Les échanges entre le Chef du gouvernement et le président de l’Instance Nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption (INPPLC), se sont concentrés sur la nécessité d'impulser un "nouveau souffle" au chantier anti-corruption, en veillant à la pleine application du rôle constitutionnel de l’INPPLC.
L'objectif partagé est de renforcer la résilience du pays face à la corruption et de s'inscrire dans la "logique de complémentarité institutionnelle" souhaitée par S.M. Le Roi Mohammed VI, lit-on dans un communiqué de presse.
L’audience a par ailleurs permis de passer en revue les principaux défis que pose le phénomène de la corruption et les moyens de renforcer l’efficience des politiques publiques en rapport avec la probité et la prévention de la corruption.
Le Chef du gouvernement a souligné à cet égard la nécessité de prendre les mesures nécessaires en vue de la tenue de Commission Nationale de Lutte contre la Corruption, qui sera une opportunité d’examiner le bilan de la mise en œuvre de la stratégie nationale de lutte contre la corruption, de présenter les l’évaluation réalisée par l’INPPLC et de définir les perspectives pour une vision stratégique dans ce domaine.
Au cours de cette rencontre, ont également été évoqués les mécanismes d’adhésion des différents départements gouvernementaux aux projets structurants que l’Instance compte lancer en matière de probité, à l’instar de la création de l’Académie Marocaine de la Probité, du Laboratoire National de la Probité et de clusters pour le développement de solutions numériques innovantes dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la corruption, de manière à renforcer les capacités des intervenants publics, privés et de la société civile dans ce domaine, indique-t-on.
Cette audience a enfin été l’occasion de réitérer l’importance vitale d’associer la société civile, à travers le soutien des initiatives citoyennes et le renforcement du partenariat avec les associations et organisations concernées, eu égard à son impact direct dans la consécration de la culture de la probité au sein de la société, ainsi que l’importance de l’implication collective et de la complémentarité entre les différents intervenants en vue d’unifier les efforts en matière de lutte contre la corruption et d’assurer le suivi de l’impact des réformes et chantiers majeurs que connait notre pays, conclut-on.
L'objectif partagé est de renforcer la résilience du pays face à la corruption et de s'inscrire dans la "logique de complémentarité institutionnelle" souhaitée par S.M. Le Roi Mohammed VI, lit-on dans un communiqué de presse.
L’audience a par ailleurs permis de passer en revue les principaux défis que pose le phénomène de la corruption et les moyens de renforcer l’efficience des politiques publiques en rapport avec la probité et la prévention de la corruption.
Le Chef du gouvernement a souligné à cet égard la nécessité de prendre les mesures nécessaires en vue de la tenue de Commission Nationale de Lutte contre la Corruption, qui sera une opportunité d’examiner le bilan de la mise en œuvre de la stratégie nationale de lutte contre la corruption, de présenter les l’évaluation réalisée par l’INPPLC et de définir les perspectives pour une vision stratégique dans ce domaine.
Au cours de cette rencontre, ont également été évoqués les mécanismes d’adhésion des différents départements gouvernementaux aux projets structurants que l’Instance compte lancer en matière de probité, à l’instar de la création de l’Académie Marocaine de la Probité, du Laboratoire National de la Probité et de clusters pour le développement de solutions numériques innovantes dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la corruption, de manière à renforcer les capacités des intervenants publics, privés et de la société civile dans ce domaine, indique-t-on.
Cette audience a enfin été l’occasion de réitérer l’importance vitale d’associer la société civile, à travers le soutien des initiatives citoyennes et le renforcement du partenariat avec les associations et organisations concernées, eu égard à son impact direct dans la consécration de la culture de la probité au sein de la société, ainsi que l’importance de l’implication collective et de la complémentarité entre les différents intervenants en vue d’unifier les efforts en matière de lutte contre la corruption et d’assurer le suivi de l’impact des réformes et chantiers majeurs que connait notre pays, conclut-on.