A l’origine, il y a l’amour. A l’arrivée, encore l’amour. Entre les deux, toujours l’amour. Comment ? On essaie de comprendre pourquoi cet amour est sujet à explication. Pourtant, « aimer » n’a pas d’éloge à appuyer, ni de diatribe à louanger. L’amour est mère de toutes les déconcertassions. Pourquoi ? Cela nous crève le cœur mais nous essayons d’en dilater les artères. Aimer, cela parait exister.
On en perd ensuite le fil pour ne plus dépecer cet organe empli d’incompréhensibles approches jonchées de graveleuses caresses boursouflées de rebrousse-poil tellement désolantes… Puis, voilà qu’on s’y étale, désamours à la bandoulière. Contrairement à l’or qui peut être massif, l’amour est abrasif et c’est l’emphase qui le décape. Dieu créa la flamme dans un brouhaha de feu, entre le pompier et le pyromane, psalmodiant des cendres en pleurs. L’amour est ainsi aussi larmoyant que cognant. Et c’est le vieil apprenti qui décide « rageusement » de la matière à adopter, du ton à ne jamais adapter. A Casablanca, l’amour est aussi troublant qu’un écrit traduit en roman, visuellement grossi par des approches exotiques, atrocement garni de descentes de lits ou de ronds de serviettes.
La « bourgeoisie » avance-t-il, pour décortiquer l’indécrottable, l’imagination dézinguant la réalité. Un auteur qui peint seul plus qu’il n’écrit en solo est d’une curiosité poussant à balafrer le propos. Dans le récit, l’avalanche fassie et néanmoins anti-sociale est d’un apport pluri-infécond qui renvoie aux gémissements crocodiliens.
L’auteur de cette intenable œuvrette, sujette à de fortes caresses dans le sens de poils étrangement aimants, gagne en défaillance. Il est « talentueux », puisqu’il dégaine un Goncourt d’oralité et devient membre du jury de la prestigieuse académie du même nom depuis quelques années avec la mission auto-proclamée et non-avouée de casser certains envols avoisinants. Il a fort fatalement un nom, mais taisons-le par respect aux rewriters.
On en perd ensuite le fil pour ne plus dépecer cet organe empli d’incompréhensibles approches jonchées de graveleuses caresses boursouflées de rebrousse-poil tellement désolantes… Puis, voilà qu’on s’y étale, désamours à la bandoulière. Contrairement à l’or qui peut être massif, l’amour est abrasif et c’est l’emphase qui le décape. Dieu créa la flamme dans un brouhaha de feu, entre le pompier et le pyromane, psalmodiant des cendres en pleurs. L’amour est ainsi aussi larmoyant que cognant. Et c’est le vieil apprenti qui décide « rageusement » de la matière à adopter, du ton à ne jamais adapter. A Casablanca, l’amour est aussi troublant qu’un écrit traduit en roman, visuellement grossi par des approches exotiques, atrocement garni de descentes de lits ou de ronds de serviettes.
La « bourgeoisie » avance-t-il, pour décortiquer l’indécrottable, l’imagination dézinguant la réalité. Un auteur qui peint seul plus qu’il n’écrit en solo est d’une curiosité poussant à balafrer le propos. Dans le récit, l’avalanche fassie et néanmoins anti-sociale est d’un apport pluri-infécond qui renvoie aux gémissements crocodiliens.
L’auteur de cette intenable œuvrette, sujette à de fortes caresses dans le sens de poils étrangement aimants, gagne en défaillance. Il est « talentueux », puisqu’il dégaine un Goncourt d’oralité et devient membre du jury de la prestigieuse académie du même nom depuis quelques années avec la mission auto-proclamée et non-avouée de casser certains envols avoisinants. Il a fort fatalement un nom, mais taisons-le par respect aux rewriters.