Placée sous le thème « Une Afrique connectée, durable et souveraine », cette rencontre s’inscrit dans une dynamique d’investissements soutenue dans les provinces du Sud, impulsée par la Vision Royale de développement du Sahara. En réunissant décideurs publics, opérateurs privés, investisseurs et experts internationaux, l’événement ambitionne de faire de Dakhla une plateforme centrale de la connectivité africaine et un levier majeur de l’intégration économique du continent. Pour les organisateurs, la logistique représente bien plus qu’un simple secteur technique : elle constitue le cœur battant de la souveraineté économique africaine, capable de rapprocher les marchés, de fluidifier les échanges, de créer de la valeur localement et de renforcer la compétitivité du continent.
À l’ouverture du forum, le président du Conseil régional, Ynja El Khattat, a rappelé que les échanges intra-africains ne dépassent pas 15 % du commerce continental, un niveau limité par la faiblesse des interconnexions et par des coûts logistiques particulièrement élevés. Selon la Banque mondiale, ces coûts représentent encore près de 35 % du prix final des produits en Afrique, contre 10 % dans les économies avancées. Dans ce contexte, Dakhla se positionne comme un carrefour stratégique entre l’Afrique de l’Ouest, le Sahel, l’espace atlantique et l’Europe. Le port Dakhla Atlantique, la voie express Tiznit–Dakhla ainsi que les futures zones logistiques régionales constituent des infrastructures clés appelées à transformer la façade atlantique en un nœud de circulation majeur au service de la ZLECAf et des grands corridors africains. À son tour, l’envoyé spécial du président du Liberia, Kouyateh Sheikh Al Moustapha, a souligné l’importance d’infrastructures performantes pour accompagner la montée en puissance de la Zone de libre-échange continentale africaine, saluant les projets structurants portés par le Maroc, notamment le port Dakhla Atlantique, présenté comme un futur hub de référence pour le commerce continental et la connectivité atlantique.
Ce rendez-vous a également été marqué par une conférence plénière réunissant un porte-parole du futur Port Atlantique de Dakhla, le directeur général de PortNet et le directeur du Centre Régional d’Investissement (CRI) de Dakhla-Oued Eddahab, dans laquelle trois transformations majeures ont été abordé, la digitalisation, indispensable pour fluidifier les procédures, garantir la traçabilité des flux et réduire les coûts logistiques, qui restent deux à trois fois plus élevés en Afrique que dans d’autres régions, la durabilité, devenue impérative pour concilier croissance des échanges et réduction des émissions, à travers la logistique verte, l’optimisation des itinéraires ou encore l’usage d’énergies propres, et puis, le financement, clé de la réalisation de projets transfrontaliers, mobilisant partenariats public-privé, institutions financières africaines et bailleurs internationaux.
La dimension humaine n’est pas en reste : une session dédiée met l’accent sur la formation et la montée en compétences, éléments essentiels pour accompagner l’industrialisation de la filière logistique africaine.
À l’ouverture du forum, le président du Conseil régional, Ynja El Khattat, a rappelé que les échanges intra-africains ne dépassent pas 15 % du commerce continental, un niveau limité par la faiblesse des interconnexions et par des coûts logistiques particulièrement élevés. Selon la Banque mondiale, ces coûts représentent encore près de 35 % du prix final des produits en Afrique, contre 10 % dans les économies avancées. Dans ce contexte, Dakhla se positionne comme un carrefour stratégique entre l’Afrique de l’Ouest, le Sahel, l’espace atlantique et l’Europe. Le port Dakhla Atlantique, la voie express Tiznit–Dakhla ainsi que les futures zones logistiques régionales constituent des infrastructures clés appelées à transformer la façade atlantique en un nœud de circulation majeur au service de la ZLECAf et des grands corridors africains. À son tour, l’envoyé spécial du président du Liberia, Kouyateh Sheikh Al Moustapha, a souligné l’importance d’infrastructures performantes pour accompagner la montée en puissance de la Zone de libre-échange continentale africaine, saluant les projets structurants portés par le Maroc, notamment le port Dakhla Atlantique, présenté comme un futur hub de référence pour le commerce continental et la connectivité atlantique.
Ce rendez-vous a également été marqué par une conférence plénière réunissant un porte-parole du futur Port Atlantique de Dakhla, le directeur général de PortNet et le directeur du Centre Régional d’Investissement (CRI) de Dakhla-Oued Eddahab, dans laquelle trois transformations majeures ont été abordé, la digitalisation, indispensable pour fluidifier les procédures, garantir la traçabilité des flux et réduire les coûts logistiques, qui restent deux à trois fois plus élevés en Afrique que dans d’autres régions, la durabilité, devenue impérative pour concilier croissance des échanges et réduction des émissions, à travers la logistique verte, l’optimisation des itinéraires ou encore l’usage d’énergies propres, et puis, le financement, clé de la réalisation de projets transfrontaliers, mobilisant partenariats public-privé, institutions financières africaines et bailleurs internationaux.
La dimension humaine n’est pas en reste : une session dédiée met l’accent sur la formation et la montée en compétences, éléments essentiels pour accompagner l’industrialisation de la filière logistique africaine.
