"Les services des télévisions LCI et TF1 sont retirés des bouquets de tous les distributeurs de radiodiffusion sonore ou télévisuelle au Mali, jusqu'à nouvel ordre, à compter de la date de signature de la présente décision", a indiqué la Haute autorité de la communication du Mali dans un communiqué.
La HAC justifie sa décision par des "manquements graves à l'éthique, à la déontologie et à des violations manifestes des textes législatifs et réglementaires sur la régulation des médias, décelés dans l'émission « Grand Dossier » de LCI diffusée le dimanche 9 novembre 2025 et reprise par TF1 sur sa page web publiée le 09 novembre 2025, titrée " Mali, les Djihadistes aux portes de Bamako et " Mali, le nouveau fief d'Al-Qaïda ".
Selon le régulateur des médias au Mali, l'émission mise en cause comporte "des affirmations non vérifiées et des contrevérités" relatives notamment aux allégations selon lesquelles le gouvernement de transition "a interdit la vente du carburant" ou "désormais les terroristes sont donc proches de faire tomber la capitale" Bamako.
Ces dernières semaines, la pénurie de carburant provoquée par le blocus a créé de longues files d'attente dans les stations-service et a encore détérioré la situation sécuritaire dans le pays.
Plusieurs médias français, comme France 24 et Radio France Internationale ont été suspendus de manière permanente au Mali.
La HAC justifie sa décision par des "manquements graves à l'éthique, à la déontologie et à des violations manifestes des textes législatifs et réglementaires sur la régulation des médias, décelés dans l'émission « Grand Dossier » de LCI diffusée le dimanche 9 novembre 2025 et reprise par TF1 sur sa page web publiée le 09 novembre 2025, titrée " Mali, les Djihadistes aux portes de Bamako et " Mali, le nouveau fief d'Al-Qaïda ".
Selon le régulateur des médias au Mali, l'émission mise en cause comporte "des affirmations non vérifiées et des contrevérités" relatives notamment aux allégations selon lesquelles le gouvernement de transition "a interdit la vente du carburant" ou "désormais les terroristes sont donc proches de faire tomber la capitale" Bamako.
Ces dernières semaines, la pénurie de carburant provoquée par le blocus a créé de longues files d'attente dans les stations-service et a encore détérioré la situation sécuritaire dans le pays.
Plusieurs médias français, comme France 24 et Radio France Internationale ont été suspendus de manière permanente au Mali.



















