Selon le cabinet d'audit international « PwC », les sociétés minières hésitent à investir en Afrique du Sud en raison de l'incertitude persistante liée aux crises des infrastructures, de l'énergie et de l’eau. « Les entreprises minières s'alarment en permanence de la façon dont ces défis affectent leur rentabilité, faisant de l'Afrique du Sud un pays moins attrayant pour les multinationales, qui sont aussi de gros employeurs », a déclaré le directeur de l'Énergie, des services publics et des ressources au sein de PwC-Afrique, Andries Rossouw.
Présentant la 20ème édition du rapport de PwC sur le secteur minier intitulé « L'ère de la réinvention, un examen annuel des plus grandes sociétés minières », M. Rossouw a déclaré que l'indisponibilité d'une énergie fiable et bon marché et d'une infrastructure de transport efficace limitait considérablement l'industrie minière locale. « Nous ne pouvons pas continuer dans cette situation où la production et les exportations de charbon doivent être réduites en raison des contraintes qui affectent la société de logistique publique Transnet Freight Rail », a-t-il mis en garde.
Il a ajouté que la même situation prévaut dans le secteur de l’énergie où le pays est aux prises avec une crise de l’électricité de longue date qui nécessite des solutions urgentes. Mettant l’accent sur la nécessité de renforcer la collaboration entre le gouvernement et le secteur privé pour relever ces défis, M. Rossouw a averti qu’il y a un risque réel que les sociétés minières mondiales quittent le pays si un environnement propice pour le développement de l’industrie minière n’est pas créé.
Par ailleurs, le responsable a souligné la nécessité d’investir davantage dans l’exploration et l’exploitation des minéraux critiques comme l'or, le lithium et le cuivre qui ont dominé les accords mondiaux conclus l'année dernière.
« Les sociétés minières sont appelées à tirer le meilleur parti de ce changement et à y voir une chance de se réinventer, car ces minéraux peuvent être utilisés pour les batteries, les véhicules électriques et la production solaire et éolienne », a-t-il dit.
Présentant la 20ème édition du rapport de PwC sur le secteur minier intitulé « L'ère de la réinvention, un examen annuel des plus grandes sociétés minières », M. Rossouw a déclaré que l'indisponibilité d'une énergie fiable et bon marché et d'une infrastructure de transport efficace limitait considérablement l'industrie minière locale. « Nous ne pouvons pas continuer dans cette situation où la production et les exportations de charbon doivent être réduites en raison des contraintes qui affectent la société de logistique publique Transnet Freight Rail », a-t-il mis en garde.
Il a ajouté que la même situation prévaut dans le secteur de l’énergie où le pays est aux prises avec une crise de l’électricité de longue date qui nécessite des solutions urgentes. Mettant l’accent sur la nécessité de renforcer la collaboration entre le gouvernement et le secteur privé pour relever ces défis, M. Rossouw a averti qu’il y a un risque réel que les sociétés minières mondiales quittent le pays si un environnement propice pour le développement de l’industrie minière n’est pas créé.
Par ailleurs, le responsable a souligné la nécessité d’investir davantage dans l’exploration et l’exploitation des minéraux critiques comme l'or, le lithium et le cuivre qui ont dominé les accords mondiaux conclus l'année dernière.
« Les sociétés minières sont appelées à tirer le meilleur parti de ce changement et à y voir une chance de se réinventer, car ces minéraux peuvent être utilisés pour les batteries, les véhicules électriques et la production solaire et éolienne », a-t-il dit.