A l'instar de plusieurs clubs, le Wydad, qui a très mal terminé la première manche du Championnat tout en étant leader, vient d'être informé qu'il lui est interdit de procéder à de nouveaux recrutement lors du mercato hivernal qui débute le 15 janvier courant.
La raison : plusieurs différends et litiges opposant le club casablancais à certains de ses anciens joueurs. Or, tant que cette situation n'est pas régularisée et normalisée, tout recrutement est interdit.
C'est la course contre la montre pour son président Saïd Naciri qui se démène pour résoudre les différents litiges financiers du club.
Il a commencé par ceux sur les bureaux de la FIFA et du TAS. Le premier dossier qui vient d'être réglé opposait le Wydad à son ancien joueur Ougandais Joël Madondo et son club d'origine Bosoka United. Une somme de 500.000 dh a été débloquée en faveur de la partie ougandaise. Les documents justificatifs ont été adressés à la FIFA et au TAS.
Et ce n'est que le début. D'autres dossiers sont encore en instance puisque des appels ont été interjetés pour retarder l'échéance et non pas régler les litiges en instance. Une façon de gagner du temps et non pas de mettre fin aux litiges.
Quant aux litiges au niveau fédéral, Saïd Naciri, selon des sources proches du Wydad, a promis de les régler avant le 15 janvier, date d'ouverture du mercato hivernal.
Ceci dit, le président du WAC est bien sûr au courant de tous ses litiges avec ses anciens joueurs recrutés n'importe comment et en faisant n'importe quoi puisqu'il est le seul décideur. Il est également au courant des sanctions qui en découlent. Pourquoi alors n'a-t-il pas cherché à les résoudre à temps ?
Son effectif actuel est très limité et peu convaincant. Les Wydadis, tous, en sont conscients. Ils réclament des renforts. Déjà la fermeture des frontières pose problème. Sur le plan national, le mercato est pauvre en éléments de valeur. Les rares sont "chers". Si à cela on ajoute l'interdiction de recruter, les Wydadis ne sont pas rassurés. Ils sont même inquiets.
La raison : plusieurs différends et litiges opposant le club casablancais à certains de ses anciens joueurs. Or, tant que cette situation n'est pas régularisée et normalisée, tout recrutement est interdit.
C'est la course contre la montre pour son président Saïd Naciri qui se démène pour résoudre les différents litiges financiers du club.
Il a commencé par ceux sur les bureaux de la FIFA et du TAS. Le premier dossier qui vient d'être réglé opposait le Wydad à son ancien joueur Ougandais Joël Madondo et son club d'origine Bosoka United. Une somme de 500.000 dh a été débloquée en faveur de la partie ougandaise. Les documents justificatifs ont été adressés à la FIFA et au TAS.
Et ce n'est que le début. D'autres dossiers sont encore en instance puisque des appels ont été interjetés pour retarder l'échéance et non pas régler les litiges en instance. Une façon de gagner du temps et non pas de mettre fin aux litiges.
Quant aux litiges au niveau fédéral, Saïd Naciri, selon des sources proches du Wydad, a promis de les régler avant le 15 janvier, date d'ouverture du mercato hivernal.
Ceci dit, le président du WAC est bien sûr au courant de tous ses litiges avec ses anciens joueurs recrutés n'importe comment et en faisant n'importe quoi puisqu'il est le seul décideur. Il est également au courant des sanctions qui en découlent. Pourquoi alors n'a-t-il pas cherché à les résoudre à temps ?
Son effectif actuel est très limité et peu convaincant. Les Wydadis, tous, en sont conscients. Ils réclament des renforts. Déjà la fermeture des frontières pose problème. Sur le plan national, le mercato est pauvre en éléments de valeur. Les rares sont "chers". Si à cela on ajoute l'interdiction de recruter, les Wydadis ne sont pas rassurés. Ils sont même inquiets.
