Ce résultat tient compte d’un solde positif de 15 millions de dirhams (MDH) dégagé par les comptes spéciaux et les budgets annexes, précise la TGR dans son récent Bulletin mensuel de statistiques des finances locales (BMSFL), notant que l'excédent de 2,21 MMDH est destiné à couvrir les dépenses engagées et devant être payées au cours de l’année 2024.
Les budgets annexes et les comptes spéciaux gérés par les collectivités territoriales ont dégagé un solde nul et un solde positif de 15 MDH respectivement contre un solde nul pour les budgets annexes et un solde positif de 58 MDH pour les comptes spéciaux à fin février 2023.
L’excédent dégagé par les budgets des collectivités territoriales à fin février 2024, auquel s’ajoutent les recettes d’emprunt de 1 MDH, a permis le remboursement du principal de la dette pour 96 MDH et la reconstitution des excédents pour 2,11 MMDH.
Pour ce qui est des recettes ordinaires des collectivités territoriales, elles se sont établies à 4,5 MMDH, soit une diminution de 0,7% en glissement annuel expliquée par la baisse de 9,9% des recettes transférées, conjuguée à la hausse de 9,6% des recettes gérées par l’État et de 12,5% des recettes gérées par les collectivités territoriales.
Sur la même période, les dépenses globales réalisées par les collectivités territoriales (dépenses ordinaires, dépenses d’investissement et remboursements du principal de la dette) se sont établies à 2,43 MMDH, en hausse de 3,2% par rapport à leur niveau à fin février 2023. Elles se composent à hauteur de 94,7% de dépenses ordinaires.
De même, les excédents globaux dégagés par les budgets des collectivités territoriales ont été de 53,7 MMDH. Ils comprennent les excédents des années antérieures et celui de l’année 2024 (2,21 MMDH).
Ces excédents sont destinés à couvrir les dépenses programmées et engagées ou programmées au titre des années antérieures et non payées, ainsi que les dépenses engagées en 2024 et non payées. Le reliquat constitué de la trésorerie disponible destinée au paiement des dépenses exigibles (salaires, eau et électricité, loyers, intérêts de la dette, gestion déléguée, …). Les communes interviennent pour 54,9% des excédents globaux des collectivités territoriales.
Les budgets annexes et les comptes spéciaux gérés par les collectivités territoriales ont dégagé un solde nul et un solde positif de 15 MDH respectivement contre un solde nul pour les budgets annexes et un solde positif de 58 MDH pour les comptes spéciaux à fin février 2023.
L’excédent dégagé par les budgets des collectivités territoriales à fin février 2024, auquel s’ajoutent les recettes d’emprunt de 1 MDH, a permis le remboursement du principal de la dette pour 96 MDH et la reconstitution des excédents pour 2,11 MMDH.
Pour ce qui est des recettes ordinaires des collectivités territoriales, elles se sont établies à 4,5 MMDH, soit une diminution de 0,7% en glissement annuel expliquée par la baisse de 9,9% des recettes transférées, conjuguée à la hausse de 9,6% des recettes gérées par l’État et de 12,5% des recettes gérées par les collectivités territoriales.
Sur la même période, les dépenses globales réalisées par les collectivités territoriales (dépenses ordinaires, dépenses d’investissement et remboursements du principal de la dette) se sont établies à 2,43 MMDH, en hausse de 3,2% par rapport à leur niveau à fin février 2023. Elles se composent à hauteur de 94,7% de dépenses ordinaires.
De même, les excédents globaux dégagés par les budgets des collectivités territoriales ont été de 53,7 MMDH. Ils comprennent les excédents des années antérieures et celui de l’année 2024 (2,21 MMDH).
Ces excédents sont destinés à couvrir les dépenses programmées et engagées ou programmées au titre des années antérieures et non payées, ainsi que les dépenses engagées en 2024 et non payées. Le reliquat constitué de la trésorerie disponible destinée au paiement des dépenses exigibles (salaires, eau et électricité, loyers, intérêts de la dette, gestion déléguée, …). Les communes interviennent pour 54,9% des excédents globaux des collectivités territoriales.