Les détails de la mise en œuvre de ce système seront précisés dans une circulaire ultérieure, selon l’ONICL. Cette décision de reconduire la prime forfaitaire sur les importations de blé a été prise par les ministères de l'Économie et des Finances ainsi que de l’Agriculture. Elle prolonge la période de subventions lancée en octobre pour l'importation de 20 millions de quintaux, dont la fin était initialement prévue en décembre 2023.
Cette reconduction était largement anticipée par les opérateurs, compte tenu du déclin de la production nationale, visant à maintenir les prix des céréales à des niveaux abordables. Malgré une amélioration prévue par rapport à 2022, la campagne céréalière au Maroc en 2023 a continué de subir les conséquences du manque de pluie, avec une production estimée à environ 5 millions de tonnes, selon la FAO.
Pour compenser cette baisse de production nationale, le Maroc avait déjà ajusté les subventions aux importations de blé pour encourager davantage d'importations de marchés extérieurs à partir du 1er août dernier.
Dans le but de diversifier les sources d'approvisionnement, des discussions ont été engagées avec les exportateurs ukrainiens et russes pour augmenter les quantités de blé importées. Les opérateurs marocains cherchent également à garantir les meilleures conditions d'importation en termes de prix et de qualité, comme l'a expliqué Omar Yacoubi, président de la Fédération nationale des négociants en céréales et en légumineuses (FNCL).
Cette reconduction était largement anticipée par les opérateurs, compte tenu du déclin de la production nationale, visant à maintenir les prix des céréales à des niveaux abordables. Malgré une amélioration prévue par rapport à 2022, la campagne céréalière au Maroc en 2023 a continué de subir les conséquences du manque de pluie, avec une production estimée à environ 5 millions de tonnes, selon la FAO.
Pour compenser cette baisse de production nationale, le Maroc avait déjà ajusté les subventions aux importations de blé pour encourager davantage d'importations de marchés extérieurs à partir du 1er août dernier.
Dans le but de diversifier les sources d'approvisionnement, des discussions ont été engagées avec les exportateurs ukrainiens et russes pour augmenter les quantités de blé importées. Les opérateurs marocains cherchent également à garantir les meilleures conditions d'importation en termes de prix et de qualité, comme l'a expliqué Omar Yacoubi, président de la Fédération nationale des négociants en céréales et en légumineuses (FNCL).