Le lancement du projet de modernisation de l’éclairage public suscite autant d’espoirs que de frustrations. Dans le quartier situé aux abords de la pharmacie Ennakhil, entre Laabita et Rahma, de nombreux habitants disent ne pas comprendre pourquoi leur rue n’a pas été intégrée dans le chantier en cours, alors que les rues et ruelles voisines bénéficient déjà de nouveaux lampadaires LED.
Pour les riverains, le constat est amer. Cette artère est considérée comme un passage essentiel reliant deux quartiers denses, avec un trafic quotidien important. Pourtant, elle reste plongée dans une semi-obscurité dès la tombée de la nuit. « Nous voyons les travaux avancer autour de nous, mais notre rue reste oubliée. C’est comme si elle n’existait pas », se désole un commerçant installé depuis plus de dix ans dans le secteur.
Les habitants pointent surtout les risques liés à cette carence d’éclairage. Les familles redoutent pour la sécurité de leurs enfants qui rentrent tard des cours ou des activités, tandis que certains affirment que la pénombre favorise les comportements délictueux. « La lumière, c’est aussi une manière de dissuader les agressions et de rendre nos rues plus sûres », explique une résidente.
Pour ces citoyens, il ne s’agit pas seulement d’un détail technique, mais d’une question de justice urbaine. Ils estiment que l’exclusion de leur rue du programme de modernisation n’est pas justifiée et demandent aux responsables locaux d’y remédier rapidement. Ils rappellent que la commune et les services compétents ont l’obligation de garantir des conditions de sécurité et de mobilité équitables à tous les quartiers, sans discrimination.
Pour les riverains, le constat est amer. Cette artère est considérée comme un passage essentiel reliant deux quartiers denses, avec un trafic quotidien important. Pourtant, elle reste plongée dans une semi-obscurité dès la tombée de la nuit. « Nous voyons les travaux avancer autour de nous, mais notre rue reste oubliée. C’est comme si elle n’existait pas », se désole un commerçant installé depuis plus de dix ans dans le secteur.
Les habitants pointent surtout les risques liés à cette carence d’éclairage. Les familles redoutent pour la sécurité de leurs enfants qui rentrent tard des cours ou des activités, tandis que certains affirment que la pénombre favorise les comportements délictueux. « La lumière, c’est aussi une manière de dissuader les agressions et de rendre nos rues plus sûres », explique une résidente.
Pour ces citoyens, il ne s’agit pas seulement d’un détail technique, mais d’une question de justice urbaine. Ils estiment que l’exclusion de leur rue du programme de modernisation n’est pas justifiée et demandent aux responsables locaux d’y remédier rapidement. Ils rappellent que la commune et les services compétents ont l’obligation de garantir des conditions de sécurité et de mobilité équitables à tous les quartiers, sans discrimination.