L'Ittihad Tanger n’a pas de chance avec les sponsors qui soutiennent le football…
Est-ce la faute au comité présidé par Nasrallah Quertite pourtant- membre fédéral ?
Est-ce la mauvaise gestion du club qui en est la cause ?
Est-ce le manque d’une vraie politique de formation avec un centre ayant connu le « sommeil » durant les dernières saisons laquelle est pointée du doigt ?
Alors que la fondation « Evo Sport », en partenariat avec l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), continue d'apporter un soutien financier et logistique aux clubs nationaux en finançant des équipes de jeunes toutes catégories, force est de constater que l'Ittihad Tanger, malgré son histoire et sa popularité, est exclu.
La liste des clubs bénéficiaires comprend 11 équipes de première et deuxième divisions, notamment les FAR, le Raja, le Wydad, le Fath, le Moghreb de Tétouan, et plusieurs autres.
Est-il concevable qu'un club de la taille de l'Ittihad Tanger, qui représente la deuxième plus grande ville du Maroc, ne dispose pas d'un centre de formation qualifié ni d'un projet de formation clair ?
Ou bien l'administration actuelle a-t-elle choisi, comme à son habitude, d'ignorer les calendriers de construction et de développement et de se livrer à des conflits mesquins et à des calculs étriqués sans rapport avec le football ?
En réalité, cette exclusion n'est pas tombée du ciel.
Elle reflète bien plutôt un échec cumulé dans la gestion des équipes de jeunes, et plus encore, l'absence de vision stratégique claire pour le développement à long terme de la formation tangéroise.
Alors que les grands clubs s'affairent à construire leur avenir en investissant dans les catégories des jeunes, l'Ittihad Tanger reste embourbé dans une « gestion improvisée » et une « gestion de crise quotidienne », sans aucun plan pour préparer une nouvelle génération de joueurs.
Plus étonnant encore, les dirigeants du club n'ont même pas pris la peine d'apporter la moindre clarification – ni communiqué officiel, ni clarification publique – comme si le sujet ne les concernait pas, ou comme si les équipes de jeunes ne faisaient pas partie du club !
En réalité, l'absence de l'Ittihad Tanger dans un projet national d'une telle ampleur est une honte administrative et un scandale de gestion à tous les égards.
C'est un nouveau signal d'alarme, annonçant que l'équipe s'achemine vers un déclin sans cesse croissant.
La réunion prévue aujourd'hui entre la Ligue professionnelle et les directions techniques des clubs sera une nouvelle occasion (peut-être la dernière) pour les dirigeants de l’IRT de se responsabiliser avant d'être tenus responsables par le public tangérois.
Le football ne se résume pas à l'équipe première ; c'est un système qui commence à la base, et quiconque ne croit pas à la formation est voué à l'échec.
Est-ce la faute au comité présidé par Nasrallah Quertite pourtant- membre fédéral ?
Est-ce la mauvaise gestion du club qui en est la cause ?
Est-ce le manque d’une vraie politique de formation avec un centre ayant connu le « sommeil » durant les dernières saisons laquelle est pointée du doigt ?
Alors que la fondation « Evo Sport », en partenariat avec l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), continue d'apporter un soutien financier et logistique aux clubs nationaux en finançant des équipes de jeunes toutes catégories, force est de constater que l'Ittihad Tanger, malgré son histoire et sa popularité, est exclu.
La liste des clubs bénéficiaires comprend 11 équipes de première et deuxième divisions, notamment les FAR, le Raja, le Wydad, le Fath, le Moghreb de Tétouan, et plusieurs autres.
Est-il concevable qu'un club de la taille de l'Ittihad Tanger, qui représente la deuxième plus grande ville du Maroc, ne dispose pas d'un centre de formation qualifié ni d'un projet de formation clair ?
Ou bien l'administration actuelle a-t-elle choisi, comme à son habitude, d'ignorer les calendriers de construction et de développement et de se livrer à des conflits mesquins et à des calculs étriqués sans rapport avec le football ?
En réalité, cette exclusion n'est pas tombée du ciel.
Elle reflète bien plutôt un échec cumulé dans la gestion des équipes de jeunes, et plus encore, l'absence de vision stratégique claire pour le développement à long terme de la formation tangéroise.
Alors que les grands clubs s'affairent à construire leur avenir en investissant dans les catégories des jeunes, l'Ittihad Tanger reste embourbé dans une « gestion improvisée » et une « gestion de crise quotidienne », sans aucun plan pour préparer une nouvelle génération de joueurs.
Plus étonnant encore, les dirigeants du club n'ont même pas pris la peine d'apporter la moindre clarification – ni communiqué officiel, ni clarification publique – comme si le sujet ne les concernait pas, ou comme si les équipes de jeunes ne faisaient pas partie du club !
En réalité, l'absence de l'Ittihad Tanger dans un projet national d'une telle ampleur est une honte administrative et un scandale de gestion à tous les égards.
C'est un nouveau signal d'alarme, annonçant que l'équipe s'achemine vers un déclin sans cesse croissant.
La réunion prévue aujourd'hui entre la Ligue professionnelle et les directions techniques des clubs sera une nouvelle occasion (peut-être la dernière) pour les dirigeants de l’IRT de se responsabiliser avant d'être tenus responsables par le public tangérois.
Le football ne se résume pas à l'équipe première ; c'est un système qui commence à la base, et quiconque ne croit pas à la formation est voué à l'échec.