Le Kénya, à titre d’exemple achète notamment de l’Imidacloprid et de l’IprodioneL «Ces produits peuvent être dangereux, mais pas si l’on porte des vêtements de protection», explique le patron du Bureau pour le contrôle des pesticides. Une étude kényane de 2020, estime toutefois que seul un agriculteur sur six, est ainsi équipé. En 2022, le Centre africain pour l’action préventive et corrective, a porté plainte à Nairobi, afin de demander le retrait des pesticides dangereux du marché kényan.





















