La capitale économique contient 40% de la mobilité au niveau du Royaume. Ainsi l’accessibilité au réseau de transports en commun est un facteur clé pour le développement de la ville, ce qui exige de maintenir, au fil du temps, une qualité minimale des services de transport en tant que priorité cruciale.
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, adoptés en septembre 2015, accordent une importance majeure à l’accessibilité aux transports urbains, notamment l’Objectif 11 axé sur les villes et communautés durables, visant à faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables.
Dans cette étude, les deux chercheurs de l’Ecole Hassania des travaux publics (EHTP) ont estimé la valeur de cet indicateur pour le centre-ville de Casablanca et les collectivités urbaines environnantes « Mohammadia, Mediouna et Nouaceur ». L’étude contribue ainsi aux efforts de mise en oeuvre des objectifs de l’Agenda 2030 au Maroc, notamment en ce qui concerne les transports urbains. Elle vise également à comparer les résultats pour les différents modes de transport en commun disponibles dans la ville, à savoir le tram et le bus.
Pour atteindre ces objectifs, les deux chercheurs ont proposé d’abord une méthodologie adaptée basée sur les métadonnées de l’indicateur (ODD) 11.2.1. Pour ce faire, ils ont créé une base de données du Système d’information géographique (SIG) contenant les données nécessaires tels que les districts administratifs, les routes urbaines, les lignes de réseau de bus, les lignes de tramway et les statistiques démographiques.
En conséquence, les chercheurs ont constaté que 74,38% de la population de toute la zone d’étude a accès au réseau de bus tandis que 95,51% de la population du centre a accès aux réseaux de bus et de tramways. Les résultats détaillés par secteur mettent en évidence le déséquilibre de l’accès aux transports entre le centre-ville et les zones environnantes.
Bien que la grande partie de la population se trouve dans les différents quartiers de la ville centrale (Casablanca), les collectivités périphériques de Mohammadia, Mediouna et Nouaceur connaissent, en revanche, une forte extension urbaine et une augmentation de leurs populations urbaines. Selon l’étude, cela entraine une inégalité qui peut causer un déséquilibre en termes d’activités et d’accès aux opportunités entre toutes les populations de la région de Casablanca.
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, adoptés en septembre 2015, accordent une importance majeure à l’accessibilité aux transports urbains, notamment l’Objectif 11 axé sur les villes et communautés durables, visant à faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables.
Dans cette étude, les deux chercheurs de l’Ecole Hassania des travaux publics (EHTP) ont estimé la valeur de cet indicateur pour le centre-ville de Casablanca et les collectivités urbaines environnantes « Mohammadia, Mediouna et Nouaceur ». L’étude contribue ainsi aux efforts de mise en oeuvre des objectifs de l’Agenda 2030 au Maroc, notamment en ce qui concerne les transports urbains. Elle vise également à comparer les résultats pour les différents modes de transport en commun disponibles dans la ville, à savoir le tram et le bus.
Pour atteindre ces objectifs, les deux chercheurs ont proposé d’abord une méthodologie adaptée basée sur les métadonnées de l’indicateur (ODD) 11.2.1. Pour ce faire, ils ont créé une base de données du Système d’information géographique (SIG) contenant les données nécessaires tels que les districts administratifs, les routes urbaines, les lignes de réseau de bus, les lignes de tramway et les statistiques démographiques.
En conséquence, les chercheurs ont constaté que 74,38% de la population de toute la zone d’étude a accès au réseau de bus tandis que 95,51% de la population du centre a accès aux réseaux de bus et de tramways. Les résultats détaillés par secteur mettent en évidence le déséquilibre de l’accès aux transports entre le centre-ville et les zones environnantes.
Bien que la grande partie de la population se trouve dans les différents quartiers de la ville centrale (Casablanca), les collectivités périphériques de Mohammadia, Mediouna et Nouaceur connaissent, en revanche, une forte extension urbaine et une augmentation de leurs populations urbaines. Selon l’étude, cela entraine une inégalité qui peut causer un déséquilibre en termes d’activités et d’accès aux opportunités entre toutes les populations de la région de Casablanca.
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030
En approuvant le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et ses 17 objectifs de développement durable en 2015, la communauté mondiale a réaffirmé son engagement en faveur du développement résilient et exempt de surcoûts environnementaux.
Par le biais de ce programme, 193 États membres se sont engagés à oeuvrer en vue d’assurer une croissance économique durable et inclusive ainsi que l’inclusion sociale et la protection de l’environnement, dans un esprit de partenariat et de paix. Le Programme 2030 est universel, transformateur et fondé sur les droits. Il s’agit d’un plan d’action ambitieux pour les pays, le système des Nations Unies et tous les acteurs concernés.
