Cette déclaration a été faite lors d’une interview accordée à Al Sharq en marge du séminaire de l'OPEP à Vienne. Ce premier tronçon sera ensuite relié à la Mauritanie et au Sénégal.
L’investissement, estimé à valeur de 6 milliards de dirhams, sera lancé avant la fin du mois de juillet, selon la même source.
Le gazoduc, qui devrait partir du Nigeria et traverser 11 pays avant d'atteindre le Maroc, et qui engage un coût global de plus de 25 milliards de dollars, devrait transporter 3 milliards de pieds cubes de gaz (soit environ 850.000 m3) par jour le long de la côte ouest-africaine vers l'Europe via le gazoduc Maghreb-Europe.
Benali a révélé que la contribution des énergies renouvelables au réseau électrique du Royaume dépasse actuellement 45 % et est en passe d'atteindre 52 % avant la date cible de 2030, mais il a ajouté que le Maroc doit également donner un coup de pouce aux projets de stockage de batteries qui lui permettront de doubler la contribution des énergies renouvelables, ainsi que de se concentrer sur le gaz naturel.
Le Maroc vise à plus que doubler sa capacité de production d'électricité d'ici 2030 pour atteindre 27 GW, contre 12 GW actuellement, pour un coût total d'environ 13 milliards de dollars, a rajouté Benali, notant que les énergies renouvelables représenteront 80 % de l'augmentation.
La ministre a noté qu'un certain nombre d'institutions d'investissement non souveraines et de fonds d'infrastructure ont exprimé leur intérêt pour l'investissement dans le gazoduc en raison de ses rendements stables de plus de 10 %, sans toutefois donner de noms.
L’investissement, estimé à valeur de 6 milliards de dirhams, sera lancé avant la fin du mois de juillet, selon la même source.
Le gazoduc, qui devrait partir du Nigeria et traverser 11 pays avant d'atteindre le Maroc, et qui engage un coût global de plus de 25 milliards de dollars, devrait transporter 3 milliards de pieds cubes de gaz (soit environ 850.000 m3) par jour le long de la côte ouest-africaine vers l'Europe via le gazoduc Maghreb-Europe.
Benali a révélé que la contribution des énergies renouvelables au réseau électrique du Royaume dépasse actuellement 45 % et est en passe d'atteindre 52 % avant la date cible de 2030, mais il a ajouté que le Maroc doit également donner un coup de pouce aux projets de stockage de batteries qui lui permettront de doubler la contribution des énergies renouvelables, ainsi que de se concentrer sur le gaz naturel.
Le Maroc vise à plus que doubler sa capacité de production d'électricité d'ici 2030 pour atteindre 27 GW, contre 12 GW actuellement, pour un coût total d'environ 13 milliards de dollars, a rajouté Benali, notant que les énergies renouvelables représenteront 80 % de l'augmentation.
La ministre a noté qu'un certain nombre d'institutions d'investissement non souveraines et de fonds d'infrastructure ont exprimé leur intérêt pour l'investissement dans le gazoduc en raison de ses rendements stables de plus de 10 %, sans toutefois donner de noms.