Selon les premiers éléments de l’enquête, le procédé adopté par les personnes interpellées, à savoir la propriétaire d’une société d'intermédiation en matière d'emploi, un notaire et deux intermédiaires, consistait à attirer les victimes avec de faux contrats de travail à l’étranger, fournis par l’agence gérée par la principale suspecte, en contrepartie de sommes d'argent allant jusqu'à 50.000 dirhams, a indiqué une source sécuritaire, ajoutant que ces contrats de travail fictifs étaient signés sous la supervision du notaire arrêté.
Les opérations sécuritaires simultanées ont permis d’appréhender les mis en cause dans les villes de Fès, Meknès, Sefrou et Imouzzer, tandis que les perquisitions ont permis de saisir des copies de contrats de travail fictifs, des bordereaux de virements bancaires provenant vraisemblablement des victimes, qui se comptent par dizaines, outre des pièces d'identité, des passeports, du matériel informatique et des cachets utilisés dans cette activité criminelle, précise-t-on.
Les prévenus ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête judiciaire menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'élucider les circonstances de cette affaire et de déterminer tous les actes criminels qui leur sont imputés, souligne la même source.
Les opérations sécuritaires simultanées ont permis d’appréhender les mis en cause dans les villes de Fès, Meknès, Sefrou et Imouzzer, tandis que les perquisitions ont permis de saisir des copies de contrats de travail fictifs, des bordereaux de virements bancaires provenant vraisemblablement des victimes, qui se comptent par dizaines, outre des pièces d'identité, des passeports, du matériel informatique et des cachets utilisés dans cette activité criminelle, précise-t-on.
Les prévenus ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête judiciaire menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'élucider les circonstances de cette affaire et de déterminer tous les actes criminels qui leur sont imputés, souligne la même source.