Dans un communiqué publié, lundi 22 décembre 2025, la Délégation assure que le prisonnier bénéficie de soins médicaux appropriés et que son état de santé est stable et suivi régulièrement par des spécialistes.
Cette réponse fait suite à des publications sur certains réseaux sociaux affirmant que le détenu ne bénéficierait pas de soins médicaux malgré des douleurs aux oreilles.
À travers son communiqué, l’administration de l’établissement a tenu à qualifier ces allégations de fausses. Elle précise que « le détenu a été conduit au Centre hospitalier provincial d’Inzegan le 15 décembre 2025, conformément à un rendez-vous médical programmé, où il a été examiné par un spécialiste en oto-rhino-laryngologie (ORL). Il a ensuite été orienté vers l’hôpital régional Hassan II d’Agadir pour le suivi de son état de santé, un nouveau rendez-vous devant être fixé ultérieurement.
« Il est également important de souligner que le détenu avait déjà bénéficié d’un traitement médicamenteux, lui permettant d’éviter une intervention chirurgicale » précise la DGAPR.
L’administration souligne que l’état de santé du détenu est stable et normal, et que les informations circulant à ce sujet ne sont que des affirmations mensongères diffusées par des parties hostiles au Royaume.
« Pour corroborer cette stabilité, il est rappelé que le prisonnier a récemment réussi l’épreuve écrite pour intégrer un programme de master à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Ibn Zohr à Agadir. » conclu le communiqué.
Il est a rappelé que quinze ans après le drame de Gdeim Izik, la Coordination des amis et des victimes ravive le devoir de mémoire autour des onze membres des forces de l’ordre assassinés le 8 novembre 2010. Cette commémoration intervient dans un contexte marqué par une nouvelle avancée diplomatique majeure pour le Maroc, avec l’adoption de la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU consacrant la souveraineté du Royaume sur ses provinces du Sud et l’initiative d’autonomie comme unique solution réaliste.
Par ailleurs, la Coordination a exhorté les mécanismes onusiens compétents à se pencher sur les graves violations des droits de l’Homme commises à l’époque par les bandes séparatistes. « Nous revendiquons l’examen par l’ONU des diverses violations, notamment l’atteinte au droit à la vie, la mutilation des corps des victimes ainsi que les scènes dont nous avons été témoins lors des attaques armées menées par ces groupes », souligne le communiqué de la Coordination. Une démarche qui vise à inscrire le dossier de Gdeim Izik dans une logique de vérité, de justice et de responsabilisation, à la hauteur de la gravité des faits et de la mémoire des victimes.
Cette réponse fait suite à des publications sur certains réseaux sociaux affirmant que le détenu ne bénéficierait pas de soins médicaux malgré des douleurs aux oreilles.
À travers son communiqué, l’administration de l’établissement a tenu à qualifier ces allégations de fausses. Elle précise que « le détenu a été conduit au Centre hospitalier provincial d’Inzegan le 15 décembre 2025, conformément à un rendez-vous médical programmé, où il a été examiné par un spécialiste en oto-rhino-laryngologie (ORL). Il a ensuite été orienté vers l’hôpital régional Hassan II d’Agadir pour le suivi de son état de santé, un nouveau rendez-vous devant être fixé ultérieurement.
« Il est également important de souligner que le détenu avait déjà bénéficié d’un traitement médicamenteux, lui permettant d’éviter une intervention chirurgicale » précise la DGAPR.
L’administration souligne que l’état de santé du détenu est stable et normal, et que les informations circulant à ce sujet ne sont que des affirmations mensongères diffusées par des parties hostiles au Royaume.
« Pour corroborer cette stabilité, il est rappelé que le prisonnier a récemment réussi l’épreuve écrite pour intégrer un programme de master à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Ibn Zohr à Agadir. » conclu le communiqué.
Il est a rappelé que quinze ans après le drame de Gdeim Izik, la Coordination des amis et des victimes ravive le devoir de mémoire autour des onze membres des forces de l’ordre assassinés le 8 novembre 2010. Cette commémoration intervient dans un contexte marqué par une nouvelle avancée diplomatique majeure pour le Maroc, avec l’adoption de la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU consacrant la souveraineté du Royaume sur ses provinces du Sud et l’initiative d’autonomie comme unique solution réaliste.
Par ailleurs, la Coordination a exhorté les mécanismes onusiens compétents à se pencher sur les graves violations des droits de l’Homme commises à l’époque par les bandes séparatistes. « Nous revendiquons l’examen par l’ONU des diverses violations, notamment l’atteinte au droit à la vie, la mutilation des corps des victimes ainsi que les scènes dont nous avons été témoins lors des attaques armées menées par ces groupes », souligne le communiqué de la Coordination. Une démarche qui vise à inscrire le dossier de Gdeim Izik dans une logique de vérité, de justice et de responsabilisation, à la hauteur de la gravité des faits et de la mémoire des victimes.






















