Photo: Aéroport International Jomo Kenyatta - Région métropolitaine de Nairobi
Désormais, ces pays, dont le Maroc, n’auront plus besoin d’autorisation électronique de voyage, ni de remplir de longs formulaires, ni de payer des frais de visa.
Cependant, cette exemption ne s’applique pas à la Libye et à la Somalie, et ce pour « des soucis de sécurité », précise un communiqué officiel relayé par la presse kényane.
Les ressortissants de pays africains pourront se rendre dans le pays est-africain sans visa et y rester jusqu’à deux mois. Les pays membres de la Communauté d’Afrique de l’Est, quant à eux, profitent d’un séjour de six mois en vertu des protocoles est-africains de libre circulation des personnes en vigueur.
De plus, les voyageurs qui transitent par le Kenya dans le cadre d’une escale peuvent demander une autorisation électronique de voyage valable pour 12 heures. Cela leur permettra d’explorer le pays au lieu de rester confinés aux terminaux des aéroports.
Cette mesure, annoncée par le gouvernement kényan en janvier dernier et rendue officielle, dimanche dernier, s’inscrit dans « les efforts d’appui aux politiques de ciel ouvert (open sky) et au développement du tourisme », précise la même source.
Cependant, cette exemption ne s’applique pas à la Libye et à la Somalie, et ce pour « des soucis de sécurité », précise un communiqué officiel relayé par la presse kényane.
Les ressortissants de pays africains pourront se rendre dans le pays est-africain sans visa et y rester jusqu’à deux mois. Les pays membres de la Communauté d’Afrique de l’Est, quant à eux, profitent d’un séjour de six mois en vertu des protocoles est-africains de libre circulation des personnes en vigueur.
De plus, les voyageurs qui transitent par le Kenya dans le cadre d’une escale peuvent demander une autorisation électronique de voyage valable pour 12 heures. Cela leur permettra d’explorer le pays au lieu de rester confinés aux terminaux des aéroports.
Cette mesure, annoncée par le gouvernement kényan en janvier dernier et rendue officielle, dimanche dernier, s’inscrit dans « les efforts d’appui aux politiques de ciel ouvert (open sky) et au développement du tourisme », précise la même source.
