Que faire du Polisario ? Une question qui commence à germer dans les esprits, maintenant que le conflit du Sahara s’achemine vers un règlement définitif. La claque britannique a donné le coup de grâce au front séparatiste, qui navigue désormais à vue, en perte de repères. Plus que jamais isolé sur la scène internationale, où même ses rares soutiens tombent comme un château de cartes, le front et son parrain algérien n’espèrent plus rien des Nations Unies, où trois membres permanents du Conseil de Sécurité soutiennent officiellement la marocanité du Sahara, en attendant la prochaine Résolution qui devrait consacrer le Plan d’autonomie comme l’unique solution.
Incapable de contrer la dynamique internationale en faveur du Royaume, l’Algérie, quant à elle, assiste impuissante à la déconfiture d’un projet où elle s’est investie corps et âme pendant 50 ans. Pire, le régime militaire se retrouve désormais avec une milice armée, avec des velléités terroristes, sur son sol. Une bombe à retardement qui menace d’exploser à tout moment !
Préoccupée, la Mauritanie se met de plus en plus à l’écart du Polisario, dont les éléments armés sillonnent impunément sa frontière avec l’Algérie. L’armée mauritanienne a fermé définitivement le passage de Lebriga, l’un des rares exutoires des milices polisariennes pour mener des opérations de trafic et de harcèlement contre le Maroc dans la région. Nouakchott ne tolère plus les incursions provocatrices sur son territoire, quitte à utiliser les drones. Le président mauritanien a opposé une fin de non-recevoir à toutes les délégations envoyées en urgence par Brahim Ghali pour lui faire changer d’avis. L’époque de l’indulgence est révolue, d’autant plus que la Mauritanie et le Maroc ont renforcé leur coordination militaire pour mieux surveiller la frontière Sud depuis la 5ème réunion de la commission militaire mixte en novembre 2024. Tenu en échec à l’Ouest face au mur de défense, et indésirable au Sud, le Polisario voit sa liberté de mouvement réduite comme peau de chagrin. Acculé et contesté même au sein des camps de Tindouf, le Polisario devient un problème pour toute la région. Il ne reste qu’à sortir par le haut : rendre les armes et capituler, comme l’a fait le PKK en Turquie.
Incapable de contrer la dynamique internationale en faveur du Royaume, l’Algérie, quant à elle, assiste impuissante à la déconfiture d’un projet où elle s’est investie corps et âme pendant 50 ans. Pire, le régime militaire se retrouve désormais avec une milice armée, avec des velléités terroristes, sur son sol. Une bombe à retardement qui menace d’exploser à tout moment !
Préoccupée, la Mauritanie se met de plus en plus à l’écart du Polisario, dont les éléments armés sillonnent impunément sa frontière avec l’Algérie. L’armée mauritanienne a fermé définitivement le passage de Lebriga, l’un des rares exutoires des milices polisariennes pour mener des opérations de trafic et de harcèlement contre le Maroc dans la région. Nouakchott ne tolère plus les incursions provocatrices sur son territoire, quitte à utiliser les drones. Le président mauritanien a opposé une fin de non-recevoir à toutes les délégations envoyées en urgence par Brahim Ghali pour lui faire changer d’avis. L’époque de l’indulgence est révolue, d’autant plus que la Mauritanie et le Maroc ont renforcé leur coordination militaire pour mieux surveiller la frontière Sud depuis la 5ème réunion de la commission militaire mixte en novembre 2024. Tenu en échec à l’Ouest face au mur de défense, et indésirable au Sud, le Polisario voit sa liberté de mouvement réduite comme peau de chagrin. Acculé et contesté même au sein des camps de Tindouf, le Polisario devient un problème pour toute la région. Il ne reste qu’à sortir par le haut : rendre les armes et capituler, comme l’a fait le PKK en Turquie.