maroc, offrant un aperçu fascinant des relations intimes sous la domination de Franco. Bien que ces lettres n'aient jamais atteint leurs destinataires, elles constituent désormais une fenêtre sur des vies marquées par l'amour transgressif et les défis de l'ère coloniale.
Les implications politiques et sociales de ces relations transgressives étaient sévèrement punies par les autorités espagnoles, lesquelles craignaient que de tels mariages ne sapent la base même de la domination coloniale. Les lettres révèlent la lutte silencieuse et les sacrifices de ces amants, confrontés à des interdictions de mariage et aux séparations imposées par les autorités.
Ces découvertes éclairent une période méconnue de l'histoire coloniale espagnole au Maroc, offrant un aperçu fascinant des relations intimes sous la domination de Franco. Bien que ces lettres n'aient jamais atteint leurs destinataires, elles constituent désormais une fenêtre sur des vies marquées par l'amour transgressif et les défis de l'ère coloniale.