
Et une demi-finale de plus ! Dimanche soir, l’équipe nationale U20 a étrillé celle des États-Unis d’Amérique (3 – 1) en quart de finale de la Coupe du Monde U20, qui se déroule actuellement au Chili. Avec l’art et la manière, les Lionceaux de l’Atlas ont dominé la rencontre, faisant preuve à la fois d’une grande maturité dans le jeu et d’une énergie débordante.
Ces jeunes joueurs, âgés de 17 à 20 ans, appartiennent à la génération Z, celle-là même qui a récemment secoué le paysage politique et social du pays à travers des manifestations qui réclament un meilleur accès à l’éducation et à la santé.
Que ce soit dans sa manière de jouer ou dans celle de revendiquer ses droits, la désormais fameuse GenZ affiche les mêmes traits de caractère, ceux qui la rendent si singulière. Contrairement à celles qui l’ont précédée, cette génération a grandi à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, ce qui fait qu’elle croit en l’horizontalité, en la réduction des distances, même avec des personnes autrefois jugées inaccessibles, et en un horizon des possibles désormais illimité.
Nous l’avons vu aussi bien dans leur manière de manier le ballon que dans leur façon d’affirmer leurs convictions. Les U20 marocains jouent sans complexe face à des équipes prestigieuses, là où leurs prédécesseurs se laissaient rapidement impressionner et perdaient leurs moyens dès qu’une star mondiale se trouvait en face d’eux.
La manière dont le sélectionneur national, Mohamed Ouahbi, a su forger un collectif solide, capable de déployer une énergie débordante sur le terrain, devrait inspirer nos dirigeants, qui continuent de s’adresser à cette jeunesse avec distance et un langage d’un autre temps, ignorant qu’elle n’accepte plus aucune verticalité.
Pour avancer, le Maroc a besoin de cette énergie, de cette créativité et de cette audace que porte la génération Z. Elle ne manque ni de patriotisme ni de combativité, à condition qu’on lui laisse le champ libre et l’espace nécessaire pour créer et s’exprimer.
Ces jeunes joueurs, âgés de 17 à 20 ans, appartiennent à la génération Z, celle-là même qui a récemment secoué le paysage politique et social du pays à travers des manifestations qui réclament un meilleur accès à l’éducation et à la santé.
Que ce soit dans sa manière de jouer ou dans celle de revendiquer ses droits, la désormais fameuse GenZ affiche les mêmes traits de caractère, ceux qui la rendent si singulière. Contrairement à celles qui l’ont précédée, cette génération a grandi à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, ce qui fait qu’elle croit en l’horizontalité, en la réduction des distances, même avec des personnes autrefois jugées inaccessibles, et en un horizon des possibles désormais illimité.
Nous l’avons vu aussi bien dans leur manière de manier le ballon que dans leur façon d’affirmer leurs convictions. Les U20 marocains jouent sans complexe face à des équipes prestigieuses, là où leurs prédécesseurs se laissaient rapidement impressionner et perdaient leurs moyens dès qu’une star mondiale se trouvait en face d’eux.
La manière dont le sélectionneur national, Mohamed Ouahbi, a su forger un collectif solide, capable de déployer une énergie débordante sur le terrain, devrait inspirer nos dirigeants, qui continuent de s’adresser à cette jeunesse avec distance et un langage d’un autre temps, ignorant qu’elle n’accepte plus aucune verticalité.
Pour avancer, le Maroc a besoin de cette énergie, de cette créativité et de cette audace que porte la génération Z. Elle ne manque ni de patriotisme ni de combativité, à condition qu’on lui laisse le champ libre et l’espace nécessaire pour créer et s’exprimer.