C’est la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF) qui ont coorganisé, à travers le Club des chefs d’entreprises France-Maroc, un forum économique de haut niveau à Dakhla. Cet événement, intitulé « Régions du Sud marocain : vers de nouvelles perspectives de développement du partenariat économique Maroc-France », s’inscrit dans la continuité de la visite d’État du président Emmanuel Macron au Maroc en 2024, au cours de laquelle il avait déclaré que « le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ».
Le choix de Dakhla comme ville hôte revêt une dimension à la fois stratégique et économique. Selon un communiqué conjoint de la CGEM et du MEDEF, « la région est une vitrine du dynamisme et du potentiel économique du Royaume du Maroc, illustré par ses investissements structurants et son ouverture régionale et continentale ». Pour les entrepreneurs français, ce rendez-vous permettra « d’explorer un marché émergent alliant attractivité nationale et trait d’union entre l’Europe et l’Afrique ».
Christophe Lecourtier a affirmé, jeudi à Dakhla, que l’État français encourage et soutient les entreprises françaises dans leurs investissements dans les provinces du Sud du Royaume, dans son discours au Forum économique franco-marocain.
M. Lecourtier a souligné que les entreprises françaises ont déjà participé au « développement remarquable » du Maroc, ajoutant qu’elles seront également présentes dans le « développement le plus remarquable » du Sud du Royaume. L’ambassadeur a passé en revue le parcours de développement global du Maroc, soulignant que « dans le domaine industriel, le pays a atteint un niveau sans précédent dans les chaînes de valeur mondiales, tandis que dans le domaine de l’énergie, le Maroc est en passe de devenir un véritable géant ».
Dans ce contexte, il a noté que des partenariats franco-marocains existent déjà pour exploiter ces potentiels, que ce soit dans le domaine des énergies renouvelables, reliant l’Europe à l’Afrique, ou dans les perspectives de développement de l’hydrogène vert. Il a expliqué que « tout cela se déroulera principalement dans les régions de Guelmim-Oued Noun, Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Eddahab ». Évoquant les entreprises françaises, M. Lecourtier a ajouté : « Il est plus que jamais temps d’accélérer le rythme pour saisir les opportunités offertes par le Maroc dans ces régions. »
Le diplomate a également souligné que ce forum « incarne le dynamisme économique exceptionnel entre nos deux pays », soulignant l’importance de sa tenue à Dakhla, ville où se dessinent et se développent les contours de la coopération de demain. Il a expliqué que ce forum revêt également une portée hautement symbolique, car il incarne la position claire et sans ambiguïté de la France sur le Sahara, position affirmée par le président français Emmanuel Macron, selon laquelle « le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ».
Il a conclu que ce forum incarne également l’ouverture de l’économie marocaine sur l’Afrique et pose de nouvelles bases pour la feuille de route économique franco-marocaine pour la prochaine génération.
Le choix de Dakhla comme ville hôte revêt une dimension à la fois stratégique et économique. Selon un communiqué conjoint de la CGEM et du MEDEF, « la région est une vitrine du dynamisme et du potentiel économique du Royaume du Maroc, illustré par ses investissements structurants et son ouverture régionale et continentale ». Pour les entrepreneurs français, ce rendez-vous permettra « d’explorer un marché émergent alliant attractivité nationale et trait d’union entre l’Europe et l’Afrique ».
Christophe Lecourtier a affirmé, jeudi à Dakhla, que l’État français encourage et soutient les entreprises françaises dans leurs investissements dans les provinces du Sud du Royaume, dans son discours au Forum économique franco-marocain.
M. Lecourtier a souligné que les entreprises françaises ont déjà participé au « développement remarquable » du Maroc, ajoutant qu’elles seront également présentes dans le « développement le plus remarquable » du Sud du Royaume. L’ambassadeur a passé en revue le parcours de développement global du Maroc, soulignant que « dans le domaine industriel, le pays a atteint un niveau sans précédent dans les chaînes de valeur mondiales, tandis que dans le domaine de l’énergie, le Maroc est en passe de devenir un véritable géant ».
Dans ce contexte, il a noté que des partenariats franco-marocains existent déjà pour exploiter ces potentiels, que ce soit dans le domaine des énergies renouvelables, reliant l’Europe à l’Afrique, ou dans les perspectives de développement de l’hydrogène vert. Il a expliqué que « tout cela se déroulera principalement dans les régions de Guelmim-Oued Noun, Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Eddahab ». Évoquant les entreprises françaises, M. Lecourtier a ajouté : « Il est plus que jamais temps d’accélérer le rythme pour saisir les opportunités offertes par le Maroc dans ces régions. »
Le diplomate a également souligné que ce forum « incarne le dynamisme économique exceptionnel entre nos deux pays », soulignant l’importance de sa tenue à Dakhla, ville où se dessinent et se développent les contours de la coopération de demain. Il a expliqué que ce forum revêt également une portée hautement symbolique, car il incarne la position claire et sans ambiguïté de la France sur le Sahara, position affirmée par le président français Emmanuel Macron, selon laquelle « le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ».
Il a conclu que ce forum incarne également l’ouverture de l’économie marocaine sur l’Afrique et pose de nouvelles bases pour la feuille de route économique franco-marocaine pour la prochaine génération.
Ahmadou El-Katab
