Dans son allocution d’ouverture, Khadija Ezzoumi, présidente de l’Organisation, a souligné que cette initiative marque le lancement d’un débat national autour du changement des mentalités au service de l’intérêt général et d’un nouveau contrat social intégrant pleinement les femmes et les jeunes.
« Ce dialogue sera étendu à plusieurs régions du Royaume, notamment Oujda, Berkane et Safi et autres, avant d’aboutir à une rencontre nationale à Bouznika, où seront formulées les principales orientations pour un Maroc en ascension, fondé sur la cohésion et la complémentarité entre toutes ses forces vives,» a précisé Ezzoumi.
Plaidant pour un équilibre entre tradition et modernité, les participants ont insisté sur le fait que le changement social au Maroc ne peut être compris sans tenir compte des profondes mutations des mentalités collectives. Le progrès, ont-ils estimé, ne se limite pas aux réformes économiques ou juridiques, il dépend surtout d’une révision du rapport de l’individu à lui-même et à la société.
« Ce dialogue sera étendu à plusieurs régions du Royaume, notamment Oujda, Berkane et Safi et autres, avant d’aboutir à une rencontre nationale à Bouznika, où seront formulées les principales orientations pour un Maroc en ascension, fondé sur la cohésion et la complémentarité entre toutes ses forces vives,» a précisé Ezzoumi.
Plaidant pour un équilibre entre tradition et modernité, les participants ont insisté sur le fait que le changement social au Maroc ne peut être compris sans tenir compte des profondes mutations des mentalités collectives. Le progrès, ont-ils estimé, ne se limite pas aux réformes économiques ou juridiques, il dépend surtout d’une révision du rapport de l’individu à lui-même et à la société.
Adoptant une approche anthropologique, ils ont affirmé que toute évolution, même matérielle, trouve son origine dans une transformation symbolique, celle de la perception du pouvoir, du temps, des rapports de genre et intergénérationnels.
Selon eux, le Marocain d’aujourd’hui se trouve confronté à de nouvelles interrogations sur l’identité, la liberté et la citoyenneté, dans un contexte où l’attachement au patrimoine culturel cohabite avec une volonté croissante d’ouverture sur le monde.
Cependant, ont-ils observé, les mentalités traditionnelles continuent parfois de freiner le changement en reproduisant certaines hiérarchies et représentations sociales. Ainsi, le changement n’est pas une rupture entre l’ancien et le nouveau, mais un processus de négociation continue entre la mémoire du passé et les exigences du présent.
Le débat a réuni plusieurs universitaires et chercheurs, dont Abderrahim El Atri, sociologue et anthropologue, Abdellah Moutiaa, professeur en sciences de l’éducation, Abdelilah Hamid, chercheur en histoire, et Fouzia Labyad, professeure en anthropologie culturelle.
Des membres du bureau exécutif ainsi que de nombreux militants et militantes istiqlaliens ont également pris part à cette rencontre, qui marque une nouvelle étape dans la réflexion sur la place des mentalités dans la construction d’un Maroc moderne, inclusif et tourné vers l’avenir.
Selon eux, le Marocain d’aujourd’hui se trouve confronté à de nouvelles interrogations sur l’identité, la liberté et la citoyenneté, dans un contexte où l’attachement au patrimoine culturel cohabite avec une volonté croissante d’ouverture sur le monde.
Cependant, ont-ils observé, les mentalités traditionnelles continuent parfois de freiner le changement en reproduisant certaines hiérarchies et représentations sociales. Ainsi, le changement n’est pas une rupture entre l’ancien et le nouveau, mais un processus de négociation continue entre la mémoire du passé et les exigences du présent.
Le débat a réuni plusieurs universitaires et chercheurs, dont Abderrahim El Atri, sociologue et anthropologue, Abdellah Moutiaa, professeur en sciences de l’éducation, Abdelilah Hamid, chercheur en histoire, et Fouzia Labyad, professeure en anthropologie culturelle.
Des membres du bureau exécutif ainsi que de nombreux militants et militantes istiqlaliens ont également pris part à cette rencontre, qui marque une nouvelle étape dans la réflexion sur la place des mentalités dans la construction d’un Maroc moderne, inclusif et tourné vers l’avenir.























