"Les campagnes de vaccination et de dépistage précoce doivent ainsi être renforcées et généralisées, en particulier au profit des catégories vulnérables ou en situation de précarité, telles que les personnes âgées, les enfants en situation difficile et les personnes à besoins spécifiques", a souligné Mme Hayar en introduisant la deuxième session d'une table ronde traitant de la thématique des "déterminants sociaux de la santé en Afrique", organisée dans le cadre de la Première Conférence africaine sur les risques en santé, placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.
Dans un monde en constante évolution et confronté à des crises périodiques, le défi de la résilience astreint les pays à renforcer et à orienter leurs actions vers des domaines à fort impact sur le développement du capital humain, comme la santé et l'éducation, a ajouté la ministre, qui présidait cette session axée sur "la santé mentale et addictions : éducation et enseignement".
Et Mme Hayar d’enchaîner que la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19, la crise économique actuelle et les défis du changement climatique pèsent lourdement sur les efforts des États et les oblige à trouver et à mettre en œuvre des solutions innovantes en termes d'accès à la santé, soulignant l’importance du développement et du renforcement de la recherche dans ce domaine afin d'atteindre l'équité économique et territoriale en matière d'accès aux services médicaux.
Mettant en relief l’importance des déterminants sociaux et environnementaux, notamment le rôle de l’éducation, la ministre a relevé que les efforts déployés doivent bénéficier à toutes les catégories sociales, à travers des programmes éducatifs et sociaux au profit des personnes à besoins spécifiques et des femmes en situation difficile.
Conformément aux Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc veille à ce que les personnes en situation de handicap ou en situation difficile jouissent pleinement de leurs droits, tels que garantis par la Constitution, en particulier le droit à la santé.
Cette deuxième session a été l’occasion pour une pléiade de spécialistes venus du Liban, du Kenya, de Belgique, de France et d’Afrique du Sud de partager leurs expériences et de décortiquer cette thématique pertinente sous différents angles.
Ils ont ainsi mis l’accent sur l'importance du bien-être des professionnels de santé dans la garantie de services et de soins de qualité ainsi que sur la nécessité de prendre soin de soi pour l’amélioration de sa santé.
Les panélistes se sont également attardés sur la place de la réduction des risques dans la médecine humanitaire et le rapport entre la politique de santé publique et la santé mentale en Afrique.
Par ailleurs, les différents intervenants lors de cette session n’ont pas manqué de saluer l’organisation de cette Conférence de haut niveau qui se veut une première en son genre à l’échelle africaine.
Dans un monde en constante évolution et confronté à des crises périodiques, le défi de la résilience astreint les pays à renforcer et à orienter leurs actions vers des domaines à fort impact sur le développement du capital humain, comme la santé et l'éducation, a ajouté la ministre, qui présidait cette session axée sur "la santé mentale et addictions : éducation et enseignement".
Et Mme Hayar d’enchaîner que la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19, la crise économique actuelle et les défis du changement climatique pèsent lourdement sur les efforts des États et les oblige à trouver et à mettre en œuvre des solutions innovantes en termes d'accès à la santé, soulignant l’importance du développement et du renforcement de la recherche dans ce domaine afin d'atteindre l'équité économique et territoriale en matière d'accès aux services médicaux.
Mettant en relief l’importance des déterminants sociaux et environnementaux, notamment le rôle de l’éducation, la ministre a relevé que les efforts déployés doivent bénéficier à toutes les catégories sociales, à travers des programmes éducatifs et sociaux au profit des personnes à besoins spécifiques et des femmes en situation difficile.
Conformément aux Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc veille à ce que les personnes en situation de handicap ou en situation difficile jouissent pleinement de leurs droits, tels que garantis par la Constitution, en particulier le droit à la santé.
Cette deuxième session a été l’occasion pour une pléiade de spécialistes venus du Liban, du Kenya, de Belgique, de France et d’Afrique du Sud de partager leurs expériences et de décortiquer cette thématique pertinente sous différents angles.
Ils ont ainsi mis l’accent sur l'importance du bien-être des professionnels de santé dans la garantie de services et de soins de qualité ainsi que sur la nécessité de prendre soin de soi pour l’amélioration de sa santé.
Les panélistes se sont également attardés sur la place de la réduction des risques dans la médecine humanitaire et le rapport entre la politique de santé publique et la santé mentale en Afrique.
Par ailleurs, les différents intervenants lors de cette session n’ont pas manqué de saluer l’organisation de cette Conférence de haut niveau qui se veut une première en son genre à l’échelle africaine.
