Parmi les nouveautés du SIAM 2023 figure la démarche de la Fondation MiftahEssaad pour le Capital immatériel du Maroc en matière de lutte contre le stress hydrique. L’occasion est belle quand on sait que ce Salon est un incontournable pour le secteur agricole national et international. C’est aussi l’intérêt que porte cette institution au développement du monde rural et à la préservation du patrimoine et du savoir-faire marocain, dans les techniques agricoles et de préservation des ressources hydriques.
En effet, dans un contexte particulièrement sensible et critique sur la disponibilité de l’eau aussi bien pour la consommation des ménages que pour l’agriculture, il est devenu primordial de revisiter les anciennes pratiques qui, naguère, faisaient le bonheur de l’agriculteur marocain. Vous l’aurez deviné, il s’agit du savoir-faire marocain : les « Khettaras », actuellement exposées au Stand de la Province d’Errachidia au public marocain et étranger.
Pour rappel, la « Khettara » est un système d’irrigation d’eau utilisée depuis des millénaires par plusieurs civilisations à travers le monde. C’est le cas en Afrique du Nord, notamment au Royaume du Maroc. Dans son passé, comme dans son présent, le Maroc a toujours été une terre d’agriculture. La « Khettara » y a joué un rôle vital, dans plusieurs régions du pays.
A ce sujet, Mme LallaBedraSaoud Alaoui, Présidente Fondatrice de la Fondation MiftahEssaad pour le Capital Immatériel du Maroc souligne :« notre objectif est de sensibiliser davantage sur l’utilité des Khettaras dans le contexte actuel de rareté de la ressource hydrique. Nous sommes convaincus, et c’est scientifiquement prouvé, que les Khettaras peuvent être une réponse aux défis actuels pour une agriculture durable et qui s’adapte aux changements climatiques ».
Pour elle, les Khettaras sont une solution pour la préservation de l’eau aussi bien au Maroc qu’à travers d’autres pays du monde. Il est donc primordial de les préserver et de les restaurer. A ce propos, elle n’a pas manqué de souligner l’intérêt que porte le Gouvernement et les Collectivités territoriales pour la préservation des Khettaras au Maroc. Cette reconnaissance et le soutien au savoir-faire et les techniques sur les Khettaras ont permis leur inscription sur la liste du patrimoine national du Maroc, mais aussi sur la liste du patrimoine de l’ICESCO, relevant de l’Organisation de la Coopération Islamique, en Juillet 2022.
Consciente du rôle vital de l’UNESCO et de son action salutaire dans la préservation et la promotion des traditions, des cultures et des connaissances spécifiques de l’humanité, la Fondation œuvre inlassablement à la préservation des Khettaras et leur inscription sur la liste du patrimoine universel.
En effet, dans un contexte particulièrement sensible et critique sur la disponibilité de l’eau aussi bien pour la consommation des ménages que pour l’agriculture, il est devenu primordial de revisiter les anciennes pratiques qui, naguère, faisaient le bonheur de l’agriculteur marocain. Vous l’aurez deviné, il s’agit du savoir-faire marocain : les « Khettaras », actuellement exposées au Stand de la Province d’Errachidia au public marocain et étranger.
Pour rappel, la « Khettara » est un système d’irrigation d’eau utilisée depuis des millénaires par plusieurs civilisations à travers le monde. C’est le cas en Afrique du Nord, notamment au Royaume du Maroc. Dans son passé, comme dans son présent, le Maroc a toujours été une terre d’agriculture. La « Khettara » y a joué un rôle vital, dans plusieurs régions du pays.
A ce sujet, Mme LallaBedraSaoud Alaoui, Présidente Fondatrice de la Fondation MiftahEssaad pour le Capital Immatériel du Maroc souligne :« notre objectif est de sensibiliser davantage sur l’utilité des Khettaras dans le contexte actuel de rareté de la ressource hydrique. Nous sommes convaincus, et c’est scientifiquement prouvé, que les Khettaras peuvent être une réponse aux défis actuels pour une agriculture durable et qui s’adapte aux changements climatiques ».
Pour elle, les Khettaras sont une solution pour la préservation de l’eau aussi bien au Maroc qu’à travers d’autres pays du monde. Il est donc primordial de les préserver et de les restaurer. A ce propos, elle n’a pas manqué de souligner l’intérêt que porte le Gouvernement et les Collectivités territoriales pour la préservation des Khettaras au Maroc. Cette reconnaissance et le soutien au savoir-faire et les techniques sur les Khettaras ont permis leur inscription sur la liste du patrimoine national du Maroc, mais aussi sur la liste du patrimoine de l’ICESCO, relevant de l’Organisation de la Coopération Islamique, en Juillet 2022.
Consciente du rôle vital de l’UNESCO et de son action salutaire dans la préservation et la promotion des traditions, des cultures et des connaissances spécifiques de l’humanité, la Fondation œuvre inlassablement à la préservation des Khettaras et leur inscription sur la liste du patrimoine universel.
W.S.