Une finale avant la lettre. Un classique africain qui remonte à 1983 avec deux techniciens portugais sur les bancs qui espéraient terminer le tournoi en beauté lors d’un bras de fer tactique, physique et mentale.
Les Egyptiens ont refait leur cinéma en première mi temps
- Les Camerounais se sont appuyés sur leur potentiel offensif collectif, les Égyptiens sur leur cinéma et sur leur force de frappe, Mohamed Salah lors des contres.
-8’.Premier tir non cadré de Salah pas loin de l'arête des cadres!
-4’. Première incursion camerounaise du flanc droit ponctuée par un centre intercepté par Gabaski.
-17’. Deux très belles opportunités de suite. Un premier frisson sur le ballon de Ngamaleu renvoyé par l'arête et un deuxième sur le ballon d’Ekambi dévié en corner par un égyptien
-Les Egyptiens subissaient et n’arrivaient pas à sortir le ballon, n'hésitant pas à casser le “match”. Gabaski, en bon comédien, a bien joué son rôle parvenant à faire tomber le rythme.
-Si la maîtrise était camerounaise, il leur manquait la finition. Les Egyptiens, eux, multipliaient les horizontales dans leur propre moitié du terrain. Les Camerounais tentaient de mettre du rythme. Mais sans opportunités sur attaques placées.
-Les coups de pied sur balles arrêtées se multipliaient et avec les arrêts du jeu souhaités par les Égyptiens pour faire leur cinéma. Une équipe égyptienne coupée en deux qui cherchaient surtout les longues relances vers Mohamed Salah pour des contres rapides
-Une première mi-temps fermée des Camerounais, jouant haut, qui avaient la possession, une grosse pression, 4 occasions franches mais sans but. Les Egyptiens ont réussi leur objectif; ne pas encaisser et casser le rythme sans parvenir à fructifier leurs contres rapides.
Un deuxième acte lent, presque sans occasions nettes
-La reprise était différente, les Égyptiens, remontant leur bloc, prenaient plus d’initiatives, projetaient en avant tout en se repliant rapidement et restant vigilants défensivement. Les Camerounais n’arrivaient pas à déjouer et percer la défense égyptienne souvent renforcée par les médians en bloc compact.
-55’.Terrible erreur défensive camerounaise: une balle en retrait a failli offrir à Mohamed Salah l’ouverture du score sans l’intervention réussie d’Onana le gardien camerounais qui a bien anticipé.
-71’. La seule occasion camerounaise franche sur un puissant tir . Le ballon a touché l'arête .
-89’. Expulsion méritée de Queiroz pour protestations véhémentes après avoir pris un 2e carton jaune suivi, quelques minutes après, par un avertissement à son adjoint Joumaa Wail juste avant le coup de sifflet de la fin du temps réglementaire.
-Les Egyptiens ont manqué de fraîcheur, ont poussé le match vers les prolongations tout en ayant cherché à surprendre l’adversaire également fatigué et perdant de lucidité, de précision au fil des minutes au point de faire sombrer le match dans l’ennui. Les 20 dernières minutes ont été très hachées et concluées par l’exclusion du coach égyptien Carlos Queiroz pour ses réclamations répétées.
Puis les prolongations, les tirs au but, le stress et les Egyptiens en finale !
-Les prolongations se sont jouées au physique, au mental et la peur d’encaisser un but au ventre.
-118’.Les Egyptiens ont raté la balle du match : 4 attaquants devant le gardien sans parvenir à dévier le ballon vers les filets
-Il a fallu passer par les tirs au but, fatidiques, pour désigner le deuxième finaliste de la CAN 2021 : L’Egypte et Mohamed Salah face au Sénégal et Sadio Mané.
Les Egyptiens ont refait leur cinéma en première mi temps
- Les Camerounais se sont appuyés sur leur potentiel offensif collectif, les Égyptiens sur leur cinéma et sur leur force de frappe, Mohamed Salah lors des contres.
-8’.Premier tir non cadré de Salah pas loin de l'arête des cadres!
-4’. Première incursion camerounaise du flanc droit ponctuée par un centre intercepté par Gabaski.
-17’. Deux très belles opportunités de suite. Un premier frisson sur le ballon de Ngamaleu renvoyé par l'arête et un deuxième sur le ballon d’Ekambi dévié en corner par un égyptien
-Les Egyptiens subissaient et n’arrivaient pas à sortir le ballon, n'hésitant pas à casser le “match”. Gabaski, en bon comédien, a bien joué son rôle parvenant à faire tomber le rythme.
-Si la maîtrise était camerounaise, il leur manquait la finition. Les Egyptiens, eux, multipliaient les horizontales dans leur propre moitié du terrain. Les Camerounais tentaient de mettre du rythme. Mais sans opportunités sur attaques placées.
-Les coups de pied sur balles arrêtées se multipliaient et avec les arrêts du jeu souhaités par les Égyptiens pour faire leur cinéma. Une équipe égyptienne coupée en deux qui cherchaient surtout les longues relances vers Mohamed Salah pour des contres rapides
-Une première mi-temps fermée des Camerounais, jouant haut, qui avaient la possession, une grosse pression, 4 occasions franches mais sans but. Les Egyptiens ont réussi leur objectif; ne pas encaisser et casser le rythme sans parvenir à fructifier leurs contres rapides.
Un deuxième acte lent, presque sans occasions nettes
-La reprise était différente, les Égyptiens, remontant leur bloc, prenaient plus d’initiatives, projetaient en avant tout en se repliant rapidement et restant vigilants défensivement. Les Camerounais n’arrivaient pas à déjouer et percer la défense égyptienne souvent renforcée par les médians en bloc compact.
-55’.Terrible erreur défensive camerounaise: une balle en retrait a failli offrir à Mohamed Salah l’ouverture du score sans l’intervention réussie d’Onana le gardien camerounais qui a bien anticipé.
-71’. La seule occasion camerounaise franche sur un puissant tir . Le ballon a touché l'arête .
-89’. Expulsion méritée de Queiroz pour protestations véhémentes après avoir pris un 2e carton jaune suivi, quelques minutes après, par un avertissement à son adjoint Joumaa Wail juste avant le coup de sifflet de la fin du temps réglementaire.
-Les Egyptiens ont manqué de fraîcheur, ont poussé le match vers les prolongations tout en ayant cherché à surprendre l’adversaire également fatigué et perdant de lucidité, de précision au fil des minutes au point de faire sombrer le match dans l’ennui. Les 20 dernières minutes ont été très hachées et concluées par l’exclusion du coach égyptien Carlos Queiroz pour ses réclamations répétées.
Puis les prolongations, les tirs au but, le stress et les Egyptiens en finale !
-Les prolongations se sont jouées au physique, au mental et la peur d’encaisser un but au ventre.
-118’.Les Egyptiens ont raté la balle du match : 4 attaquants devant le gardien sans parvenir à dévier le ballon vers les filets
-Il a fallu passer par les tirs au but, fatidiques, pour désigner le deuxième finaliste de la CAN 2021 : L’Egypte et Mohamed Salah face au Sénégal et Sadio Mané.
