Aujourd’hui, la greffe de variétés résistantes sur 800 hectares fait renaître les figues à la pulpe sucrée, tandis que caroubiers et atriplex étendent leurs racines protectrices sur 60 hectares, armures vivantes contre l’érosion.
Cette initiative louable tombe à point nommé pour nourrir désormais l’espoir de 1 334 producteurs – dont 491 femmes transformant la récolte en huile précieuse et 237 jeunes bâtissant des coopératives. La sagesse locale rencontre l’innovation : dans les laboratoires de l’Université d’El Jadida, on cultive des souches riches en bêtalaïnes, tandis que les filets à brouillard captent la rosée pour les jours sans pluie.
Demain, Tamda rêve en réseau : la "Route du Cactus" unira Doukkala au Rif pour partager les remèdes contre la cochenille, et la lagune de Sidi Moussa-Oualidia prêtera son modèle de conservation hydrique. Dans les sillons de cette terre régénérée, chaque figue porte désormais une double promesse : celle d’un terroir qui transmue ses épines en or, et d’un patrimoine où la pierre, l’eau et la sève écrivent ensemble leur résilience.
Cette initiative louable tombe à point nommé pour nourrir désormais l’espoir de 1 334 producteurs – dont 491 femmes transformant la récolte en huile précieuse et 237 jeunes bâtissant des coopératives. La sagesse locale rencontre l’innovation : dans les laboratoires de l’Université d’El Jadida, on cultive des souches riches en bêtalaïnes, tandis que les filets à brouillard captent la rosée pour les jours sans pluie.
Demain, Tamda rêve en réseau : la "Route du Cactus" unira Doukkala au Rif pour partager les remèdes contre la cochenille, et la lagune de Sidi Moussa-Oualidia prêtera son modèle de conservation hydrique. Dans les sillons de cette terre régénérée, chaque figue porte désormais une double promesse : celle d’un terroir qui transmue ses épines en or, et d’un patrimoine où la pierre, l’eau et la sève écrivent ensemble leur résilience.
Mohamed LOKHNATI