Le dossier des enseignants suspendus à la suite du mouvement de grève qui a duré plus de trois mois s’est invité, lundi, à la Chambre des représentants. En réponse à une question sur le sort de cette communauté d'enseignants, le ministre de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, a indiqué que la mesure de suspension, prise contre ces enseignants, interviennent en application des dispositions portant statut de la Fonction Publique et en respect des principes de l’équité, loin de toute autre considération.
"Suite à leur suspension, bon nombre de ces enseignants a reçu des avertissements ou des réprimandes pour leurs actions. En outre, les salaires des personnes concernées ont été versés à partir du mois de janvier", a assuré Benmoussa.
Chakib Benmoussa a indiqué que la semaine dernière, d'autres enseignants, dont le nombre reste limité, ont comparu devant les Conseils disciplinaires spécialisés pour statuer sur leur sort. En conséquence, des mesures disciplinaires ont été prises à leur encontre, comprenant des avertissements concernant leur comportement “inapproprié”. Le ministre a précisé que ces enseignants seront bientôt autorisés à reprendre leurs fonctions et à percevoir leurs salaires.
De plus, certains enseignants seront temporairement suspendus de leurs fonctions pendant moins d'un mois une fois que les procès-verbaux des conseils disciplinaires auront été adoptés et que les décisions prises à leur encontre auront été annoncées.
Ces enseignants pourront reprendre leur travail de façon normale, uniquement après avoir purgé leurs sanctions disciplinaires, précise Benmoussa.
En réponse aux critiques concernant la gestion de ce dossier complexe, Chakib Benmoussa a rassuré que le ministère de l’éducation n'est pas interféré dans le processus suivi par les Conseils disciplinaires, soulignant la possibilité pour les enseignants qui s’estiment lésés de saisir les autorités de tutelle ou carrément la justice à ce propos.
Pour rappel, un total de 209 enseignants suspendus se sont présentés la semaine dernière devant les Conseils disciplinaires. Ils ont exprimé leur refus de la méthode consistant à « creuser » dans les dossiers des enseignants pendant une période prolongée. Pour eux, cela ne fait qu’aggraver les tensions dans le secteur éducatif, appelant le ministère de tutelle à faciliter leur retour dans les classes.
"Suite à leur suspension, bon nombre de ces enseignants a reçu des avertissements ou des réprimandes pour leurs actions. En outre, les salaires des personnes concernées ont été versés à partir du mois de janvier", a assuré Benmoussa.
Chakib Benmoussa a indiqué que la semaine dernière, d'autres enseignants, dont le nombre reste limité, ont comparu devant les Conseils disciplinaires spécialisés pour statuer sur leur sort. En conséquence, des mesures disciplinaires ont été prises à leur encontre, comprenant des avertissements concernant leur comportement “inapproprié”. Le ministre a précisé que ces enseignants seront bientôt autorisés à reprendre leurs fonctions et à percevoir leurs salaires.
De plus, certains enseignants seront temporairement suspendus de leurs fonctions pendant moins d'un mois une fois que les procès-verbaux des conseils disciplinaires auront été adoptés et que les décisions prises à leur encontre auront été annoncées.
Ces enseignants pourront reprendre leur travail de façon normale, uniquement après avoir purgé leurs sanctions disciplinaires, précise Benmoussa.
En réponse aux critiques concernant la gestion de ce dossier complexe, Chakib Benmoussa a rassuré que le ministère de l’éducation n'est pas interféré dans le processus suivi par les Conseils disciplinaires, soulignant la possibilité pour les enseignants qui s’estiment lésés de saisir les autorités de tutelle ou carrément la justice à ce propos.
Pour rappel, un total de 209 enseignants suspendus se sont présentés la semaine dernière devant les Conseils disciplinaires. Ils ont exprimé leur refus de la méthode consistant à « creuser » dans les dossiers des enseignants pendant une période prolongée. Pour eux, cela ne fait qu’aggraver les tensions dans le secteur éducatif, appelant le ministère de tutelle à faciliter leur retour dans les classes.