La Ligue Nationale de Football Professionnel (LNFP) a annoncé, à la fin de la saison 2024-2025, le lancement d’un nouveau championnat national U21. Ce projet s’inscrit dans la volonté de renforcer le développement des jeunes talents tout en s’intégrant aux calendriers de la D1 et de la D2 du championnat national, la Botola Pro.
Une spécificité notable : les matchs de ce championnat se joueront un jour après ceux des équipes premières.
Des Règles strictes pour assurer la cohérence
La ligue a instauré une règle importante pour garantir l’encadrement et la qualité du championnat. Elle impose la présence obligatoire du coach adjoint de l’équipe première sur le banc des remplaçants lors des matchs de l’équipe U21.
En cas d'absence, une amende sera appliquée. De plus, il est prévu que l’entraîneur principal de l’équipe première puisse également être présent lors de ces rencontres.
Retour à une pratique du GNF avec quelques modifications :
Ce championnat U21 n’est pas une nouveauté dans le paysage footballistique national. Une formule similaire avait déjà été expérimentée à l’époque où le football national de l'élite était géré par le Groupement National de Football (GNF).
Toutefois, une différence notable réside dans la portée du projet actuel : à l'époque, ce système était uniquement appliqué à la D1 du GNF, tandis que la D2 en était exemptée.
Une autre différence majeure : le championnat d’alors permettait la participation de joueurs jusqu’à l’âge de 23 ans, tandis que la nouvelle formule instaurée par la LNFP limite la qualification aux joueurs U21, ce qui resserre le cadre et vise à offrir un véritable tremplin pour les jeunes talents.
Un Impact financier considérable pour les clubs
L’élargissement de cette compétition à la D2 et à l’ensemble du territoire national va engendrer un impact financier significatif pour les clubs.
En effet, si les frais liés à l'organisation du championnat U21 ne sont pas pris en charge par la LNFP, chaque club devra assumer les frais de déplacement pour une équipe de 50 à 60 personnes.
Cela pourrait considérablement augmenter les coûts des déplacements, notamment pour les matchs hors de leur région d’origine.
Des défis logistiques et scolaires à prévoir
À l’époque du GNF, le championnat U23 se déroulait souvent en lever de rideau des matchs des équipes premières. Cependant, avec le nouveau format, où les matchs auront lieu un jour après ceux des équipes seniors, un défi logistique et scolaire se profile.
En effet, les joueurs U21 sont, pour la plupart, encore des élèves en fin de cursus scolaire qualifiant. Cette situation pourrait entraîner des conflits avec les horaires scolaires et des absences potentielles des jeunes joueurs, créant ainsi un dilemme pour les clubs et les institutions éducatives.
Une spécificité notable : les matchs de ce championnat se joueront un jour après ceux des équipes premières.
Des Règles strictes pour assurer la cohérence
La ligue a instauré une règle importante pour garantir l’encadrement et la qualité du championnat. Elle impose la présence obligatoire du coach adjoint de l’équipe première sur le banc des remplaçants lors des matchs de l’équipe U21.
En cas d'absence, une amende sera appliquée. De plus, il est prévu que l’entraîneur principal de l’équipe première puisse également être présent lors de ces rencontres.
Retour à une pratique du GNF avec quelques modifications :
Ce championnat U21 n’est pas une nouveauté dans le paysage footballistique national. Une formule similaire avait déjà été expérimentée à l’époque où le football national de l'élite était géré par le Groupement National de Football (GNF).
Toutefois, une différence notable réside dans la portée du projet actuel : à l'époque, ce système était uniquement appliqué à la D1 du GNF, tandis que la D2 en était exemptée.
Une autre différence majeure : le championnat d’alors permettait la participation de joueurs jusqu’à l’âge de 23 ans, tandis que la nouvelle formule instaurée par la LNFP limite la qualification aux joueurs U21, ce qui resserre le cadre et vise à offrir un véritable tremplin pour les jeunes talents.
Un Impact financier considérable pour les clubs
L’élargissement de cette compétition à la D2 et à l’ensemble du territoire national va engendrer un impact financier significatif pour les clubs.
En effet, si les frais liés à l'organisation du championnat U21 ne sont pas pris en charge par la LNFP, chaque club devra assumer les frais de déplacement pour une équipe de 50 à 60 personnes.
Cela pourrait considérablement augmenter les coûts des déplacements, notamment pour les matchs hors de leur région d’origine.
Des défis logistiques et scolaires à prévoir
À l’époque du GNF, le championnat U23 se déroulait souvent en lever de rideau des matchs des équipes premières. Cependant, avec le nouveau format, où les matchs auront lieu un jour après ceux des équipes seniors, un défi logistique et scolaire se profile.
En effet, les joueurs U21 sont, pour la plupart, encore des élèves en fin de cursus scolaire qualifiant. Cette situation pourrait entraîner des conflits avec les horaires scolaires et des absences potentielles des jeunes joueurs, créant ainsi un dilemme pour les clubs et les institutions éducatives.
