Les activités qui ont été prévues dans le cadre de cette célébration seront lancées ce vendredi, au siège du CNDH à Rabat, à travers une exposition de photos et vidéos consacrée à l’IER et au comité de suivi de la mise en œuvre de ses recommandations, indique le CNDH dans un communiqué.
« L’IER constitue l’un des tournants les plus marquants de notre histoire contemporaine »' a estimé la présidente du CNDH, Mme Amina Bouayach, citée par le communiqué, notant que « cette expérience se distingue au sein des expériences comparées de justice transitionnelle, car elle a été portée par la volonté tant de l'État que de la société. »
Pour la présidente du CNDH, il s'agit d'« une expérience emblématique, innovante et singulière, tant dans son contexte que dans ses approches et composantes, ses significations, ses impacts. »
Et d'ajouter : « Nous célébrons non seulement une étape, mais aussi le parcours des réformes et des dynamiques sociales que la société a réussi à concrétiser. »
« A travers cette expérience, considérée aujourd'hui comme une expérience de référence pour de nombreux pays et organisations qui partagent ses composantes et capitalisent sur ses acquis et enseignements, le Maroc a réussi à cristalliser un modèle pionnier et novateur dans l’environnement régional et à faire une lecture de son passé pour l’ériger en une dynamique de construction de son avenir », souligne le communiqué.
« La réparation des victimes et de leurs familles, la révision de la constitution, la constitutionnalisation des recommandations de l’IER, la préservation des archives et de la mémoire, les garanties constitutionnelles des droits de l’homme pour garantir la non répétition des violations, la mise en œuvre d’un nouveau concept de gouvernance sécuritaire, en passant par la réforme du système judiciaire et la prévention de la torture, constituent autant d'étapes majeures franchies en deux décennies », fait remarquer le CNDH.
« Ces avancées ont été catalysées par une vision prospective qui a marqué l'expérience de justice transitionnelle nationale en général, et l'expérience de l’IER en particulier », poursuit la même source.
Ainsi, en commémorant cet anniversaire, le CNDH « mettra en relief la singularité de l’expérience marocaine et son impact sur le processus de consolidation de l’État et de la démocratie, tout en illustrant l’engagement constamment renouvelé du Royaume envers les droits de l'Homme. »
« La célébration prévue par le CNDH s'étendra tout au long de l'année 2024 et proposera un programme riche et diversifié aux niveaux régional, national et international mettant l’accent sur plusieurs axes, dont la mémoire et l'histoire, les rapports et publications, les documentaires et l’audiovisuel, ainsi que des événements artistiques, culturels et académiques », conclut le communiqué.
« L’IER constitue l’un des tournants les plus marquants de notre histoire contemporaine »' a estimé la présidente du CNDH, Mme Amina Bouayach, citée par le communiqué, notant que « cette expérience se distingue au sein des expériences comparées de justice transitionnelle, car elle a été portée par la volonté tant de l'État que de la société. »
Pour la présidente du CNDH, il s'agit d'« une expérience emblématique, innovante et singulière, tant dans son contexte que dans ses approches et composantes, ses significations, ses impacts. »
Et d'ajouter : « Nous célébrons non seulement une étape, mais aussi le parcours des réformes et des dynamiques sociales que la société a réussi à concrétiser. »
« A travers cette expérience, considérée aujourd'hui comme une expérience de référence pour de nombreux pays et organisations qui partagent ses composantes et capitalisent sur ses acquis et enseignements, le Maroc a réussi à cristalliser un modèle pionnier et novateur dans l’environnement régional et à faire une lecture de son passé pour l’ériger en une dynamique de construction de son avenir », souligne le communiqué.
« La réparation des victimes et de leurs familles, la révision de la constitution, la constitutionnalisation des recommandations de l’IER, la préservation des archives et de la mémoire, les garanties constitutionnelles des droits de l’homme pour garantir la non répétition des violations, la mise en œuvre d’un nouveau concept de gouvernance sécuritaire, en passant par la réforme du système judiciaire et la prévention de la torture, constituent autant d'étapes majeures franchies en deux décennies », fait remarquer le CNDH.
« Ces avancées ont été catalysées par une vision prospective qui a marqué l'expérience de justice transitionnelle nationale en général, et l'expérience de l’IER en particulier », poursuit la même source.
Ainsi, en commémorant cet anniversaire, le CNDH « mettra en relief la singularité de l’expérience marocaine et son impact sur le processus de consolidation de l’État et de la démocratie, tout en illustrant l’engagement constamment renouvelé du Royaume envers les droits de l'Homme. »
« La célébration prévue par le CNDH s'étendra tout au long de l'année 2024 et proposera un programme riche et diversifié aux niveaux régional, national et international mettant l’accent sur plusieurs axes, dont la mémoire et l'histoire, les rapports et publications, les documentaires et l’audiovisuel, ainsi que des événements artistiques, culturels et académiques », conclut le communiqué.