Organisée par la Clinique d’oncologie 16 Novembre, cette première édition a connu la présence de plusieurs experts nationaux et internationaux, appartenant notamment à l’Institut du cancer de Montpellier (premier centre en France à avoir installé ETHOS), et à la société Varian, spécialisée dans les traitements contre le cancer, qui sont venus partager leurs expériences dans les nouvelles innovations en radiothérapie.
À cette occasion, Mounir Bachouchi, oncologue médical et directeur général de la Clinique d’oncologie 16 Novembre, nous a confié que «la radiothérapie est une très grande innovation dans les traitements du cancer, c’est une radiothérapie fondée sur l’intelligence artificielle».
En effet, cette nouvelle technologie, développée par la société Varian, permet de fournir aux patients atteints de cancer un traitement de radiothérapie personnalisé mais surtout adaptatif en 15 à 20 minutes, et ce, en fonction des changements des volumes tumoraux et anatomiques qui se produisent en cours de traitement. « C’est une technique qui nous permet de donner des doses très importantes au niveau de la tumeur tout en évitant les tissus sains, sur la base d’une reprogrammation des plans de traitement quotidiennement », nous a-t-il précisé.
Dans la même veine, Latifa Mesbah, oncologue radiothérapeute, nous a expliqué que « les traitements de radiothérapie s’étalent généralement sur cinq ou six semaines. Or, ces traitements sont planifiés sur la base d’un scanner qui se fait bien avant et qui permet d’obtenir un plan de traitement ». Et d’ajouter : « Le patient reçoit chaque jour un plan de traitement qui se base essentiellement sur le scanner réalisé le premier jour, néanmoins, l’être humain, par nature, ne peut pas avoir la même anatomie pendant cinq ou six semaines, des changements auront lieu, donc automatiquement, ce qui a été planifié le premier jour ne va plus correspondre à ce qui se passe réellement dans la machine de traitement ».
« Notre perspective est d’étendre le traitement à d’autres cancers et de pouvoir raccourcir encore le traitement, par exemple, au lieu de faire un traitement de cancer de la vessie en six semaines, on peut le faire en quatre semaines, voir même trois », a-t-elle indiqué.
Il convient de noter qu’il existe deux types de radiothérapie : la radiothérapie externe où la source d’irradiation est située à l’extérieur du malade et la curiethérapie où les sources radioactives se font à l’intérieur de l’organisme.
À cette occasion, Mounir Bachouchi, oncologue médical et directeur général de la Clinique d’oncologie 16 Novembre, nous a confié que «la radiothérapie est une très grande innovation dans les traitements du cancer, c’est une radiothérapie fondée sur l’intelligence artificielle».
En effet, cette nouvelle technologie, développée par la société Varian, permet de fournir aux patients atteints de cancer un traitement de radiothérapie personnalisé mais surtout adaptatif en 15 à 20 minutes, et ce, en fonction des changements des volumes tumoraux et anatomiques qui se produisent en cours de traitement. « C’est une technique qui nous permet de donner des doses très importantes au niveau de la tumeur tout en évitant les tissus sains, sur la base d’une reprogrammation des plans de traitement quotidiennement », nous a-t-il précisé.
Dans la même veine, Latifa Mesbah, oncologue radiothérapeute, nous a expliqué que « les traitements de radiothérapie s’étalent généralement sur cinq ou six semaines. Or, ces traitements sont planifiés sur la base d’un scanner qui se fait bien avant et qui permet d’obtenir un plan de traitement ». Et d’ajouter : « Le patient reçoit chaque jour un plan de traitement qui se base essentiellement sur le scanner réalisé le premier jour, néanmoins, l’être humain, par nature, ne peut pas avoir la même anatomie pendant cinq ou six semaines, des changements auront lieu, donc automatiquement, ce qui a été planifié le premier jour ne va plus correspondre à ce qui se passe réellement dans la machine de traitement ».
« Notre perspective est d’étendre le traitement à d’autres cancers et de pouvoir raccourcir encore le traitement, par exemple, au lieu de faire un traitement de cancer de la vessie en six semaines, on peut le faire en quatre semaines, voir même trois », a-t-elle indiqué.
Il convient de noter qu’il existe deux types de radiothérapie : la radiothérapie externe où la source d’irradiation est située à l’extérieur du malade et la curiethérapie où les sources radioactives se font à l’intérieur de l’organisme.
