Ces conventions, dont la cérémonie de signature a été présidée par le ministre de l'Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa, s’inscrivent dans le cadre des efforts consentis par le ministère en vue de lutter contre la déperdition et l'abandon scolaires, en tant qu’objectifs stratégiques de la Feuille de route 2022-2026, étant donné que les questions de la scolarisation de rattrapage et de l’école intégrante sont érigées en priorité dans les programmes de réforme du système éducatif.
Ces conventions, signées entre les académies régionales d’éducation et de formation et des associations de la société civile concernées par la réalisation, sous la supervision du ministère, des projets des écoles de la deuxième chance - nouvelle génération, visent à favoriser l’intégration socio-professionnelle des jeunes déscolarisés et à mettre en place des programmes qui combinent qualification éducative, formation professionnelle et activités d’épanouissement.
Bénéficiant à des centres de la deuxième chance répartis sur les différentes régions du Royaume, ces accords s’appuient sur des approches préventives pour lutter contre la déperdition scolaire et des approches correctives visant l’amélioration de l’appropriation des enseignements de base, avec l'ambition d'offrir une deuxième chance d’éducation et de formation, notamment aux enfants non-scolarisés.
Ce partenariat avec les associations de la société civile constitue un choix stratégique depuis la création des programmes de scolarisation de rattrapage, compte tenu de leurs rôles importants en termes d'interaction et de communication avec les enfants et les jeunes déscolarisés, de proximité auprès de cette frange de la société, et d’adaptation et de flexibilité par rapport à leurs situations, outre leur capacité à mobiliser le soutien et l'accompagnement nécessaires en vue de réunir les conditions de succès du programme, a affirmé, à cette occasion, M. Benmoussa.
M. Benmoussa a, également, mis en avant le rôle des associations de la société civile dans la mise en œuvre du chantier de l'école de la deuxième chance à travers le renforcement du partenariat et du réseautage, et l’augmentation des capacités des associations civiles œuvrant dans le domaine de la lutte contre la déperdition scolaire dans le but d'améliorer la qualité de la formation et de faciliter le processus d’insertion socio-professionnelle des bénéficiaires de ce programme.
Pour sa part, le directeur de l'éducation non formelle au ministère, Hssain Oujour, a indiqué que le programme de la deuxième chance, qui bénéficie à environ 54. 000 élèves, tend, à l'occasion de la nouvelle rentrée scolaire, à conforter les actions initiées dans le domaine de la lutte contre la déperdition scolaire, en établissant des partenariats avec un groupe de centres œuvrant dans ce domaine, répartis sur les différentes régions du Royaume.
Dans une déclaration à la presse, il a relevé que le programme des écoles de la deuxième chance s'inscrit également dans le cadre des efforts visant à concrétiser la scolarité obligatoire et à consolider les acquis nationaux en matière de promotion de la situation des enfants en garantissant leur droit à l'éducation et à la formation, a ajouté M. Oujour.
Dans une déclaration similaire, la présidente du réseau des associations des écoles de la deuxième chance au Maroc, Salima Haloui, a souligné le rôle de la société civile dans la promotion de l'accès des jeunes à la scolarisation de rattrapage et à l'insertion socioprofessionnelle, ainsi que dans le renforcement des capacités de gestion, d'organisation et pédagogiques des associations concernées par le programme de la deuxième chance.
Ces conventions, signées entre les académies régionales d’éducation et de formation et des associations de la société civile concernées par la réalisation, sous la supervision du ministère, des projets des écoles de la deuxième chance - nouvelle génération, visent à favoriser l’intégration socio-professionnelle des jeunes déscolarisés et à mettre en place des programmes qui combinent qualification éducative, formation professionnelle et activités d’épanouissement.
Bénéficiant à des centres de la deuxième chance répartis sur les différentes régions du Royaume, ces accords s’appuient sur des approches préventives pour lutter contre la déperdition scolaire et des approches correctives visant l’amélioration de l’appropriation des enseignements de base, avec l'ambition d'offrir une deuxième chance d’éducation et de formation, notamment aux enfants non-scolarisés.
Ce partenariat avec les associations de la société civile constitue un choix stratégique depuis la création des programmes de scolarisation de rattrapage, compte tenu de leurs rôles importants en termes d'interaction et de communication avec les enfants et les jeunes déscolarisés, de proximité auprès de cette frange de la société, et d’adaptation et de flexibilité par rapport à leurs situations, outre leur capacité à mobiliser le soutien et l'accompagnement nécessaires en vue de réunir les conditions de succès du programme, a affirmé, à cette occasion, M. Benmoussa.
M. Benmoussa a, également, mis en avant le rôle des associations de la société civile dans la mise en œuvre du chantier de l'école de la deuxième chance à travers le renforcement du partenariat et du réseautage, et l’augmentation des capacités des associations civiles œuvrant dans le domaine de la lutte contre la déperdition scolaire dans le but d'améliorer la qualité de la formation et de faciliter le processus d’insertion socio-professionnelle des bénéficiaires de ce programme.
Pour sa part, le directeur de l'éducation non formelle au ministère, Hssain Oujour, a indiqué que le programme de la deuxième chance, qui bénéficie à environ 54. 000 élèves, tend, à l'occasion de la nouvelle rentrée scolaire, à conforter les actions initiées dans le domaine de la lutte contre la déperdition scolaire, en établissant des partenariats avec un groupe de centres œuvrant dans ce domaine, répartis sur les différentes régions du Royaume.
Dans une déclaration à la presse, il a relevé que le programme des écoles de la deuxième chance s'inscrit également dans le cadre des efforts visant à concrétiser la scolarité obligatoire et à consolider les acquis nationaux en matière de promotion de la situation des enfants en garantissant leur droit à l'éducation et à la formation, a ajouté M. Oujour.
Dans une déclaration similaire, la présidente du réseau des associations des écoles de la deuxième chance au Maroc, Salima Haloui, a souligné le rôle de la société civile dans la promotion de l'accès des jeunes à la scolarisation de rattrapage et à l'insertion socioprofessionnelle, ainsi que dans le renforcement des capacités de gestion, d'organisation et pédagogiques des associations concernées par le programme de la deuxième chance.