Cette discussion a eu lieu lors d'un événement parallèle de haut niveau organisé par le Centre pour la prévention du recrutement d'enfants, en partenariat avec l'Université SSBM de Genève.
L'événement, intitulé « La frontière ténue entre droits humains et terrorisme dans les conflits armés contemporains », a réuni des experts internationaux, des universitaires et des représentants de la société civile.
Il s'est penché en particulier sur les violations systématiques perpétrées par le Front Polisario dans les camps de Tindouf.
Dans son discours d'ouverture, le Dr Abdelkader Filali, président du Centre, a souligné que les groupes armés, menés par le Front Polisario, « s'emparent du discours sur les droits humains et l'utilisent comme prétexte pour justifier leurs pratiques, notamment le recrutement d'enfants et leur implication dans des conflits idéologiques ».
Dr Filali a souligné que ces groupes utilisent des programmes apparemment humanitaires, comme les soi-disant « Vacances en paix », mais qui sont en réalité des plateformes pour arracher les enfants à leur environnement naturel et les endoctriner avec une idéologie politique.
Il a ajouté que l'envoi de mineurs à Cuba sous couvert de missions éducatives n'est rien d'autre qu'une autre forme d'exploitation politique et humanitaire.
Au cours de la discussion, la Fondation Elizka Relief a présenté un témoignage choquant, révélant le recrutement de plus de 8 000 enfants dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie.
La fondation a souligné que ces événements ne peuvent être considérés comme de simples violations, mais plutôt comme des « crimes contre l'humanité » appelant une stricte responsabilité internationale.
Les participants ont également mis en garde contre le danger de militariser les camps et de les transformer en espaces clos propices à l'endoctrinement idéologique, en l'absence de toute surveillance internationale efficace. Ils ont souligné que le Front Polisario cherche, par sa rhétorique adressée à l'opinion publique occidentale, à redorer son blason, tout en ignorant les graves violations dont sont victimes les résidents des camps, en particulier les enfants.
Le symposium s'est conclu par la nécessité d'établir des lignes directrices pour les organisations humanitaires opérant dans les zones de conflit et de créer une équipe internationale de suivi spécialisée dans la surveillance et la protection des enfants contre le recrutement forcé.
Les participants ont également recommandé la mise en place de mécanismes plus rigoureux au sein du système des Nations Unies pour vérifier la véracité des allégations avancées par les groupes armés.
Les experts confirment que la persistance de ces violations depuis des décennies reflète le manque de volonté du Front Polisario de respecter le droit international, tout en cherchant à tromper l'opinion publique internationale avec des slogans de « résistance », de « liberté » et de « libération », à un moment où des milliers d'enfants de Tindouf sont confrontés à un avenir incertain, à la merci de la militarisation et de la privation de leurs droits les plus fondamentaux.
Depuis sa création dans les années 1970, le Front Polisario a cherché à se présenter comme un mouvement de libération nationale afin de gagner en légitimité dans les forums internationaux et de mobiliser l'opinion publique mondiale.
Ce discours s'appuyait sur la propagande révolutionnaire prévalant pendant la guerre froide, lorsque les mouvements de libération étaient considérés comme une résistance légitime au colonialisme.
Cependant, au fil du temps, ce discours est devenu un outil trompeur servant à dissimuler des pratiques qui violent les principes les plus fondamentaux des droits humains, telles que la détention de milliers de Sahraouis dans des conditions tragiques dans les camps de Tindouf, les privant de leur liberté de mouvement et de choix, ainsi que le recrutement et l'exploitation d'enfants à des fins de propagande politique et militaire.
Les participants au symposium ont également abordé une autre dimension, non moins dangereuse : les liens du Polisario avec les réseaux terroristes et le crime organisé au Sahel africain.
Des rapports de l'ONU et des services de sécurité régionaux ont montré que des membres du mouvement sont impliqués dans le trafic d'armes, de drogue et d'êtres humains à travers le Sahara, et que certains de ses cadres ont noué des liens avec des groupes extrémistes tels que Daech-GS.
Ce chevauchement entre un programme politique déclaré sous le couvert de la « libération nationale » et des activités illégales, selon les experts, place le Front Polisario dans la catégorie des organisations hybrides qui exploitent les camps comme centres de recrutement et d'endoctrinement, ainsi que comme voies de contrebande et de financement de leurs activités.
Pendant des décennies, certains pays ont perçu le Front Polisario comme un mouvement de libération nationale, fondé sur un discours victimaire et sur les récits trompeurs et les tromperies entretenus par l'Algérie pour consolider cette entité illégitime et lui fournir un prétexte pour promouvoir ce qu'elle appelle « l'autodétermination ».
Or, grâce à l'intense activité diplomatique du Maroc, à son approche sereine visant à mettre fin au conflit artificiel et à la promotion du développement comme voie vers la sécurité et la stabilité dans la région, le discours du front séparatiste a commencé à s'estomper, et de nombreux pays qui avaient soutenu la proposition séparatiste ont découvert l'ampleur de la tromperie et de la désinformation dont ils avaient été victimes.
Ces pays ont reconsidéré leurs positions et ont, soit annoncé le gel des relations avec le Front Polisario, soit déclaré officiellement leur soutien à l'initiative d'autonomie sous souveraineté marocaine comme seule solution réaliste à ce conflit fabriqué.
L'événement, intitulé « La frontière ténue entre droits humains et terrorisme dans les conflits armés contemporains », a réuni des experts internationaux, des universitaires et des représentants de la société civile.
Il s'est penché en particulier sur les violations systématiques perpétrées par le Front Polisario dans les camps de Tindouf.
Dans son discours d'ouverture, le Dr Abdelkader Filali, président du Centre, a souligné que les groupes armés, menés par le Front Polisario, « s'emparent du discours sur les droits humains et l'utilisent comme prétexte pour justifier leurs pratiques, notamment le recrutement d'enfants et leur implication dans des conflits idéologiques ».
Dr Filali a souligné que ces groupes utilisent des programmes apparemment humanitaires, comme les soi-disant « Vacances en paix », mais qui sont en réalité des plateformes pour arracher les enfants à leur environnement naturel et les endoctriner avec une idéologie politique.
Il a ajouté que l'envoi de mineurs à Cuba sous couvert de missions éducatives n'est rien d'autre qu'une autre forme d'exploitation politique et humanitaire.
Au cours de la discussion, la Fondation Elizka Relief a présenté un témoignage choquant, révélant le recrutement de plus de 8 000 enfants dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie.
La fondation a souligné que ces événements ne peuvent être considérés comme de simples violations, mais plutôt comme des « crimes contre l'humanité » appelant une stricte responsabilité internationale.
Les participants ont également mis en garde contre le danger de militariser les camps et de les transformer en espaces clos propices à l'endoctrinement idéologique, en l'absence de toute surveillance internationale efficace. Ils ont souligné que le Front Polisario cherche, par sa rhétorique adressée à l'opinion publique occidentale, à redorer son blason, tout en ignorant les graves violations dont sont victimes les résidents des camps, en particulier les enfants.
Le symposium s'est conclu par la nécessité d'établir des lignes directrices pour les organisations humanitaires opérant dans les zones de conflit et de créer une équipe internationale de suivi spécialisée dans la surveillance et la protection des enfants contre le recrutement forcé.
Les participants ont également recommandé la mise en place de mécanismes plus rigoureux au sein du système des Nations Unies pour vérifier la véracité des allégations avancées par les groupes armés.
Les experts confirment que la persistance de ces violations depuis des décennies reflète le manque de volonté du Front Polisario de respecter le droit international, tout en cherchant à tromper l'opinion publique internationale avec des slogans de « résistance », de « liberté » et de « libération », à un moment où des milliers d'enfants de Tindouf sont confrontés à un avenir incertain, à la merci de la militarisation et de la privation de leurs droits les plus fondamentaux.
Depuis sa création dans les années 1970, le Front Polisario a cherché à se présenter comme un mouvement de libération nationale afin de gagner en légitimité dans les forums internationaux et de mobiliser l'opinion publique mondiale.
Ce discours s'appuyait sur la propagande révolutionnaire prévalant pendant la guerre froide, lorsque les mouvements de libération étaient considérés comme une résistance légitime au colonialisme.
Cependant, au fil du temps, ce discours est devenu un outil trompeur servant à dissimuler des pratiques qui violent les principes les plus fondamentaux des droits humains, telles que la détention de milliers de Sahraouis dans des conditions tragiques dans les camps de Tindouf, les privant de leur liberté de mouvement et de choix, ainsi que le recrutement et l'exploitation d'enfants à des fins de propagande politique et militaire.
Les participants au symposium ont également abordé une autre dimension, non moins dangereuse : les liens du Polisario avec les réseaux terroristes et le crime organisé au Sahel africain.
Des rapports de l'ONU et des services de sécurité régionaux ont montré que des membres du mouvement sont impliqués dans le trafic d'armes, de drogue et d'êtres humains à travers le Sahara, et que certains de ses cadres ont noué des liens avec des groupes extrémistes tels que Daech-GS.
Ce chevauchement entre un programme politique déclaré sous le couvert de la « libération nationale » et des activités illégales, selon les experts, place le Front Polisario dans la catégorie des organisations hybrides qui exploitent les camps comme centres de recrutement et d'endoctrinement, ainsi que comme voies de contrebande et de financement de leurs activités.
Pendant des décennies, certains pays ont perçu le Front Polisario comme un mouvement de libération nationale, fondé sur un discours victimaire et sur les récits trompeurs et les tromperies entretenus par l'Algérie pour consolider cette entité illégitime et lui fournir un prétexte pour promouvoir ce qu'elle appelle « l'autodétermination ».
Or, grâce à l'intense activité diplomatique du Maroc, à son approche sereine visant à mettre fin au conflit artificiel et à la promotion du développement comme voie vers la sécurité et la stabilité dans la région, le discours du front séparatiste a commencé à s'estomper, et de nombreux pays qui avaient soutenu la proposition séparatiste ont découvert l'ampleur de la tromperie et de la désinformation dont ils avaient été victimes.
Ces pays ont reconsidéré leurs positions et ont, soit annoncé le gel des relations avec le Front Polisario, soit déclaré officiellement leur soutien à l'initiative d'autonomie sous souveraineté marocaine comme seule solution réaliste à ce conflit fabriqué.
Ahmadou El-Katab