Après que le colonisateur ait exécuté le père du Houssein Bouharoual sur l'une des places de Marrakech, ce dernier est resté orphelin pour vivre aux côtés de sa maman.
Après l'indépendance, et à l’instar des fils des martyrs dans tout le Maroc, les résistants et les membres de l'Armée de libération ont pris en charge Houssein Bouharoual à Casablanca.
Idée de reconnaître les sacrifices des gens qui ont offert leur vie à la patrie...
Personnellement, j'ai entendu parler de Houssein Bouharoual au début des années quatre-vingt, à l’heure où il était membre de la Fédération Royale Marocaine de Handball, puis président de cette fédération, puis président des sports scolaires, en plus d'autres tâches au sein du Comité National Olympique Marocain.
Demeurant toujours égal à lui-même et possédant une âme inébranlable, et exprimant une pensée honnête, libre et droite, fournissant d'excellents services au sport marocain et aux sports scolaires en particulier.
Houssein Bouharoual est connu à Marrakech pour sa fidélité à ses principes et partant à l’amour du KACM.
Sa vie professionnelle a été entachée par un conflit permanent avec l’un des ministres de l'Éducation de son époque.
Lorsqu'un nouveau ministre fut nommé, du coup l’homme réagissait en public en disant : « Dieu merci qui nous a enlevé la tristesse... ».
Cet homme spécial par nature, il est toujours à la recherche des endroits spacieux, pour se reposer.
Faut-il encore signaler que M. Bouharoual fait partie des personnes hautement qualifiées en matière de sport.
Il a été nommé par feu le Roi Hassan II en tant que directeur de l’éducation physique, du sport et de l’hygiène scolaire au ministère de l’Education nationale.
C’est ainsi qu’il a été le fondateur de la Fédération Royale Marocaine du Sport Scolaire en 1995 et a largement participé à la création de la Fédération Royale Marocaine du Sport Universitaire.
Il a été, par ailleurs, président de la Fédération Royale Marocaine de Handball qui a connu alors la première participation au championnat du monde de handball.
Il a été membre du comité provisoire de la Fédération Royale Marocaine de Football qui a été à l’origine de la qualification du Maroc à la Coupe du monde 1998.
Il a été vice-président de la Fédération Royale Marocaine d’Athlétisme, secrétaire général adjoint du Comité National Olympique Marocain, président du KACM football et président de la Ligue Tensift-Haouz de handball.
Sur le plan arabe, il a été secrétaire général-adjoint de l’Union arabe de l’éducation physique et du sport scolaire. Au niveau international, il a été co-président de la Fédération internationale du sport scolaire.
Il a été chargé de la commission des statuts et règlements et du handball scolaire.
Malheureusement ce très riche palmarès du M. Houssein Bouharoual, ni le sport marrakechi non plus marocain n'en a profité.
Après l'indépendance, et à l’instar des fils des martyrs dans tout le Maroc, les résistants et les membres de l'Armée de libération ont pris en charge Houssein Bouharoual à Casablanca.
Idée de reconnaître les sacrifices des gens qui ont offert leur vie à la patrie...
Personnellement, j'ai entendu parler de Houssein Bouharoual au début des années quatre-vingt, à l’heure où il était membre de la Fédération Royale Marocaine de Handball, puis président de cette fédération, puis président des sports scolaires, en plus d'autres tâches au sein du Comité National Olympique Marocain.
Demeurant toujours égal à lui-même et possédant une âme inébranlable, et exprimant une pensée honnête, libre et droite, fournissant d'excellents services au sport marocain et aux sports scolaires en particulier.
Houssein Bouharoual est connu à Marrakech pour sa fidélité à ses principes et partant à l’amour du KACM.
Sa vie professionnelle a été entachée par un conflit permanent avec l’un des ministres de l'Éducation de son époque.
Lorsqu'un nouveau ministre fut nommé, du coup l’homme réagissait en public en disant : « Dieu merci qui nous a enlevé la tristesse... ».
Cet homme spécial par nature, il est toujours à la recherche des endroits spacieux, pour se reposer.
Faut-il encore signaler que M. Bouharoual fait partie des personnes hautement qualifiées en matière de sport.
Il a été nommé par feu le Roi Hassan II en tant que directeur de l’éducation physique, du sport et de l’hygiène scolaire au ministère de l’Education nationale.
C’est ainsi qu’il a été le fondateur de la Fédération Royale Marocaine du Sport Scolaire en 1995 et a largement participé à la création de la Fédération Royale Marocaine du Sport Universitaire.
Il a été, par ailleurs, président de la Fédération Royale Marocaine de Handball qui a connu alors la première participation au championnat du monde de handball.
Il a été membre du comité provisoire de la Fédération Royale Marocaine de Football qui a été à l’origine de la qualification du Maroc à la Coupe du monde 1998.
Il a été vice-président de la Fédération Royale Marocaine d’Athlétisme, secrétaire général adjoint du Comité National Olympique Marocain, président du KACM football et président de la Ligue Tensift-Haouz de handball.
Sur le plan arabe, il a été secrétaire général-adjoint de l’Union arabe de l’éducation physique et du sport scolaire. Au niveau international, il a été co-président de la Fédération internationale du sport scolaire.
Il a été chargé de la commission des statuts et règlements et du handball scolaire.
Malheureusement ce très riche palmarès du M. Houssein Bouharoual, ni le sport marrakechi non plus marocain n'en a profité.