L’objectif, selon la même source, est de préserver ce patrimoine, de le pérenniser et de le transmettre aux générations futures. Le président du comité, Moulay El Mahdi El Fatimi, également parlementaire et président de commune, a en effet réitéré au nom du comité d’organisation de ce Moussem, son appel à soutenir l'inscription de cette manifestation culturelle d’envergure sur la liste du patrimoine humain immatériel.
« En ma qualité de président de la commune rurale, président du comité d’organisation dudit Moussem et membre de la Chambre des Représentants, j’invite l’UNESCO à bien vouloir inscrire le Moussem Moulay Abdellah Amghar sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité », a fait savoir lundi Moulay El Mehdi dans une déclaration à la presse nationale.
Et d’ajouter: il n’est inadmissible aujourd’hui qu’un tel événement culturel, conçu parmi les 300 moussems significatifs comme le premier en son genre au Maroc, de par ses deux millions de visiteurs marocains et étrangers chaque année, animé par un rassemblement de plus de 110 "sorbas" représentant les tribus les plus connues du domaine de Tbourida, ainsi que par la plus grande concentration de cavalerie au Maroc, avec près de 2000 cavaliers, ne puisse jouir de cette reconnaissance significative de la part de l’UNESCO.
Le Moussem de Moulay Abdellah Amghar est considéré comme l’une des manifestations religieuses et culturelles les plus attrayantes et les plus riches du Royaume, célébré par les tribus des Doukkala à la mémoire du saint Moulay Abdellah Amghar dans la commune rurale de Moulay Abdellah (10 km au sud-ouest d’El Jadida et 5 km au nord-ouest de la station balnéaire de Sidi Bouzid).
Grâce à ses festivités très variées, se déclinant entre activités religieuses, patrimoniales et folkloriques dans les différents espaces, ses fantasias, sa Fauconnerie, ses soirées artistiques populaires, sa valorisation de l’art de la «Halqa» au (Mahrak), le Moussem Moulay Abdellah Amghar dont la renommée dépasse les frontières, mérite aujourd’hui plus d’égard, conclut le président du comité d’organisation.
L’initiative du comité d’organisation du Moussem Moulay Abdellah Amghar intervient peu de temps après l’entrée au galop de l'art équestre marocain « Tbourida » au patrimoine de l'UNESCO.
« En ma qualité de président de la commune rurale, président du comité d’organisation dudit Moussem et membre de la Chambre des Représentants, j’invite l’UNESCO à bien vouloir inscrire le Moussem Moulay Abdellah Amghar sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité », a fait savoir lundi Moulay El Mehdi dans une déclaration à la presse nationale.
Et d’ajouter: il n’est inadmissible aujourd’hui qu’un tel événement culturel, conçu parmi les 300 moussems significatifs comme le premier en son genre au Maroc, de par ses deux millions de visiteurs marocains et étrangers chaque année, animé par un rassemblement de plus de 110 "sorbas" représentant les tribus les plus connues du domaine de Tbourida, ainsi que par la plus grande concentration de cavalerie au Maroc, avec près de 2000 cavaliers, ne puisse jouir de cette reconnaissance significative de la part de l’UNESCO.
Le Moussem de Moulay Abdellah Amghar est considéré comme l’une des manifestations religieuses et culturelles les plus attrayantes et les plus riches du Royaume, célébré par les tribus des Doukkala à la mémoire du saint Moulay Abdellah Amghar dans la commune rurale de Moulay Abdellah (10 km au sud-ouest d’El Jadida et 5 km au nord-ouest de la station balnéaire de Sidi Bouzid).
Grâce à ses festivités très variées, se déclinant entre activités religieuses, patrimoniales et folkloriques dans les différents espaces, ses fantasias, sa Fauconnerie, ses soirées artistiques populaires, sa valorisation de l’art de la «Halqa» au (Mahrak), le Moussem Moulay Abdellah Amghar dont la renommée dépasse les frontières, mérite aujourd’hui plus d’égard, conclut le président du comité d’organisation.
L’initiative du comité d’organisation du Moussem Moulay Abdellah Amghar intervient peu de temps après l’entrée au galop de l'art équestre marocain « Tbourida » au patrimoine de l'UNESCO.
Mohamed LOKHNATI