L’opérationnalisation des orientations du Nouveau Modèle de Développement (NMD) représente le chantier phare de ce gouvernement. Pour remporter son pari, l’Exécutif devra commencer par identifier les réformes à prioriser pour poser les bases du NMD comme les conditions et les acteurs nécessaires à l’implémentation de ces réformes, avant de se lancer dans leur mise en oeuvre.
La réalisation des objectifs du NMD est, rappelons-le, projetée pour l’horizon 2035, ce qui signifie que ce gouvernement devra s’acquitter, lors des cinq prochaines années, au minimum d’un tiers des réformes préconisées par la CSMD pour respecter ce délai. D’ailleurs, la large majorité dont jouit l’actuel Exécutif lui confère une marge de manoeuvre confortable pour tenir ses engagements, mais le responsabilise tout autant en cas d’échec ou de retard sur le calendrier.
Pour l’heure, la priorité reste celle du chantier de la modernisation de l’administration publique qui représente la pierre angulaire pour le déploiement des recommandations de la CSMD. En témoigne la récente sortie de Chakib Benmoussa, qui s’exprimait sous sa casquette de président de la CSMD lors d’un débat organisé par le Policy Center for the New South, où il a souligné l’importance du capital humain comme préalable à la mise en place d’un mode de gouvernance efficient, voire le vecteur principal de la dynamisation du développement économique.
L’autre défi à relever pour l’Exécutif reste la mise en place d’un cadre vertueux à même de faciliter les synergies entre public et privé, de manière à libérer les énergies et éviter les fonctionnements en silo. Ce qui devra se traduire par la mise en place ou le renforcement de mécanismes de régulation capables d’assurer la bonne gestion des biens communs et de favoriser l’implication et l’engagement de l’ensemble des forces vives de la Nation.
La réalisation des objectifs du NMD est, rappelons-le, projetée pour l’horizon 2035, ce qui signifie que ce gouvernement devra s’acquitter, lors des cinq prochaines années, au minimum d’un tiers des réformes préconisées par la CSMD pour respecter ce délai. D’ailleurs, la large majorité dont jouit l’actuel Exécutif lui confère une marge de manoeuvre confortable pour tenir ses engagements, mais le responsabilise tout autant en cas d’échec ou de retard sur le calendrier.
Pour l’heure, la priorité reste celle du chantier de la modernisation de l’administration publique qui représente la pierre angulaire pour le déploiement des recommandations de la CSMD. En témoigne la récente sortie de Chakib Benmoussa, qui s’exprimait sous sa casquette de président de la CSMD lors d’un débat organisé par le Policy Center for the New South, où il a souligné l’importance du capital humain comme préalable à la mise en place d’un mode de gouvernance efficient, voire le vecteur principal de la dynamisation du développement économique.
L’autre défi à relever pour l’Exécutif reste la mise en place d’un cadre vertueux à même de faciliter les synergies entre public et privé, de manière à libérer les énergies et éviter les fonctionnements en silo. Ce qui devra se traduire par la mise en place ou le renforcement de mécanismes de régulation capables d’assurer la bonne gestion des biens communs et de favoriser l’implication et l’engagement de l’ensemble des forces vives de la Nation.
Amine ATER