Dans un entretien accordé à l’agence Reuters , Nizar Baraka a souligné que cette transition est essentielle pour sécuriser l’accès à l’eau dans un contexte de changement climatique marqué par une sécheresse prolongée. Le gouvernement accélère ainsi le déploiement de stations de dessalement fonctionnant à l’énergie renouvelable.
Le royaume projette de produire 1,7 milliard de mètres cubes d’eau dessalée par an à l’horizon 2030, grâce aux unités en construction et aux projets qui seront soumis à appel d’offres dès l’année prochaine, a précisé le ministre en marge du Congrès mondial de l’eau de Marrakech.
Le plus important de ces projets, estimé à près de 10 milliards de dirhams (environ 1 milliard de dollars), verra le jour près de Tiznit, à 615 km au sud de Rabat. Dotée d’une capacité de 350 millions de mètres cubes, cette future station approvisionnera plusieurs centres urbains situés dans une région stratégique pour la production agricole nationale, en plus d’alimenter les périmètres agricoles.
Face à la hausse des températures et à l’évaporation accrue dans les barrages, le Maroc expérimente également des solutions innovantes. Des panneaux solaires flottants ont ainsi été installés sur les barrages afin de limiter l’évaporation, responsable de la perte d’environ 30% des eaux de surface du pays.
Le royaume projette de produire 1,7 milliard de mètres cubes d’eau dessalée par an à l’horizon 2030, grâce aux unités en construction et aux projets qui seront soumis à appel d’offres dès l’année prochaine, a précisé le ministre en marge du Congrès mondial de l’eau de Marrakech.
Le plus important de ces projets, estimé à près de 10 milliards de dirhams (environ 1 milliard de dollars), verra le jour près de Tiznit, à 615 km au sud de Rabat. Dotée d’une capacité de 350 millions de mètres cubes, cette future station approvisionnera plusieurs centres urbains situés dans une région stratégique pour la production agricole nationale, en plus d’alimenter les périmètres agricoles.
Face à la hausse des températures et à l’évaporation accrue dans les barrages, le Maroc expérimente également des solutions innovantes. Des panneaux solaires flottants ont ainsi été installés sur les barrages afin de limiter l’évaporation, responsable de la perte d’environ 30% des eaux de surface du pays.





















