Qu’il vente ou qu’il pleuve, la belle Maison de la Presse de Tanger, l’une des meilleures du monde, était bien là comme toujours, pour accueillir les jeunes représentants des médias en stage de formation continue.
Cette fois-ci, la presse de demain, de l’avenir, de la relève était à l’ordre du jour.
Encadrés par une pléiade de journalistes vétérans, les correspondants en « herbe » qui viennent de commencer leur carrière, participaient à une journée de réflexion sur la presse sportive.
On y retrouvait des encadreurs de marque de Rabat et de Tanger : Abderazak Akkari, professeur à l’Institut Moulay Rachid et lauréat de l’Institut Supérieur de la Presse, Younès Mjahed, président du Conseil National de la Presse, Abdallah Bakkali, président du Syndicat National de la Presse, Abdelouahid Benazibou, directeur régional de la Jeunesse, Abdelmalek Abroune, responsable des infrastructures sportives à la FRMF.
Le thème de la formation était « Presse sportive » et le modèle donné comme support concernait deux bons exemples : la participation de la sélection marocaine au Qatar 22 avec sa qualification aux demi-finales de la coupe du monde et le nouveau village sportif de Tanger considéré comme le meilleur de l’Afrique et du monde arabe.
On fêtait avec cet événement une occasion chère aux journalistes marocains : le 60ème anniversaire de la création du Syndicat National de la Presse du Maroc.
Incroyable mais vrai, pour la première fois dans son Histoire, la Maison de la Presse de Tanger ouvrait ses portes au sport dans ses riches activités qui touchaient dans le passé tous les domaines de la culture : la littérature, la poésie, le théâtre, le cinéma, la presse non spécialisée…
Le mérite revient sans aucun doute à son président Saïd Koubrite et son vrai bras droit Mohamed Kouimene, au reporter sportif Mohamed Samadi et ses proches collaborateurs.
Cette journée de réflexion ou de stage de formation continue avait deux conclusions intéressantes.
La première concernait la réussite du sport et se résumait par quatre points :
1-Une bonne infrastructure sportive (construction de stades et de terrains de proximité).
2-Ressources humaines.
3-Ressources financières.
4-Une bonne gouvernance.
La deuxième mettait la presse et le sport dans le contexte donnant l’exemple de l’oiseau qui ne peut voler avec une seule aile et tantôt l’une comme l’autre sont deux « ailes » inséparables.
La cérémonie de clôture avait pour programme la remise des attestations de participation de stage aux journalistes, un vibrant hommage aux journalistes vétérans de la radio et de la plume, une réception à la marocaine.
Cette fois-ci, la presse de demain, de l’avenir, de la relève était à l’ordre du jour.
Encadrés par une pléiade de journalistes vétérans, les correspondants en « herbe » qui viennent de commencer leur carrière, participaient à une journée de réflexion sur la presse sportive.
On y retrouvait des encadreurs de marque de Rabat et de Tanger : Abderazak Akkari, professeur à l’Institut Moulay Rachid et lauréat de l’Institut Supérieur de la Presse, Younès Mjahed, président du Conseil National de la Presse, Abdallah Bakkali, président du Syndicat National de la Presse, Abdelouahid Benazibou, directeur régional de la Jeunesse, Abdelmalek Abroune, responsable des infrastructures sportives à la FRMF.
Le thème de la formation était « Presse sportive » et le modèle donné comme support concernait deux bons exemples : la participation de la sélection marocaine au Qatar 22 avec sa qualification aux demi-finales de la coupe du monde et le nouveau village sportif de Tanger considéré comme le meilleur de l’Afrique et du monde arabe.
On fêtait avec cet événement une occasion chère aux journalistes marocains : le 60ème anniversaire de la création du Syndicat National de la Presse du Maroc.
Incroyable mais vrai, pour la première fois dans son Histoire, la Maison de la Presse de Tanger ouvrait ses portes au sport dans ses riches activités qui touchaient dans le passé tous les domaines de la culture : la littérature, la poésie, le théâtre, le cinéma, la presse non spécialisée…
Le mérite revient sans aucun doute à son président Saïd Koubrite et son vrai bras droit Mohamed Kouimene, au reporter sportif Mohamed Samadi et ses proches collaborateurs.
Cette journée de réflexion ou de stage de formation continue avait deux conclusions intéressantes.
La première concernait la réussite du sport et se résumait par quatre points :
1-Une bonne infrastructure sportive (construction de stades et de terrains de proximité).
2-Ressources humaines.
3-Ressources financières.
4-Une bonne gouvernance.
La deuxième mettait la presse et le sport dans le contexte donnant l’exemple de l’oiseau qui ne peut voler avec une seule aile et tantôt l’une comme l’autre sont deux « ailes » inséparables.
La cérémonie de clôture avait pour programme la remise des attestations de participation de stage aux journalistes, un vibrant hommage aux journalistes vétérans de la radio et de la plume, une réception à la marocaine.
