Dans un communiqué, le Procureur du Roi a réfuté les rumeurs relayées par les réseaux sociaux selon lesquelles la victime aurait subit des sévices physiques et sexuels avant sa mort. Selon la mise au point, aucune trace d'agression physique n’a été relevée par l’autopsie.
Dès la découverte du corps de l'enfant, une enquête a été ouverte par la police judiciaire sous la supervision du parquet compétent afin d'élucider les circonstances de décès mystérieux. En plus de l’autopsie, plusieurs personnes, dont les parents de l'enfant décédé, ont été interrogées et les prélèvements nécessaires effectués.
Le procureur du Roi a rappelé que l'enquête judiciaire est toujours en cours.
Pour rappel, le jeune berger Mohammed Bouislikhen, n’ayant pas encore fêté ses 15 ans, a été retrouvé mort pendu près d’un égout dans la contrée de Aït Zaarour (commune d’Aghbalou) le 16 juin dernier. Les circonstances mystérieuses de sa mort a soulevé des soupçons sur la piste criminelle.
Dès la découverte du corps de l'enfant, une enquête a été ouverte par la police judiciaire sous la supervision du parquet compétent afin d'élucider les circonstances de décès mystérieux. En plus de l’autopsie, plusieurs personnes, dont les parents de l'enfant décédé, ont été interrogées et les prélèvements nécessaires effectués.
Le procureur du Roi a rappelé que l'enquête judiciaire est toujours en cours.
Pour rappel, le jeune berger Mohammed Bouislikhen, n’ayant pas encore fêté ses 15 ans, a été retrouvé mort pendu près d’un égout dans la contrée de Aït Zaarour (commune d’Aghbalou) le 16 juin dernier. Les circonstances mystérieuses de sa mort a soulevé des soupçons sur la piste criminelle.