Le ministre espagnol était présent hier au SIAM, en tant que l’un des représentants de la délégation espagnole. Il s’est dit très heureux de participer à cet évènement et est revenu sur les enjeux climatiques et d’agriculture qui constituent les défis majeurs à relever pour les différentes nations.
« Je suis ici au Royaume du Maroc en tant qu’invité d’honneur pour cette édition du SIAM », a-t-il commencé, « et je viens d’intervenir dans cette grande conférence internationale organisée par le Ministère de l’Agriculture du Royaume du Maroc, qui tient à cœur à l’Europe et à l’Afrique, et bien sûr à l’Espagne et au Maroc ».
À l’occasion de cette conférence, le ministre s’est exprimé sur les meilleurs moyens de« faire face aux défis que nous avons face aux changements climatiques, ce qui signifie moins de pluviométrie, moins d’eau et aussi des températures plus hautes d’une façon régulière. » Ces changements ont forcément « des conséquences du point de vue de la santé humaine », a-t-il indiqué, « mais également sur la production d’aliments », a-t-il poursuivi.
Le ministre a par la suite établi les stratégies pour répondre à ces problématiques : « Je crois qu’il existe deux stratégies que nous devons être capables de développer ensemble, 1. C’est en toute logique la lutte contre le changement climatique, une tâche qui relève de l’ensemble de la planète et des Nations Unies, 2. C’est l’élément fondamental qu’est l’adaptation, à savoir comment répondre à cette situation sachant que le Sud de l’Europe et le Nord de l’Afrique ont exactement les mêmes défis. C’est une raison pour laquelle il est essentiel de chercher un nouveau domaine de coopération et de travail conjoint ».
Luis Planas, évoquant des solutions comme les techniques génomiques, fondamentales dans la production végétale ou la meilleure gestion de l’eau, à savoir l’utilisation des eaux non conventionnelles, réutilisées ou dessalées, a insisté : « Ce sont des défis communs, et pour les défis communs, il faut des réponses communes ». Et de ne pas omettre : « Les objectifs de l’agenda 2030 sur la durabilité et la production alimentaire sont absolument fondamentaux ».
Le ministre espagnol de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation a fini en soulignant que « le soutien des administrations publiques, l’investissement et les nouvelles techniques d’édition génomique » étaient essentiels pour atteindre les objectifs de durabilité.
« Je suis ici au Royaume du Maroc en tant qu’invité d’honneur pour cette édition du SIAM », a-t-il commencé, « et je viens d’intervenir dans cette grande conférence internationale organisée par le Ministère de l’Agriculture du Royaume du Maroc, qui tient à cœur à l’Europe et à l’Afrique, et bien sûr à l’Espagne et au Maroc ».
À l’occasion de cette conférence, le ministre s’est exprimé sur les meilleurs moyens de« faire face aux défis que nous avons face aux changements climatiques, ce qui signifie moins de pluviométrie, moins d’eau et aussi des températures plus hautes d’une façon régulière. » Ces changements ont forcément « des conséquences du point de vue de la santé humaine », a-t-il indiqué, « mais également sur la production d’aliments », a-t-il poursuivi.
Le ministre a par la suite établi les stratégies pour répondre à ces problématiques : « Je crois qu’il existe deux stratégies que nous devons être capables de développer ensemble, 1. C’est en toute logique la lutte contre le changement climatique, une tâche qui relève de l’ensemble de la planète et des Nations Unies, 2. C’est l’élément fondamental qu’est l’adaptation, à savoir comment répondre à cette situation sachant que le Sud de l’Europe et le Nord de l’Afrique ont exactement les mêmes défis. C’est une raison pour laquelle il est essentiel de chercher un nouveau domaine de coopération et de travail conjoint ».
Luis Planas, évoquant des solutions comme les techniques génomiques, fondamentales dans la production végétale ou la meilleure gestion de l’eau, à savoir l’utilisation des eaux non conventionnelles, réutilisées ou dessalées, a insisté : « Ce sont des défis communs, et pour les défis communs, il faut des réponses communes ». Et de ne pas omettre : « Les objectifs de l’agenda 2030 sur la durabilité et la production alimentaire sont absolument fondamentaux ».
Le ministre espagnol de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation a fini en soulignant que « le soutien des administrations publiques, l’investissement et les nouvelles techniques d’édition génomique » étaient essentiels pour atteindre les objectifs de durabilité.