Parmi les décisions majeures figure l’adoption d’une Note d’orientation sur les risques financiers liés au climat, destinée aux institutions de finance islamique opérant dans le segment bancaire. Le Conseil a également validé une nouvelle architecture du Comité technique de l’CSFI, visant à améliorer la représentativité sectorielle et l’efficacité des travaux. Les membres ont par ailleurs donné leur soutien au programme d’assistance technique 2026, ainsi qu’aux réformes de gouvernance en cours au sein du Secrétariat.
Deux institutions rejoignent l’CSFI en tant que membres associés : la West African Monetary Agency (WAMA) et la Bank of Ghana, élargissant davantage le périmètre continental et international du Conseil.
La réunion a également marqué la transition vers la direction 2026 : Khalid Ebrahim Humaidan, gouverneur de la Banque centrale de Bahreïn, assumera la présidence à partir du 1ᵉʳ janvier, tandis que Olayemi Cardoso, gouverneur de la Banque centrale du Nigeria, occupera la vice-présidence.
Le Secrétaire général de l’CSFI, Ghiath Shabsigh, a souligné que « la finance islamique se trouve à un moment charnière », insistant sur le rôle du Secrétariat dans l’accompagnement des membres face aux enjeux émergents. Les discussions du Conseil, a-t-il précisé, traduisent des avancées notables dans la mise en œuvre du Plan stratégique 2025-2027, notamment en matière de renforcement des capacités techniques, de suivi de la stabilité financière, de production de recherches et de consolidation institutionnelle.
De son côté, Abdellatif Jouahri a rappelé que plusieurs chantiers structurels ont été examinés, « dont le renforcement de la gouvernance de l’organisation et la sécurisation de ses ressources financières pour lui permettre d’assumer pleinement ses nouvelles missions », des éléments jugés essentiels pour répondre aux défis du secteur.
En perspective, l’CSFI prépare désormais son 17ᵉ Sommet, prévu en février 2026 à Oman. Selon Shabsigh, les priorités porteront sur le développement de marchés du sukuk plus résilients, le soutien aux institutions financières non bancaires, ainsi que l’intégration accrue de l’inclusion financière, de la technologie et des enjeux climatiques dans les cadres réglementaires de la finance islamique.
Deux institutions rejoignent l’CSFI en tant que membres associés : la West African Monetary Agency (WAMA) et la Bank of Ghana, élargissant davantage le périmètre continental et international du Conseil.
La réunion a également marqué la transition vers la direction 2026 : Khalid Ebrahim Humaidan, gouverneur de la Banque centrale de Bahreïn, assumera la présidence à partir du 1ᵉʳ janvier, tandis que Olayemi Cardoso, gouverneur de la Banque centrale du Nigeria, occupera la vice-présidence.
Le Secrétaire général de l’CSFI, Ghiath Shabsigh, a souligné que « la finance islamique se trouve à un moment charnière », insistant sur le rôle du Secrétariat dans l’accompagnement des membres face aux enjeux émergents. Les discussions du Conseil, a-t-il précisé, traduisent des avancées notables dans la mise en œuvre du Plan stratégique 2025-2027, notamment en matière de renforcement des capacités techniques, de suivi de la stabilité financière, de production de recherches et de consolidation institutionnelle.
De son côté, Abdellatif Jouahri a rappelé que plusieurs chantiers structurels ont été examinés, « dont le renforcement de la gouvernance de l’organisation et la sécurisation de ses ressources financières pour lui permettre d’assumer pleinement ses nouvelles missions », des éléments jugés essentiels pour répondre aux défis du secteur.
En perspective, l’CSFI prépare désormais son 17ᵉ Sommet, prévu en février 2026 à Oman. Selon Shabsigh, les priorités porteront sur le développement de marchés du sukuk plus résilients, le soutien aux institutions financières non bancaires, ainsi que l’intégration accrue de l’inclusion financière, de la technologie et des enjeux climatiques dans les cadres réglementaires de la finance islamique.





















