L'accord entre le Collège ingénierie et architecture de l’Université internationale de Rabat (UIR) et l’Observatoire Marocain de la Souveraineté Numérique (OMSN), signé le 16 décembre dernier, a marqué un jalon important au cours d'une table ronde dédiée à l'Intelligence Artificielle (IA) en tant que force motrice de la transition numérique au Maroc.
L'événement a réuni un ensemble d’éminents d'experts, de chercheurs et de professionnels de l'industrie et de l'écosystème numérique. Au cœur des discussions figuraient les récentes avancées, les défis et les opportunités découlant de l'intégration de l'IA dans le paysage technologique marocain. La signature de cette convention revêt ainsi une importance particulière, symbolisant l'engagement conjoint à stimuler la recherche, à promouvoir l'innovation et à créer des synergies cruciales dans le domaine de l'IA.
Approché, à ce sujet par le journal «l’Opinion», le CEO de Social Impulse, Yasser Monkachi, a partagé sa perspective sur l'objectif de l'initiative en déclarant que « cet événement a tracé des idées et des axes prometteurs en termes de développement de stratégies digitales à l'échelle microéconomique et macroéconomique, ainsi qu'à l'échelle nationale. La transition numérique, un enjeu attendu depuis un certain temps, a été au cœur des discussions. L'accent a été mis, également, sur l'importance de la souveraineté et du capital pour développer des solutions locales tout en s'inspirant des tendances internationales».
Selon lui, la nécessité de construire des expériences avec le soutien de l'Intelligence Artificielle est devenue incontournable, impliquant une formation approfondie pour en assurer une maîtrise optimale.
Au Maroc, un programme exécutif de Master dédié à l'IA et aux données a été instauré, soulignant l'inextricable lien entre ces deux domaines. En effet, évoquer les données implique inévitablement l'IA, car il est impossible d'exploiter pleinement la data sans recourir à cette technologie. C'est pourquoi les universités marocaines proposent des formations spécialisées dans le domaine de l'IA, reconnaissant son rôle essentiel dans la manipulation et l'analyse efficace des données, a-t-il ajouté.
De son côté, Mustapha Meloui, président de l’Observatoire marocain de la souveraineté numérique (OMSN), a souligné l'importance de cette convention qui confirme l'ouverture aux structures académiques. L'objectif, selon lui, est de renforcer la recherche scientifique en intelligence artificielle, big data et cybersécurité, notamment parce que le Maroc reconnaît la nécessité de développer un capital humain dans ces compétences numériques. La convention vise à mener des études sur le terrain pour identifier les besoins du marché en matière d'intelligence artificielle.
L'événement a réuni un ensemble d’éminents d'experts, de chercheurs et de professionnels de l'industrie et de l'écosystème numérique. Au cœur des discussions figuraient les récentes avancées, les défis et les opportunités découlant de l'intégration de l'IA dans le paysage technologique marocain. La signature de cette convention revêt ainsi une importance particulière, symbolisant l'engagement conjoint à stimuler la recherche, à promouvoir l'innovation et à créer des synergies cruciales dans le domaine de l'IA.
Approché, à ce sujet par le journal «l’Opinion», le CEO de Social Impulse, Yasser Monkachi, a partagé sa perspective sur l'objectif de l'initiative en déclarant que « cet événement a tracé des idées et des axes prometteurs en termes de développement de stratégies digitales à l'échelle microéconomique et macroéconomique, ainsi qu'à l'échelle nationale. La transition numérique, un enjeu attendu depuis un certain temps, a été au cœur des discussions. L'accent a été mis, également, sur l'importance de la souveraineté et du capital pour développer des solutions locales tout en s'inspirant des tendances internationales».
Selon lui, la nécessité de construire des expériences avec le soutien de l'Intelligence Artificielle est devenue incontournable, impliquant une formation approfondie pour en assurer une maîtrise optimale.
Au Maroc, un programme exécutif de Master dédié à l'IA et aux données a été instauré, soulignant l'inextricable lien entre ces deux domaines. En effet, évoquer les données implique inévitablement l'IA, car il est impossible d'exploiter pleinement la data sans recourir à cette technologie. C'est pourquoi les universités marocaines proposent des formations spécialisées dans le domaine de l'IA, reconnaissant son rôle essentiel dans la manipulation et l'analyse efficace des données, a-t-il ajouté.
De son côté, Mustapha Meloui, président de l’Observatoire marocain de la souveraineté numérique (OMSN), a souligné l'importance de cette convention qui confirme l'ouverture aux structures académiques. L'objectif, selon lui, est de renforcer la recherche scientifique en intelligence artificielle, big data et cybersécurité, notamment parce que le Maroc reconnaît la nécessité de développer un capital humain dans ces compétences numériques. La convention vise à mener des études sur le terrain pour identifier les besoins du marché en matière d'intelligence artificielle.