L’Olympique Club de Khouribga continue de souffrir d’une tension qu’il n’avait jamais vécue dans ses annales sur fond d’une gestion aléatoire dénuée de tout esprit de responsabilité et pour résumer au sein du club phosphatier, personne n’est réellement ou « officiellement » responsable.
Un président démissionnaire depuis le début de la saison, un vice-président qui gère les choses du club dont les finances et les contrats de recrutement et le tout sur fond d’énièmes assemblées générales ordinaires, extraordinaires, électives et tant d’autres acrobaties et stratagèmes. Et la dernière est une déclaration d’une démission du vice-président, mais personne n’a perçu, ni aperçu de visu ce soi-disant document …
Pour Abdessamad Ouarrad et ses hommes qui venaient de réaliser une belle et précieuse victoire à Tanger devant un IRT carrément désemparé, ils ne devraient en aucun cas se laisser influencer par la « cuisine » des dirigeants, si dirigeants ils existent. Toutefois, notons que joueurs et membres du staff technique ne cessent de réclamer leurs dûs dont des salaires et primes, mais à qui devraient-ils s’adresser devant cet imbroglio qui sévit au sein des composantes d’un club qui était de tous les temps cité en modèle national de gestion, je veux parler du bon vieux temps, du temps de la gestion professionnelle des cadres OCP.
Pour le match contre la jeunesse de Soualem, les coéquipiers du capitaine Ouggadi, bien motivés par le retour tant attendu du grand public aux enceintes sportives après une absence de deux ans, ont quand même produit du bon football, mais ils n’ont pu concrétiser devant des hommes de Redouane El Himer bien rodés, mais aussi bien aguerris sur fond d’un système défensif vraiment difficile à déverrouiller surtout au dernier quart quand le coach des Soualem opta pour le repli stratégique jusqu’aux ultimes secondes de la partie.
Et si la JSS rajouta un point précieux à son cumul dont 26 points, le point glané au terme de cette 19ème journée reste toujours moins rassurant car avec un total de 23 points, le club phosphatier et toutes ses composantes ont intérêt à assainir leur environnement pour ne pas « tomber » dans le « on aurait du » et alors à quoi serviraient les regrets si le plus dur reste à faire ?
Un président démissionnaire depuis le début de la saison, un vice-président qui gère les choses du club dont les finances et les contrats de recrutement et le tout sur fond d’énièmes assemblées générales ordinaires, extraordinaires, électives et tant d’autres acrobaties et stratagèmes. Et la dernière est une déclaration d’une démission du vice-président, mais personne n’a perçu, ni aperçu de visu ce soi-disant document …
Pour Abdessamad Ouarrad et ses hommes qui venaient de réaliser une belle et précieuse victoire à Tanger devant un IRT carrément désemparé, ils ne devraient en aucun cas se laisser influencer par la « cuisine » des dirigeants, si dirigeants ils existent. Toutefois, notons que joueurs et membres du staff technique ne cessent de réclamer leurs dûs dont des salaires et primes, mais à qui devraient-ils s’adresser devant cet imbroglio qui sévit au sein des composantes d’un club qui était de tous les temps cité en modèle national de gestion, je veux parler du bon vieux temps, du temps de la gestion professionnelle des cadres OCP.
Pour le match contre la jeunesse de Soualem, les coéquipiers du capitaine Ouggadi, bien motivés par le retour tant attendu du grand public aux enceintes sportives après une absence de deux ans, ont quand même produit du bon football, mais ils n’ont pu concrétiser devant des hommes de Redouane El Himer bien rodés, mais aussi bien aguerris sur fond d’un système défensif vraiment difficile à déverrouiller surtout au dernier quart quand le coach des Soualem opta pour le repli stratégique jusqu’aux ultimes secondes de la partie.
Et si la JSS rajouta un point précieux à son cumul dont 26 points, le point glané au terme de cette 19ème journée reste toujours moins rassurant car avec un total de 23 points, le club phosphatier et toutes ses composantes ont intérêt à assainir leur environnement pour ne pas « tomber » dans le « on aurait du » et alors à quoi serviraient les regrets si le plus dur reste à faire ?
