Dans une question écrite, le député Pablo Cambronero a interpellé le gouvernement espagnol pour obtenir des explications sur les motifs justifiant l'octroi d'un prêt remboursable au Maroc pour la construction de deux stations d'épuration d'eau. Ce prêt, d'un montant maximum de 5 millions d'euros, est financé par le Fonds d'internationalisation des entreprises (FIEM) au bénéfice de l'Office national marocain de l'électricité et de l'eau potable (ONEE).
Le gouvernement ibérique a répondu en mettant en avant le positionnement du Maroc en tant que principal marché des exportations espagnoles en Afrique. Les dernières données du ministère de l'Industrie, du Commerce et du Tourisme espagnol montrent une augmentation de 18,6% des exportations vers le Maroc au premier trimestre de cette année, avec un montant de 3.250,8 millions d'euros. En 2022, les exportations totales avaient atteint 11.748,2 millions d'euros, soit une hausse de 23,8% par rapport à l'année précédente.
Dans le même sillage, le gouvernement espagnol a fait valoir que le Maroc est considéré comme un pays prioritaire pour les entreprises espagnoles dans les stratégies PASE (Pays d'action stratégique sectorielle) et Horizon Afrique.
D’autre part, le gouvernement souligne que l'Espagne est devenue une référence mondiale dans le secteur de l'eau, en particulier en matière de dessalement et de traitement de l'eau potable. Grâce à ses grands groupes d'entreprises spécialisées, l'Espagne est en mesure de mener à bien des projets complexes dans ce domaine sur tous les continents, est-il précisé.
L’Exécutif ibérique met en avant le fait que les projets clés en main de ce type d'installations sont fortement soutenus par des éléments technologiques d'origine espagnole, tels que les pompes, les vannes et les éléments de contrôle.
Et de préciser que les projets ayant obtenu un financement approuvé sont de petite taille, faisant partie intégrante d'un programme ambitieux d'usines de traitement et de dessalement de l'eau, dans le but de lutter contre le stress hydrique dans le Royaume.
Parmi les projets de moyenne ou grande envergure les plus immédiats dans le cadre de ce programme, figurent quatre usines de dessalement à construire dans les villes de Casablanca, Dakhla, Safi et Nador. Selon le gouvernement, des entreprises espagnoles participent actuellement à certains de ces appels d'offres et, dans certains cas, ont été présélectionnées.
Le gouvernement ibérique a répondu en mettant en avant le positionnement du Maroc en tant que principal marché des exportations espagnoles en Afrique. Les dernières données du ministère de l'Industrie, du Commerce et du Tourisme espagnol montrent une augmentation de 18,6% des exportations vers le Maroc au premier trimestre de cette année, avec un montant de 3.250,8 millions d'euros. En 2022, les exportations totales avaient atteint 11.748,2 millions d'euros, soit une hausse de 23,8% par rapport à l'année précédente.
Dans le même sillage, le gouvernement espagnol a fait valoir que le Maroc est considéré comme un pays prioritaire pour les entreprises espagnoles dans les stratégies PASE (Pays d'action stratégique sectorielle) et Horizon Afrique.
D’autre part, le gouvernement souligne que l'Espagne est devenue une référence mondiale dans le secteur de l'eau, en particulier en matière de dessalement et de traitement de l'eau potable. Grâce à ses grands groupes d'entreprises spécialisées, l'Espagne est en mesure de mener à bien des projets complexes dans ce domaine sur tous les continents, est-il précisé.
L’Exécutif ibérique met en avant le fait que les projets clés en main de ce type d'installations sont fortement soutenus par des éléments technologiques d'origine espagnole, tels que les pompes, les vannes et les éléments de contrôle.
Et de préciser que les projets ayant obtenu un financement approuvé sont de petite taille, faisant partie intégrante d'un programme ambitieux d'usines de traitement et de dessalement de l'eau, dans le but de lutter contre le stress hydrique dans le Royaume.
Parmi les projets de moyenne ou grande envergure les plus immédiats dans le cadre de ce programme, figurent quatre usines de dessalement à construire dans les villes de Casablanca, Dakhla, Safi et Nador. Selon le gouvernement, des entreprises espagnoles participent actuellement à certains de ces appels d'offres et, dans certains cas, ont été présélectionnées.
