Cette rencontre, tenue en marge du Forum social de Porto, a été l'occasion d’examiner le cadre réglementaire encadrant les questions d'emploi et de migration entre les deux pays, ainsi que d’explorer de nouvelles perspectives de coopération, en phase avec les besoins actuels des entreprises et des travailleurs.
Les deux parties ont évoqué la mobilisation des équipes techniques dans les prochaines semaines en vue de la mise en œuvre d’un programme de mobilité des travailleurs, répondant aux attentes des entreprises portugaises et aux aspirations des travailleurs marocains.
Les deux ministres ont également souligné la nécessité d’instaurer un cadre organisé offrant des garanties équilibrées tant pour les travailleurs que pour les employeurs, et servant les intérêts des deux pays, notamment en ce qui concerne les besoins de l’économie marocaine en compétences nationales dans plusieurs secteurs.
A cette occasion, M. Sekkouri a mis en avant l’expérience réussie du Maroc avec l’Espagne en matière de gestion de la migration saisonnière, à travers l’octroi de visas de quatre ans, ce qui a permis de garantir de la stabilité aux travailleurs et de fournir une main-d’œuvre fiable et qualifiée aux entreprises.
Pour sa part, la ministre portugaise a indiqué que son pays était prêt à accueillir les investissements marocains, soulignant l’importance d’élargir les domaines de coopération économique au-delà de la question migratoire.
Les deux ministres ont également mis en exergue l’importance pour les entreprises de pouvoir anticiper leurs besoins et de procéder au recrutement directement depuis le Maroc via l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences et l’Institut de formation professionnelle, en accordant une attention particulière à la formation des travailleurs dans leur pays d’origine, afin de garantir leur aptitude à occuper des emplois avant leur départ vers le pays d'accueil.
Les deux parties se sont accordées sur l’élaboration d’un plan d’action conjoint visant à étudier la possibilité d’adopter un modèle similaire à celui en vigueur entre le Maroc et l’Espagne, contribuant ainsi à renforcer l’intégration professionnelle et à servir les intérêts communs des deux pays.
Dans une déclaration à la MAP, la ministre portugaise du Travail, de la Solidarité et de la Sécurité sociale, a indiqué que cette réunion a permis de se pencher sur des questions de grande importance pour les deux pays, précisant que les échanges ont porté sur la mobilité des compétences et des ressources humaines, ainsi que sur les thématiques liées à l’emploi et à la migration.
Ces entretiens ont été particulièrement fructueux, a poursuivi la responsable, se félicitant de la coopération étroite entre les deux pays dans ces domaines.
Pour sa part, M. Sekkouri a affirmé que les relations politiques entre le Maroc et le Portugal ont connu un essor sans précédent, ajoutant que les liens économiques entre les deux pays connaissent eux aussi une évolution continue.
Les questions relatives aux compétences, à la main-d'œuvre et à l'immigration, ainsi que l'échange d'expériences, ont été au cœur de ses discussions avec son homologue portugaise, a ajouté le ministre, rappelant que les deux pays ont réalisé des avancées notables en matière de dialogue social et de conventions collectives.
Il s’est dit confiant que la coopération avec la partie portugaise permettrait d’atteindre des résultats tangibles qui profiteront aux deux pays.
Les deux parties ont évoqué la mobilisation des équipes techniques dans les prochaines semaines en vue de la mise en œuvre d’un programme de mobilité des travailleurs, répondant aux attentes des entreprises portugaises et aux aspirations des travailleurs marocains.
Les deux ministres ont également souligné la nécessité d’instaurer un cadre organisé offrant des garanties équilibrées tant pour les travailleurs que pour les employeurs, et servant les intérêts des deux pays, notamment en ce qui concerne les besoins de l’économie marocaine en compétences nationales dans plusieurs secteurs.
A cette occasion, M. Sekkouri a mis en avant l’expérience réussie du Maroc avec l’Espagne en matière de gestion de la migration saisonnière, à travers l’octroi de visas de quatre ans, ce qui a permis de garantir de la stabilité aux travailleurs et de fournir une main-d’œuvre fiable et qualifiée aux entreprises.
Pour sa part, la ministre portugaise a indiqué que son pays était prêt à accueillir les investissements marocains, soulignant l’importance d’élargir les domaines de coopération économique au-delà de la question migratoire.
Les deux ministres ont également mis en exergue l’importance pour les entreprises de pouvoir anticiper leurs besoins et de procéder au recrutement directement depuis le Maroc via l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences et l’Institut de formation professionnelle, en accordant une attention particulière à la formation des travailleurs dans leur pays d’origine, afin de garantir leur aptitude à occuper des emplois avant leur départ vers le pays d'accueil.
Les deux parties se sont accordées sur l’élaboration d’un plan d’action conjoint visant à étudier la possibilité d’adopter un modèle similaire à celui en vigueur entre le Maroc et l’Espagne, contribuant ainsi à renforcer l’intégration professionnelle et à servir les intérêts communs des deux pays.
Dans une déclaration à la MAP, la ministre portugaise du Travail, de la Solidarité et de la Sécurité sociale, a indiqué que cette réunion a permis de se pencher sur des questions de grande importance pour les deux pays, précisant que les échanges ont porté sur la mobilité des compétences et des ressources humaines, ainsi que sur les thématiques liées à l’emploi et à la migration.
Ces entretiens ont été particulièrement fructueux, a poursuivi la responsable, se félicitant de la coopération étroite entre les deux pays dans ces domaines.
Pour sa part, M. Sekkouri a affirmé que les relations politiques entre le Maroc et le Portugal ont connu un essor sans précédent, ajoutant que les liens économiques entre les deux pays connaissent eux aussi une évolution continue.
Les questions relatives aux compétences, à la main-d'œuvre et à l'immigration, ainsi que l'échange d'expériences, ont été au cœur de ses discussions avec son homologue portugaise, a ajouté le ministre, rappelant que les deux pays ont réalisé des avancées notables en matière de dialogue social et de conventions collectives.
Il s’est dit confiant que la coopération avec la partie portugaise permettrait d’atteindre des résultats tangibles qui profiteront aux deux pays.