Très attaché à sa mémoire juive, le Maroc a toujours accordé une importance particulière à la culture hébraïque institutionnalisée officiellement par la Constitution de 2011. Bien avant l’annonce de la reprise des relations maroco-israéliennes, le Royaume a mis en place le socle d’une société de tolérance, de diversité et de coexistence, dans un monde où le racisme et l’«injustice» ethnique battent leur plein, à travers l’introduction d’un programme scolaire qui inclut la langue et la culture hébraïques dans l’enseignement primaire.
Et ce, dans le but de sensibiliser les enfants, à leur jeune âge, sur l’importance du patrimoine culturel du judaïsme marocain, qui est, d’ailleurs, une partie intégrante de leur identité. Ceci s’ajoute aux multiples programmes lancés sous l’impulsion Royale pour la rénovation des cimetières juifs et des Mellahs où vivait jadis cette communauté qui comptait 250.000 âmes avant que ces derniers ne migrent massivement vers d’autres cieux dans les années cinquante.
Certainement, quelques rares responsables d’Etats ne comprennent ce nouveau paradigme qui se dessine sur la scène internationale. Mais cette incompréhension est due au fait qu’ils n’ont pas conscience du degré d’intégration de la communauté juive au tissu social marocain.
Les relations entre le Maroc et l’Etat hébreu sont spéciales et remontent à des temps immémoriaux, elles ne peuvent donc être comparées aux relations que ce dernier entretient avec aucun autre pays arabe.
Au fil des siècles, le Royaume s’est toujours distingué par la symbiose entre les différentes religions qui cohabitent sous le même ciel, en toute cohésion, dans un climat de tolérance exemplaire, sans complexes ni parti pris.
Et ce, dans le but de sensibiliser les enfants, à leur jeune âge, sur l’importance du patrimoine culturel du judaïsme marocain, qui est, d’ailleurs, une partie intégrante de leur identité. Ceci s’ajoute aux multiples programmes lancés sous l’impulsion Royale pour la rénovation des cimetières juifs et des Mellahs où vivait jadis cette communauté qui comptait 250.000 âmes avant que ces derniers ne migrent massivement vers d’autres cieux dans les années cinquante.
Certainement, quelques rares responsables d’Etats ne comprennent ce nouveau paradigme qui se dessine sur la scène internationale. Mais cette incompréhension est due au fait qu’ils n’ont pas conscience du degré d’intégration de la communauté juive au tissu social marocain.
Les relations entre le Maroc et l’Etat hébreu sont spéciales et remontent à des temps immémoriaux, elles ne peuvent donc être comparées aux relations que ce dernier entretient avec aucun autre pays arabe.
Au fil des siècles, le Royaume s’est toujours distingué par la symbiose entre les différentes religions qui cohabitent sous le même ciel, en toute cohésion, dans un climat de tolérance exemplaire, sans complexes ni parti pris.
Saâd JAFRI